De la nécessité d’un sursaut massif ou Le jour où Macron qualifia le confinement d’« absurde » mais persista néanmoins dans cette voie
Un article important à lire avec attention, prendre le temps de lire également les références et de visionner les vidéos mises en liens. Ensuite il ne vous reste plus qu’à « digérer » pour alimenter votre réflexion.
Merci à Alexandre Gerbi (son site) pour tout avoir décortiqué et nous donner matière à réfléchir…
L’horrible année 2020 est enfin achevée. L’occasion de revenir sur une information hallucinante passée totalement inaperçue, mais qui en dit long sur la liquéfaction des esprits dans la France au temps du Covid-19 : le 4 décembre dernier, Emmanuel Macron a déclaré publiquement que le confinement général était « le truc le plus absurde qui ait été fait ». Après plus de huit mois de suspension des libertés publiques, de double ruine de l’Etat et de l’économie, bref de destruction historique du Pays, le président de la République s’apprêtait-il à enfin changer son fusil d’épaule ? Absolument pas. Au cours des semaines suivantes, seules les modalités du broyage allaient un peu évoluer, et amplifier les désastres… Alors, énième provocation de celui qui se pense entouré d’imbéciles ? Sidérante fanfaronnade du cynique sûr de son impunité ? Lapsus d’anthologie proféré par un Deus ex machina malfaisant enivré de sa toute-puissance ? Ou, plus simplement, stade suprême du « en même temps » ? A chacun d’en juger…
Il faisait plaisir à voir, « Manu », ce vendredi 4 décembre 2020, lors du très long entretien qu’il a accordé à « Brut », site d’information destiné aux jeunes. En pleine forme, guilleret, parfois même goguenard. Manifestement insensible aux désastres provoqués par sa politique. Voire galvanisé par eux…
Oublié le temps des Gilets Jaunes, ces heures terribles où il s’adressait aux Français les traits tirés, le teint grisâtre, amaigri. L’époque où, claquemuré en son palais, il attendait avec angoisse chaque nouveau samedi, craignant l’assaut du peuple vengeur aux chants de la Marseillaise et du virevoltant : « Emmanuel Macron, oh tête de con, on vient te chercher chez toi ! »…
Le joli temps du Covid-19
Aujourd’hui tout est changé. Voici venu le joli temps du Covid, son ineffable confinement, ses rues dépeuplées, ses commerces en faillite, ses chômeurs tombant comme à Gravelotte. Tout va pour le mieux en France. Sous prétexte sanitaire, disent les mauvaises langues, le président règle en réalité ses comptes. Ses comptes avec le peuple, avec les « Gaulois réfractaires » coupables d’avoir indéfectiblement soutenu les Gilets Jaunes. Jusqu’à 70 ou 80 % fin 2019, au pire de la crise. Il les abomine comme il abomine la France. A présent, la fête est finie. Tous doivent payer. Enfermés, enchaînés, masqués. Sur le chemin paupérisation.
Vengeance ou pas, une chose est sûre : depuis le départ, le virus réussit à Macron.
On se rappelle la séance euphorique du 6 mai 2020 où, après deux mois de confinement déjà dévastateurs, se trifouillant bizarrement les cheveux, le Président finissait par enjoindre aux Français de descendre, comme Robinson, « dans la cale » du navire naufragé pour y chercher « le jambon et le fromage »… avant d’ « enfourcher le tigre »…
Sept mois plus tard presque jour pour jour, ce 4 décembre, face au micro de « Brut », Jupiter rayonne comme lors de toutes ses prestations depuis lors. Revigoré par les événements. Pendant deux heures et vingt minutes, l’œil pétillant, il sembla souvent bien s’amuser. A plusieurs reprises, il parut même réprimer un éclat de rire. Le malheur des uns…
Curieusement, alors que des secteurs entiers de l’économie agonisaient après huit mois de léthargie mortuaire et mortifère, il fallut attendre la 45e minute de l’entretien pour que le mot « confinement » affleure subrepticement dans la conversation. A l’évidence, le petit monde de « Brut » ne vit pas dans la même dimension que vous et moi… A telle enseigne qu’une demi-heure de plus fut nécessaire pour que la question dudit confinement soit enfin soulevée. Soit au bout de 1h15 d’émission. Sans être, bien sûr, jamais interrogée…
« Brut »… mais fort disciplinés
Les trois intervieweurs, Rémy Buisine, Yagmur Cengiz et Thomas Snégaroff, n’ont jamais songé à questionner Macron sur la réalité du danger que représente – ou ne représente pas – un virus dont le taux de létalité plafonne entre 0,1 % et 0,6 %.
