DU VERT PASTÈQUE AU VERT KAKI
Il faut bien en convenir, nous avons à faire à des écologistes en carton-pâte issu d’un recyclage douteux. Les légumes qui représentent ce segment sociétal viennent de divers partis politiques qui les laissaient sur le banc de touche. Par ailleurs, en bonne gouvernance, il fallait bien placer des gens bien conformes à la doxa pour contrôler la verte attitude. Ainsi, nous avons un mouvement écologiste qui dit amen à toutes les volontés de l’Imperium européen assujetti à la ploutocratie.
Les escrologistes ne sont jamais gênés par le paradoxe que suscitent leurs positionnement politique par rapport à leurs dogmes. Le plus frappant fut d’approuver l’injection expérimentale contre une grippe élaborée en laboratoire rendant les gens de ce fait des OGM sur deux pattes alors qu’un de leurs chevaux de bataille est contre toute manipulation génétique. La modification génétique n’est pas bonne pour le poireau, mais elle est acceptable pour l’humain. N’y a-t-il pas là un problème cognitif ? On oublie au passage le principe de précaution. Nos escrologistes ne se sont jamais élevés contre les laboratoires P4 qui au lieu éradiquer ou affaiblir les virus, augmentent leur amplitude. On appelle ça « le gain de fonction ». C’est une arme redoutable pour tuer les filières d’élevage, réduire des populations choisies, assujettir les nouveaux malades délibérément fabriqués à Big Pharma.
Historiquement, l’écologie n’est qu’une marotte post soixante-huitarde. Puis dans les années 80, elle est montée en épingle par les sous-marins communistes eux-mêmes phagocyter par les écologistes allemands. Le nucléaire était dans leur collimateur. L’enjeu commun ou plus précisément le dessein de ce Janus était de détruire l’autonomie énergétique de la France et affaiblir sa puissance de dissuasion. Avec l’émergence de l’Union européenne, ils y sont arrivés 40 ans plus tard.
L’écologie de nos jours n’est qu’un prétexte fiscal juteux et une tétine bien grasse pour une industrie dédiée. La verte propagande cache l’impact réel sur l’environnement (empreinte carbone comprise) des éoliennes et des panneaux photovoltaïques bien peu performants. Au nom du climat, on subventionne une industrie non rentable, non efficace, aux matériaux non recyclables, aux impacts négatifs sur les sols et le vivant. C’est une hérésie environnementale (tout comme l’ADblue) qui est tue au nom du pognon propre et des intérêts bien compris.
Au nom de l’environnement, il y a pléthore de taxe vertes, d’interdits et d’obligations. Les normes sur les habitations avec son florilège de parasites imposés provoquent des drames financiers et humains. Elles sortent aussi du marché un pourcentage conséquent de l’immobilier locatif alors qu’il en manque cruellement. Les incohérences stratégiques ne manquent pas dans l’appareil environnementaliste.
Au moment où on ferme des centrales nucléaires, l’escrologie met en avant la voiture électrique et l’intelligence artificielles avec ses centres de données qui consomment outrageusement de l’énergie. Elle veut la décarbonisation de la planète alors que le végétal en veut davantage (voir les serres hermétiques suralimentées en CO2). N’oublions pas que l’apparition de la végétation a façonné le monde actuel. Par ce biais, veut-elle détruire la biodiversité inhérente au végétal ? Par ailleurs, les 8 milliards d’humains qui pètent constamment, emboucanent-ils moins la planète que quelques millions de vaches de par le monde ?
Le scandale des ZFE prouvent l’incohérence du narratif. On interdit l’accès à la ville à une Saxo qui fait 4 l/100, mais on tolère un SUV ou un 4×4 qui consomme du 15 l/100 sous prétexte qu’il est neuf. On a bien compris que la chasse aux gueux est ouverte. Il est vrai que les souffreteux gâchent de par leurs présences inopportunes l’environnement paisible du petit bourgeois. Ils détériorent la qualité de vie des nantis.
