Délinquance, les chiffres 2019
Cette semaine, le ministère de l’intérieur a fait part des chiffres peu flatteurs de notre pays en matière de délinquance.
Reprise par le Figaro, l’annonce n’a pas pu passer inaperçue.
On constate à la lecture de ces données une hausse impressionnante de toutes les formes de délinquance.
Pour autant, peu de commentateurs ou de « spécialistes et experts », se risquent à de quelconques explications, l’exercice menant inévitablement à des réponses peu politiquement correctes.
D’une façon générale, ces très mauvais chiffres s’expliquent par le fait qu’en France, les délinquants ne risquent pas grand chose et qu’il vaut mieux désormais agresser au couteau une grand mère que défendre sa maison ou rouler trop vite sur une départementale. A noter plusieurs éléments qui peuvent contribuer à élucider le phénomène.
La justice française ne condamne pas assez fermement les vrais délinquants et on remarque de très importants taux de récidives, les acteurs de terrain, Police et Gendarmerie le confirment publiquement et régulièrement.
L’État prétexte le manque de places en prison (et leur mauvais état) et l’engorgement des tribunaux mais pourtant n’y met pas les moyens nécessaires. En effet, le budget du ministère de la Justice français est classé 24 ème sur 28 en Europe et les délinquants attendent en moyenne plus d’une année avant de passer en jugement. De quoi passer à autre chose en attendant…
Enfin bien sûr, et là, on touche le fond du problème, on constate que 40 % des actes délictueux sont le fait d’étrangers et encore près de 40 %, de double nationaux.
Il est inutile dans ces colonnes patriotes d’aller plus avant dans la démonstration, vous avez tous saisis le caractère inextricable de la situation, sans réelle volonté politique de mettre un terme à l’origine du fléau.
En attendant, les commentateurs zélés de la propagande officielle continueront à modifier les prénoms des délinquants pour ne pas stigmatiser ou discriminer, le « pas d’amalgame » restera le vocabulaire autorisé et nous continuerons à avoir bêtement le « sentiment d’insécurité », pauvres bougres populistes que nous sommes…
Agnès de PREMONT
VPF – Auvergne
Source : Volontaires Pour la France
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