Ni sur la pertinence, sous un tel prétexte, d’assigner à domicile toute une population, quand le risque de mourir de la maladie chez les moins de 60 ans est proche de zéro.
Ni, dans ces conditions, sur l’opportunité de fermer pendant des mois les boutiques, les bars, les restaurants, les salles de sport, les marchés, les cinémas, les théâtres, les opéras, les festivals, etc. et de provoquer en conséquence des dizaines de milliers de faillites d’entreprises, la ruine de centaines de milliers de commerçants, d’artisans, de travailleurs indépendants, d’artistes, le licenciement de millions de salariés, l’explosion de la précarité et de la misère, le déclenchement d’une vague sans précédent de dépressions et de suicides, un déferlement de tragédies sanitaires pour cause de maladies non détectées ou non soignées… bref, la dévastation de l’économie et plus généralement de la société. Et bien sûr, cerises sur le gâteau, l’explosion de la dette et la ruine de l’Etat.
Pas davantage, sur ce média dont les jeunes sont le cœur de cible, il ne vint à l’esprit desdits intervieweurs de questionner Emmanuel Macron sur l’opportunité de fermer les universités, alors que la quasi-totalité des étudiants, compte tenu de leur âge, sont invulnérables au virus. Tandis que la circulation du Covid-19 parmi la jeunesse aurait permis son immunisation collective, laquelle est l’une des clefs de la fin de l’épidémie. Mais il est vrai que par ces temps de tyrannie En Marche, il eût été insolent de déceler dans cette mesure une manœuvre visant à neutraliser les turbulents étudiants, par tradition si prompts à la révolte. Sur cette décision aberrante, mais très bien calculée, pas davantage que sur les projets de lois scélérates qui l’accompagnaient (1), grâce aux intervieweurs complaisamment sélectionnés par « Brut », Macron n’eut donc besoin de s’expliquer…
Concernant le vaccin, non plus. Car là encore, ce fut un beau morceau de propagande digne des plus grandes dictatures du XXe siècle. Certes, le journaliste Rémy Buisine s’appliqua tout au long de l’entretien à se poser en rebelle… mais c’était pour mieux servir la soupe au président. Ainsi le faux insoumis se montra chaudement partisan de l’obligation de vacciner, permettant à Macron de se retrouver, de ce fait, dans le rôle confortable de celui qui se montre prudent et à l’écoute des inquiétudes du peuple au sujet du très controversé vaccin. Jolie opération de manipulation.
Bien entendu, l’opportunité de vacciner toute une population pour une maladie non létale dans plus de 99% des cas ne fut pas interrogée. Disciplinés, qu’on vous dit…
Festival de mensonges au service de l’« absurde »
Lorsque la question du confinement fut enfin abordée, « boosté » par autant de servilité, Macron osa déclarer :
« Face à ce virus qu’on ne connaissait pas [en mars 2020], on a vu que c’était un virus qui était mortel surtout pour les plus âgés, mais touchait en forme grave parfois à tous les âges (…). La seule réponse, c’est celle qu’on avait face à la peste au Moyen-Âge : l’isolement complet. »
Beaucoup de balivernes en seulement deux phrases : en dehors des personnes âgées et très âgées, le virus n’est mortel ou grave que très exceptionnellement, pour une fraction infime de la population. Contrairement à ce qu’avance Macron, pour le plus grand nombre, la seule réponse n’était donc pas le confinement.