L’escrologie est carrément muette sur le dossier « chemtrails » alors que nous avons observé la relation entre mystérieux épandage aérien et chute du rendement agricole en 2024. La perte d’autonomie alimentaire est en jeu. Qu’attendre de l’escrologie quand on voit qu’elle ne s’élève pas contre la perte de terres arables à raison de 90 000 ha par an ? Qu’attendre d’elle quand on constate son déni de vérité à propos des algues vertes et son corollaire estival ? C’est plus facile d’accuser les vils pécores que de pointer du doigt les villes qui ne traitent pas correctement les eaux usées dans les périodes de villégiature dont le coefficient d’augmentation de la population est de 4 à 5 voire plus dans certains lieux.
L’escrologie ferme les yeux sur les centrales à charbon allemandes dont les particules atteignent Paris, mais c’est le connard en Saxo qui pollue la ville.
Par ailleurs, y a-t-il dans les tuyaux de l’escrologie une volonté de taxer les pays qui ont des volcans en activité sur leur territoire terrestre et/ou espace maritime ?
La dernière antinomie de l’escrologie est son soutient à l’Ukraine et sa position de va-t-en-guerre. Où sont ses valeurs pacifistes d’autrefois ? Il est vrai, comme le dit la légende, la pollution et la destruction des sols par les actes militaires n’ont aucuns impacts sur la qualité des terres, de l’eau et de l’environnement en général. Les effets de la guerre sont compatibles avec les valeurs de l’écologie, c’est archi connu. Par ailleurs, la mort de milliers d’hommes ne suscite pas en elle une quelconque interrogation morale. N’oublions pas qu’Hitler était végétarien et qu’il avait interdit la chasse. S’il avait mangé de la viande, il aurait été plus détendu du slip. Bref.
L’écologie dans la rue est l’enfant immature de ce qu’on appelait jadis les pastèques ; vert dehors, rouge dedans. Ce sont tous des citadins atteints d’ultracrépidarianisme. Ils vivent dans un paradoxe permanent puisqu’ils évoluent quotidiennement aux antipodes de leur conviction environnementale.
La gouvernance écologique c’est autre chose. Elle est bien dans la doxa néoconservatrice (GIEC, OMS, …) qui remet en esclavage les peuples. Esclaves alimentaires, esclaves énergétiques, esclaves sans droit social, esclaves délocalisés, esclaves déstructurés, esclaves médicaux sans plus d’immunité. Des esclaves mangeurs de farine d’insectes qui comme on sait est source de forts risques allergiques chez l’homme. Nous ne sommes pas programmés métaboliquement pour être des insectivores.
L’escrologie nous parle de réchauffement climatique. Je n’étais pas au courant que le Groenland était redevenue un grand espace verdoyant comme au temps de sa conquête par les Scandinaves. Elle oublie aussi de nous rappeler que la dernière glaciation a disparue, d’après les carottes glaciaires, en moins de 100 ans. Est-ce un excès de barbecue par nos ancêtres qui a provoqué cela ? Non, soyons sérieux. Le climat est cyclique comme l’histoire nous l’apprend. La montée des eaux en -3000 ans, la disparition de la savane égyptienne qui a provoqué la chute de la première dynastie, la disparition de la civilisation Minoenne, les guerres de la faim dans le monde précolombien, … Tous ces événements dramatiques sont liés à un changement climatique prompt sans que l’Homme en soit la cause. Personnellement, j’ai hâte de la montée en température de notre continent car j’en ai marre de me peler les fesses 8 mois dans l’année.
Que penser de Sandrine Rousseau la députée et docteur es escrolodiotie et pseudo féministe qui défend le voile ? En même temps, expression si chère à Macron 1er, elle ne dit pas un seul mot de soutien aux iraniennes qui se battent contre les Islamistes pour retrouver la liberté. Il faut bien comprendre qu’elle est incapable de faire certaines connexions fondamentales. Par ailleurs, il est si aisé de dire par pure flagornerie que « ceux qui combattent le voile sont des racistes et des Islamophobes ». Cette déclaration ne mange pas de pain et flatte les alliés de la France Insoumise .
L’écologie est passée d’un vert pastèque à un vert kaki qui ne sent pas le bucolique. Un vert kaki patibulaire, un vert kaki militaire et belliqueux où les Gamelin sont légion. Comme dans tout l’arc républicain, tout en son sein n’est que mensonges, illusions, trahisons. Les valeurs démocratiques se sont transformées en une démocrature la plus abjecte. Il faut bien assimiler que tout est sous l’égide de Mammon.
DdG

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