Donald Trump ose s’attaquer aux finances de Big Pharma : vont-ils le descendre ?
Est-il déjà trop tard ?
Madame, Monsieur, chère amie, cher ami,
Le Président Donald Trump vient de décider (Executive Order – ordre exécutif) que les médicaments considérés comme « essentiels à l’humanité » par l’OMS d’avant (dont l’hydroxychloroquine fait partie), et destinés au marché des États-Unis, devront être produits aux États-Unis.
Le Président Donald Trump s’attaque aux finances de la mafia pharmaceutique internationale qui ruine les peuples et empoisonne bien souvent les populations (Vioxx®, Médiator®, vaccins, etc.)
Cet Executive Order s’accompagne d’une décision sans précédent dans l’histoire occidentale de la lutte contre le crime organisé : le prix de vente de ces médicaments sur le marché intérieur des États-Unis devra être le plus bas dans le monde !
En prenant cette décision, le Président Donald Trump s’attaque directement aux finances de la corruption qui gangrène les facultés de médecine, de pharmacie et les hôpitaux. Corruption qui a été dénoncée dans de nombreux livres comme ceux du professeur Philippe Even « Corruption et crédulité en médecine » (Cherche-Midi) ou encore « Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » (Presses de l’Univers) du docteur Peter Gotzsche, co-fondateur de l’ex-très respectée Fondation Cochrane que Bill Gates a rachetée via une subvention de 1 156 829 USD par an pendant 10 ans.
Dans une conférence de presse que nous considérons comme historique, il a déclaré qu’il supprimait les « Middle man », ce que l’on peut traduire par « les intermédiaires » qu’il n’hésite pas à décrire comme des parasites inutiles qui s’enrichissent sans rien faire sur le dos de la santé des gens.
Une lutte sans précédent contre le crime organisé
Le Président Donald Trump a pris une décision historique qui annonce aux États-Unis la destruction des réseaux étatiques et institutionnels de la corruption qui règne en maître dans le secteur de la santé publique : de nombreux fonctionnaires de santé, de nombreux professeurs de médecine et de pharmacie, de nombreux journalistes « santé », de nombreux politiciens professionnels et de nombreux médecins « Laeder d’opinions », vont va voir leurs revenus drastiquement chuter (certains vont passer du million de dollars annuel à moins de 100 000).
De nombreuses fortunes qui financent les gangs criminels liés au Parti Démocrate et aux cliques des Obama et Clinton vont se défaire aux États-Unis.
La vie du Président des États-Unis menacée par Big Pharma ?
D’ailleurs, Donald Trump s’étend quelque peu dans sa conférence de presse sur les dangers manifestement importants que lui fait risquer sa décision, il précise que c’est peut-être la dernière fois avant quelque temps qu’il apparaît publiquement (on ne peut pas ne pas penser à l’assassinat de JFK).
Pour voir la conférence de presse du président des États-Unis, Donald Trump, cliquez sur « Une lutte sans précédent contre le crime organisé, merci Donald Trump ».
Lecteur vidéo
En France, la pourriture étatique fait corps avec mafia pharmaceutique internationale.
L’interdiction de l’hydroxychloroquine prise par la ministre néonazie Agnès Buzyn (qui porta fièrement la première mesure législative voulue par l’Exterminateur des personnes âgées, Emmanuel Macron, à savoir la criminelle extension à 73 ou 76 vaccins obligatoires injectés dans le corps de bébés dès l’âge de 8 semaines), a vraisemblablement été orchestrée à Davos lors du Forum économique mondial de 2019 (lire ou relire à ce sujet notre dernière lettre en cliquant sur « Didier Raoult, cible à abattre »).
Cette mesure d’interdiction de l’hydroxychloroquine, indispensable au bon déroulement du plan global de l’Église mondialiste, faisait également l’affaire de Bill Gates et de ses amis de Big Pharma dont la société Gilead, l’un des fleurons de la criminalité organisée par l’industrie pharmaceutique.
Une déclaration choque du professeur Didier Raoult devant la commission « d’enquête » (on devrait plutôt dire « commission de blanchiment juridique des coupables) de l’Assemblée nationale
« Quand j’ai parlé pour la première fois de la chloroquine, quelqu’un m’a menacé, à plusieurs reprises, de manière anonyme. J’ai porté plainte et j’ai fini par découvrir que c’était celui qui avait reçu le plus d’argent de Gilead depuis six ans ».
Il s’agit du professeur François Raffi, chef du service d’infectiologie au CHU de Nantes et qui aurait perçu plus de 500 000 € de Big Pharma, dont une partie de la part de Gilead.
François Raffi à la solde de Big Pharma, professeur de médecine au CHU de Nantes, auteur des menaces de mort contre Didier Raoult.
Source : Riposte Laïque
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