Quant à la référence à la peste médiévale, elle est inepte puisque cette maladie tuait 33 % de la population et jusqu’à 100 % des personnes qu’elle infectait. Rien à voir, donc, avec le Covid-19, qui tue 0,05 % de la population et 0,5 % des personnes infectées… En face, ses interlocuteurs, comme d’habitude, observèrent un silence assourdissant.
Devant cette complicité caricaturale bafouant la Charte des Journalistes (2), Macron était évidemment en roue libre. Survint alors que le clou du spectacle : Macron qualifia d’« absurde » sa politique de confinement.
Il lança :
« Quand le virus commence à se répartir partout [en mars 2020], la seule réponse, c’est celle qu’on avait face à la peste au Moyen Âge. C’est, en effet, l’isolement complet. Donc on a fermé les rues, comme on faisait au Moyen Âge. C’est le truc le plus absurde qui ait été fait. »
Repassons le film au ralenti : « Face à ce virus qu’on ne connaissait pas (…) la seule réponse [qu’on a trouvé dans l’affolement, ce fut] l’isolement complet [le confinement général] (…) c’est le truc le plus absurde qui ait été fait ».
Vous ne rêvez pas. Ces mots sont bien sortis de la bouche de Macron. Le confinement a été une mesure absurde adoptée par la peur panique que suscitait un virus qu’on a d’abord pris, à tort, pour une nouvelle peste…
Evidemment, devant cet aveu stupéfiant de l’ineptie (« truc absurde ») du confinement par celui qui l’a décidé, prolongé et relancé pendant des mois, aucun des pseudo-journalistes n’a eu l’idée de s’étonner. Ni de demander pourquoi, alors que la faible létalité est aujourd’hui parfaitement établie, le confinement continuait.
Sentant sans doute que la sortie présidentielle appelait quelque rebond, Thomas Snégaroff, apparemment très amusé en dépit de la gravité du sujet, interrompit Macron et badina :
« Au Moyen Âge, parfois on mettait les gens dans une maison et on attendait que tout le monde meurt pour leur ouvrir. On va éviter ça ? »
Plaisanterie au goût douteux, et même scandaleuse au regard de l’extrême gravité de la situation pour des millions de Français…
Petits rires, logorrhée et grosses ficelles
Apparemment très amusé lui aussi, Macron s’est alors fendu d’un nouveau mensonge doublé d’une provocation, à l’heure où le confinement se poursuivait et que le second couvre-feu était prévu pour la mi-décembre. Dans un sabir souvent proche du charabia, il répéta qu’au début de l’épidémie en France, en mars 2020, le virus laissait redouter le pire en terme de létalité :
« Non, mais bien sûr… mais je dis ça parce que l’organisation collective… alors c’est beaucoup plus sophistiqué mais… c’est exactement ce qu’on a fait. C’est-à-dire que comme on en savait si peu [au sujet du virus] et qu’à un moment on a fait un choix humaniste collectif de protéger les vies. Je veux dire, le choix que nous avons tous fait, que nous avons tous fait, nous, une société dont on dit parfois, « on est consuméristes », « l’économie mène tout », on a fait un choix humaniste, on a dit : « on est prêt à arrêter l’économie, la consommation et caetera, pour protéger des vies ». Faut jamais l’oublier. Et ça on l’a fait tous ensemble. Et honnêtement, on est un pays où il y a de la controverse, il y a du débat en permanence, des doutes. Les Françaises et les Français ont tenu les deux confinements. »
Au delà d’un phrasé chaotique digne d’un mauvais élève de cinquième, de la démagogie grossière, on ne peut que relever l’ampleur du mensonge : au rebours de ce que Macron affirme, on savait dès les mois de février et mars 2020 que le taux de létalité du Covid-19 était relativement faible. Le Pr François Bricaire l’avait dit sans équivoque au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, tout comme le Pr Caumes (3) et le Pr Didier Raoult (4). Précisons que contrairement à ce qu’ont répété quelques imbéciles de parfaite mauvaise foi, jamais aucun de ces hommes n’a dit qu’il s’agissait d’une « grippette ». En revanche, les trois infectiologues ont indiqué, dès février et mars, que toutes les études sérieuses indiquaient le Covid-19, après avoir laissé craindre le pire lors de son apparition en 2019 en Chine, était en définitive une maladie certes nouvelle, mais guère plus meurtrière qu’une grosse grippe habituelle.
