Vous êtes ici: Accueil › Faits divers › Doubs : le cadavre d’un nouveau-né retrouvé dans une rivière ← Saint-Jean-de-Monts. Le lieutenant Tisné à la tête de la gendarmerie Un ex-officier de gendarmerie poursuivi devant le tribunal correctionnel de Metz → Doubs : le cadavre d’un nouveau-né retrouvé dans une rivière Vue(s) : 641 Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d’illustration) AFP PHOTO. PHILIPPE HUGUEN Un bébé mort a été découvert mercredi dans une rivière du département du Doubs. C’est un riverain qui a fait la terrible découverte. Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière, au niveau d’une écluse à Roset-Fluans dans le Doubs, à une vingtaine de kilomètres de Besançon, a fait savoir le parquet de Besançon. Doubs : le cadavre d’un nouveau-né retrouvé dans une rivière Paris Match | Publié le 10/11/2016 à 18h08 |Mis à jour le 10/11/2016 à 18h10 Emilie Cabot, avec AFP Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d’illustration) AFP PHOTO. PHILIPPE HUGUEN Un bébé mort a été découvert mercredi dans une rivière du département du Doubs. C’est un riverain qui a fait la terrible découverte. Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière, au niveau d’une écluse à Roset-Fluans dans le Doubs, à une vingtaine de kilomètres de Besançon, a fait savoir le parquet de Besançon. Le nouveau-né «venait probablement de naître» d’après les premières constatations des enquêteurs, a indiqué la gendarmerie. «L’Est Républicain» précise que le bébé avait encore son cordon ombilical et qu’il ne portait aucun vêtement. D’importantes recherches ont été menées par la gendarmerie, un hélicoptère a même survolé le site, indique le journal. Une autopsie pratiquée jeudi Une enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Besançon pour retrouver la mère de l’enfant. Toutes les hypothèses sont ouvertes, ajoute «L’Est Républicain» qui précise qu’il était pour l’heure impossible de dire si l’enfant était mort avant d’être jeté à l’eau ou s’il s’est noyé. Une autopsie, qui devrait notamment permettre de dater le décès, devait être pratiquée jeudi par l’institut médico-légal de Besançon. Source : Paris Match Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
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