Du mouton animal au mouton humain, il n’y a qu’un pas et BigPharma l’a franchi.
Mortel Gardasil ® : la piste de l’aluminium…
Pourquoi les injections qui tuent les moutons ne nous tueraient pas ?
L’édito politique de Libre Consentement Éclairé
« Monsieur Dupont aurait-il été atteint de la maladie et en serait-il mort ? »
Le 21 novembre 2023
Résumé de l’article précédent sur le même sujet • Une épidémie de fièvre catarrhale frappa les troupeaux de moutons dans les Pyrénées en 2006, avant de se répandre dans toute l’Europe. • Une campagne européenne de « va xi nation » obligatoire des moutons fut entreprise dans toute l’UE entre 2007 et 2010. • Il fut utilisé des vaccins vétérinaires dans lesquels, pour la première fois, les fabricants avaient ajouté un nouvel ingrédient : de l’aluminium. • En France, en Allemagne, en Suisse, au Royaume-Uni et en Espagne furent observés des signes pathologiques (faiblesses et atteintes neurologiques diverses) chez les moutons injectés avec des « va x ins ». • Aucune maladie connue qui frappe les moutons depuis 7 000 ou 10 000 ans ne permit d’expliquer l’apparition de ces signes pathologiques. |
Madame, monsieur, chère amie, cher ami, Que des moutons développèrent des signes pathologiques graves, non associables aux maladies connues qui frappent cet animal depuis 7 000 ou 10 000 ans, et après avoir été vaccinés avec des « va x ins » dans lesquels les fabricants avaient ajouté, pour la première fois, de l’aluminium, intéressa le professeur de pathologie vétérinaire espagnol, Lluís Luján. Il constitua 3 groupes de 7 moutons : 1 groupe « Rouge », 1 groupe « Jaune » et 1 groupe « Vert ». Il injecta dans les 7 moutons du groupe Rouge, les mêmes « va x ins » vétérinaires utilisés dans l’UE lors de la campagne de « va xi nation » obligatoire, et contenant pour la première fois de l’aluminium (hydroxyde d’aluminium). Il injecta dans les 7 moutons du groupe Jaune, l’adjuvant utilisé par l’industrie pharmaceutique vétérinaire et contenant la même dose d’hydroxyde d’aluminium que les « va x ins » (Alhydrogel®). Il injecta dans les 7 moutons du groupe Vert, du sérum physiologique qui est, en principe, une solution de Chlorure de Sodium (NaCl) dosé à 0,9 % dans de l’eau distillée stérile. « Une méningo-encéphalite aiguë » Dans un article publié avec son équipe en 2013, et référencé sur le site de « Pubmed » : « From the bluetongue vaccination campaigns in sheep to overimmunization and ovine ASIA syndrome » (« Syndrome auto-immun/auto-inflammatoire induit par les adjuvants (syndrome ASIA) chez le mouton commercial »), il est précisé : – « Nous décrivons une forme de syndrome auto-immun/auto-inflammatoire induit par les adjuvants (syndrome ASIA) chez le mouton commercial, lié à l’inoculation répétée d’adjuvants contenant de l’aluminium par vaccination ». Une phase aiguë qui serait sans conséquences à long terme – « Le syndrome présente une phase aiguë qui affecte moins de 0,5 % des animaux dans un troupeau donné… ». – « … il apparaît 2 à 6 jours après une inoculation contenant un adjuvant et il se caractérise par un épisode neurologique aigu avec une faible réponse aux stimuli externes et une méningo-encéphalite aiguë. » – « La plupart des animaux se rétablissent apparemment par la suite. » Une phase chronique qui se conclut par le mort… – « La phase chronique est observée dans une proportion plus élevée de troupeaux ». – « Elle peut suivre la phase aiguë et elle est déclenchée par des stimuli externes, principalement des températures basses ». – « La phase chronique commence par une phase excitatrice, suivie d’une faiblesse, d’une cachexie extrême, d’une tétraplégie et de la mort. » – « Les lésions macroscopiques sont liées à un processus cachectique avec atrophie musculaire. » – « Les lésions microscopiques sont principalement liées à un processus neurodégénératif dans la colonne dorsale et ventrale de la substance grise de la moelle épinière. » |
Lluís Luján Professeur de pathologie vétérinaire – Université de Saragosse (Espagne) |
Précisons que la « cachexie » est un syndrome caractérisé par des perturbations importantes du « métabolisme » (réactions chimiques dans l’organisme) qui est principalement associé au cancer avec : • Perte de poids. • Altérations des processus de dégradation des molécules (catabolisme). • Inflammation « systémique » (activation anormale et persistante du système immunitaire avec une altération des fonctions physiologiques d’un ou plusieurs organes, et/ou tissus, et/ou systèmes). L’article nous apprend également que l’on trouve de l’aluminium dans le tissu nerveux des moutons injectés avec les « va x ins » à l’hydroxyde d’aluminium et qui sont victimes de cette nouvelle maladie que le professeur Lluís Luján et son équipe nomment « syndrome ovin ASIA ». Les auteurs concluent en nous mettant en garde : « des vaccinations multiples et répétitives peuvent avoir des conséquences dévastatrices, comme cela s’est produit après la vaccination obligatoire contre la fièvre catarrhale en 2008. » Ils précisent encore que cette nouvelle maladie, le syndrome ovin ASIA, « peut être utilisée comme un modèle d’autres maladies similaires affectant à la fois l’homme et l’animal. Il n’y aurait donc pas que les mortels produits à ARNm qui seraient extrêmement dangereux pour les êtres humains que nous sommes. On peut ainsi légitimement se demander si ces dangers ne concerneraient pas tous les « va x ins »… On peut se le demander, et avoir un avis tranché sur le sujet ! En ce qui me concerne, il est totalement exclu que l’on m’injecte le moindre produit « va xi nal » dans le corps. C’est totalement exclu. Définitivement exclu. Monsieur Dupont aurait-il été atteint de la maladie et en serait-il mort ? Et à ceux qui douteraient de la réponse à apporter à cette question, je leur recommande de réfléchir à ceci : Big Pharma est dans l’impossibilité absolue de démontrer que tel individu, appelons-le monsieur Dupont, aurait été atteint de la maladie et qu’il en serait mort s’il n’avait pas été injecté avec l’un de leurs produits censés le protéger d’une maladie mortelle.Qu’il soit ou non à l’ARNm… Ils affirment que les « va x ins » sauvent des vies, mais ils ne peuvent pas le prouver. En revanche, que les « va x ins » puissent rendre gravement malade et tuer, il n’y a aucun doute à avoir sur la question… Pierre Lefevre |
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