A l’époque, le gouvernement et les principaux médias (Le Monde, Libération, Le Figaro, France Télévision, France Inter, RTL, etc.) firent silence sur ces informations pourtant capitales, et jouèrent, au contraire, la carte de la psychose collective, en répandant l’idée que le Covid-19 était une maladie effroyable susceptible de provoquer une hécatombe historique. Une nouvelle « peste », selon la formule volontairement falsificatrice du directeur de la Santé, Jérôme Salomon. Tout cela pour justifier l’« absurde » confinement.
Une manipulation délibérée qui, en dépit de son énormité, ne s’est jamais vraiment démentie depuis.
Pourquoi la destruction des libertés et de l’économie va continuer
Dans quel but ? demanderont beaucoup de Français de bonne foi, persuadés que ceux qui nous gouvernent et ceux qui nous informent (ce sont, en dernière analyse, souvent les mêmes) ne peuvent vouloir que le bien collectif.
Au fil des mois depuis mars 2020, avec d’autres, nous avons expliqué (5) ce qu’est le vrai but de Macron et de ses maîtres ploutocrates : la destruction des acquis sociaux, plus généralement de l’Etat-providence, par la double ruine de l’économie et de l’Etat.
Cette machination, apparemment insensée, a en réalité pour but de rendre possible la privatisation à tout-va, sur fond de basculement dans l’ultralibératisme et l’ubérisation généralisée.
L’extension du domaine du lucre.
En somme, l’aboutissement du projet que poursuivent les gouvernements successifs depuis des décennies, sans pouvoir pousser ce processus à son terme.
Schéma de la trahison macronienne (branche française de la trahison internationale) pour un changement d’ère
A ce stade, pour résumer la situation que connaît la France (comme bien d’autres pays, notamment européens, également trahis par leur classe politique), il est possible d’énoncer les certitudes suivantes :
1/ Le Covid-19 n’est pas la peste, mais une maladie à la létalité très limitée : c’est un prétexte, fabriqué de toutes pièces à partir de mensonges aussi grossiers que délibérés. C’est aussi un moyen pour hypnotiser les masses par la terreur de la mort.
2/ Le confinement, inapproprié et même « absurde », n’est pas une réponse sanitaire : c’est un moyen, un outil de destruction économique et sociale, un brise-glace visant à rendre possible le déploiement de politiques ultralibérales. C’est aussi un moyen d’anesthésie et d’asservissement collectif.
3/ La santé publique n’est pas un objectif : c’est un alibi, permettant à Macron de provoquer la double ruine de l’Etat et de l’économie. Lesquelles ruines ne sont pas des fins en soi mais le levier nécessaire pour achever de démanteler ce qu’on a appelé la social-démocratie issue, en France, de la plateforme économico-politique mise au point par le CNR (Conseil National de la Résistance) en 1945.
4/ Les derniers développements de l’opération, à savoir la vaccination avec un produit possiblement nocif puisque d’une nature révolutionnaire et non testé sur le long terme, mais rendue obligatoire par le chantage à la liberté de mouvement, permettent d’identifier un autre objectif, au-delà du versant économique de l’escroquerie du Covid-19 : l’aliénation quasi-complète de la liberté, déjà largement mis en place avec le confinement lui-même et ses à-côtés. Pour l’avènement d’une société de contrôle des individus, sous couvert de prévention sanitaire. Ce dessein a été formalisé par l’éphémère projet loi Castex rapidement ajourné mais pas pour autant abandonné.
De toute évidence, ce qui est en cours actuellement, ce qui se joue, c’est un changement d’ère, dont les Français doivent avoir conscience.
