De la nécessité d’un contrôle parlementaire sur le traité pandémies de l’OMS, qui foule aux pieds notre souveraineté nationale
« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux »
Etienne de La Boétie
Discours de la servitude volontaire (1576)
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
Le 27 mai prochain, d’après les trop peu nombreuses informations dans les médias, peut-être volontairement afin de ne pas éveiller l’attention du peuple français (un peu comme ce fut le cas avec le traité de Lisbonne – dont la ratification parlementaire en 2009 contourna un non référendaire exprimé en 2005), le gouvernement d’Emmanuel MACRON semble avoir l’intention d’abandonner notre souveraineté de la santé en adhérant « en catimini » au Traité « pandémie » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sans vous demander au préalable votre autorisation ou celle du peuple français.
Deux études juridiques, la première à travers le tableau qui suit, et la deuxième, en annexe 3, nous permettent de démontrer que transférer la gouvernance de la santé des française et des français à l’OMS (abandon de souveraineté à une organisation privée, de surcroit étrangère, et à des individus non élus) sans l’aval préalable des parlementaires ou du peuple français est fort heureusement inconstitutionnel.
Le président de notre république n’étant pas un ROI ne peut se passer de l’autorisation des représentants du peuple français, ou du peuple français par référendum, lorsqu’il souhaite aller au-delà des pouvoirs limités que notre constitution lui alloue.
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