Décès en service d’un malaise du commandant de la communauté de brigades d’Estissac (Aube) : une cagnotte pour sa famille

Bougie la Voix du Gendarme

La Gendarmerie est à nouveau endeuillée par le décès en service des suites d’un malaise cardiaque du major Sébastien Ritoper, commandant de la Communauté de brigades (CoB) d’Estissac dans l’Aube (10). Âgé de 51 ans, il était marié et père de deux enfants. Il était engagé depuis plus de 23 ans dans la Gendarmerie.

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Le sous-officier est décédé ce lundi 26 août à Marigny-le-Châtel annonce Gendinfo. Aux alentours de 19 heures, alors qu’il rentre chez lui, à l’issue de son service, en tenue, dans son véhicule personnel, le major Sébastien Ritoper, ressent des douleurs thoraciques. ll prévient son épouse, qui déclenche les secours. Ceux-ci se rendent immédiatement sur place et tentent, pendant une heure de le réanimer, en vain.

Le général d’armée Christian Rodriguez, directeur général de la Gendarmerie, adresse ses condoléances et tout son soutien et celui de l’Institution à la famille et aux proches du major Sébastien Ritoper, ainsi qu’à ses camarades touchés par ce drame.

La Voix du Gendarme adresse ses condoléances attristées à la famille du major et tout son soutien à ses camarades.

Une cagnotte de la Fondation Maison de la Gendarmerie

La Fondation Maison de la Gendarmerie a mis en ligne une cagnotte au profit de son épouse, Stéphanie et ses deux filles, Elise (18 ans) et Margot (15 ans). 

Source : La Voix du Gendarme

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L’Association Professionnelle Gendarmerie (APG) présente, à sa famille et à ses camarades, ses sincères condoléances.

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

« SÛR ET EFFICACE …. Les gendarmes ont été les victimes d’injections rendues quasiment obligatoires, au risque de représailles et de brimades en cas de refus. Les gendarmes sont aussi les victimes de la politique laxiste des autorités, qui les expose à des atteintes délibérées à leur vie, comme dans le cas de l’adjudant Éric Comyn. »

Il serait temps de cesser de « jouer les Autruches », nous savons de notoriété publique que depuis la « Plandémie » l’ensemble des gendarmes ont été mis dans l’obligation d’accepter envers et contre tout la « Piquouze » anti-Covid sure et efficace…. Ceux qui auraient eu l’outrecuidance de refuser (il y en a eu) se voyaient menacés de mutation disciplinaire, voir d’exclusion de l’Arme quand à leur avancement n’en parlons même pas. Comme par hasard les Gendarmes étaient soumis à cette obligation vaccinale mais pas la Police.

Cette obligation vaccinale, ordonnées par les autorités gouvernementale a été suivi à la lettre par le général Christian Rodriguez, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale. En conséquences ses condoléances adressées à la famille seraient-elles un Méa Culpa ou un Refus de responsabilité dans ce drame ?

Le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale a une responsabilité personnelle dans les conséquences de cette obligation vaccinale qui ne l’oublions pas qui était un produit expérimental.

Ne pas oublier que le major Sébastien Ritoper, en tant que sous-officier d’active de la gendarmerie, âgé de 51 ans, était soumis à des visites médicales régulières afin de contrôler son aptitude au service. Nous pouvons donc en conclure que cette soudaine crise cardiaque pourrait être la conséquence de cette vaccination expérimentale Covid rendue obligatoire pour l’ensemble de nos camarades gendarmes.

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