La France est victime d’un Etat dévoyé et profondément corrompu, comme l’ont démontré les deux gravissimes affaires emboîtées de la Chloroquine et du Remdésivir, au service des plus grandes puissances d’argent. A la tête de cet Etat retourné contre le peuple et la Nation, Macron, marionnette des ploutocrates, conduit une machination grossière pour atteindre des objectifs inavouables. Tantôt flatteur, tantôt menaçant, il impose une politique relevant de la haute trahison, dont les Français devraient enfin se rendre clairement compte. Et contre laquelle ils seraient bien inspirés, tous ensemble, de s’élever corps et âme.
De la seule manière efficace qui soit : massive (au moins cinq millions de personnes à travers les rues de France) et strictement pacifique, voire silencieuse. Mais sans tarder.
Du moins s’ils veulent échapper à la sauce que Jupiter mitonne en ses marmites pour mieux les manger…
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(1) La loi a finalement été retoquée par le Conseil constitutionnel sur l’un de ses points les plus liberticides. https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-lhistoire/le-chahut-universitaire
(2) « Ces principes et les règles éthiques ci-après engagent chaque journaliste, quelles que soient sa fonction, sa responsabilité au sein de la chaîne éditoriale et la forme de presse dans laquelle il exerce. (…) Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. (…) C’est dans ces conditions qu’un journaliste digne de ce nom : (…) Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient (…) l’altération des documents, la déformation des faits, (…) le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelle. » La Charte des Journalistes
(3) Le 20 février 2020, le Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris, déclara : « Le taux de létalité [du Covid-19] a tendance à baisser depuis le début de l’épidémie. Il a d’abord été estimé à 15%, puis à 2%, puis à 1%. Dans les études, actuellement, on dit 0,5 à 1%. Mais le problème c’est qu’on ne connaît pas le dénominateur, et plus notre connaissance progresse sur le nombre de patients infectés (…), plus on se rend compte qu’il y a énormément de gens qui sont infectés avec peu de symptômes voire pas de symptôme du tout. Et donc on estime que le taux de létalité est probablement moindre que celui qu’on a calculé jusqu’à maintenant. Et je pense qu’il va terminer autour de 0,1%, (…) donc on va se retrouver avec un taux de létalité globalement proche de celui de la grippe. (…) Le virus lui-même (…) n’est pas la peste du Moyen-Âge, clairement. [C’est un] virus émergent, pas très grave. » Voir ici la vidéo.
(4) Le 17 mars 2020, le Pr Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection, expliquait : « (…) Bien sûr, les maladies infectieuses sont des maladies d’écosystème, mais on ne trouve pas [avec le Covid-19] une catastrophe qui justifie des mesures [comme le confinement général] dignes d’une catastrophe atomique. Par ailleurs, si on regarde ce qu’est la mortalité de cette maladie, c’est assez difficile à évaluer, mais il y a, au moins, un endroit dans lequel c’est facile d’évaluer une part de la transmission, et la part de la mortalité. C’est cette grande folie qu’ont fait les Japonais en coinçant tout le monde sur un bateau de croisière, avec des gens dont la moyenne d’âge était extrêmement élevée, comme les croisiéristes en général. Il y avait à peu près 3000 personnes [sur le bateau]. Là-dessus, il y en a 700 qui sont tombées malades et 7 qui sont mortes. Dans la population la plus à risque, la mortalité est de 1% ! Donc il faut arrêter de raconter des choses qui terrifient les gens. Bien entendu, si vous ne testez que les gens en réanimation (…) vous aurez une vision de la gravité de la maladie qui n’aura rien à voir avec la gravité de la maladie, [car] la gravité de la maladie des gens qui sont en réanimation généralement est très grave. (…) Moi je ne vois pas de signaux de mortalité qui soient spécifiquement redoutables [par rapport à une grosse grippe] (…) » Voir ici la vidéo
(5) « Scandale du confinement : Pourquoi Macron et toute la classe politique devraient être discrédités »
Source : Agoravox
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