De la fumée sans feu, est-ce possible ?
Introduction.
Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.
Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.
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Sujet du jour :
Vous connaissez tous cette expression : « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Dans une de mes « nombreuses vies », précisément celle de sapeurs-pompiers de Paris, j’ai effectivement eu de très nombreuses occasions de vérifier sa pertinence.
Cela étant, comme le mentionne fort justement le site Expressions françaises, au cours du temps, « elle a été érigée sur le principe que la moindre rumeur repose sur une base véridique ». C’est cette dérive qui a amené la création d’une véritable « justice médiatique » qui influence, voire remplace, la « justice juridique ».
Comme vous le savez, un des indicateurs dont je surveille attentivement l’évolution est le nombre de défaillances d’entreprises, qui est tenu par notre chère banque de France. La dernière parution (25 mai 2022) de « la vieille dame », relative à ce phénomène, me semble intéressante à analyser.
Pour ce qui est des données hebdomadaires, de 2019 à 2021, d’une année sur l’autre, le nombre de défaillances d’entreprises baisse continuellement.
Depuis le début de l’année 2022 (ligne verte), les chiffres sont plus élevés : dans un premier temps, que l’année 2021 et maintenant, que l’année 2020.
Au niveau des évolutions mensuelles, la même tendance est confirmée. Je note qu’elle est présentée de manière « rassuriste » :
« À fin avril 2022, le nombre de défaillances cumulé sur un an (entre mai 2021 et avril 2022) s’élève à 30 915. Ce chiffre reste inférieur de près de 30 % à celui observé il y a deux ans (mai 2019-avril 2020) et de 43 % par rapport à la période antérieure (mai 2018-avril 2019), avant toute manifestation de la pandémie de COVID 19 (cf. graphique 1). Il n’y a pas à ce stade de signe d’une vague de faillites à venir ».
À la même date (25 mai 2022), la banque de France publie son billet numéro 271. Le choix du sujet traité est « amusant » : « Les effets réels des paniques bancaires : la France en 1930-1931 ». La fameuse crise financière de 1929 qui est un des éléments déclencheurs de la Deuxième Guerre mondiale.
Y aurait-il une relation de cause à effet ? Blanche puis grise… ça commence à faire beaucoup de fumée .
Autre sujet, la guerre bactériologique, en cours depuis longtemps. L’épisode du « Corona-entourloupus » et maintenant la guerre en Ukraine nous permet d’en avoir un plus large aperçu.
Non, ce n’est pas de « l’antiaméricanisme primaire »… ni secondaire , que d’affirmer que les États-Unis d’Amérique ont disséminé un peu partout dans le monde, des laboratoires de recherche biologique.
Même Victoria NULLAND, numéro trois de la diplomatie américaine, le reconnait … du bout des lèvres :
« les États-Unis collaborent à des programmes de recherche d’armement biologique en Ukraine ».
Pire, des documents saisis en Ukraine par l’armée russe mettent en évidence les activités militaires biologiques des USA dans ce pays.
Il semble même établi qu’une partie des dirigeants démocrate et… Hunter BIDEN (le fils) est mouillé, comme je vous le relatais déjà en décembre 2019. Du coup, Washington admet diriger 336 laboratoires biologiques dans 30 pays à travers le monde, dont 26 en Ukraine, mais…
« ces contrats ne violent pas la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1975, bien qu’ils soient développés par un organe du Pentagone, l’Agence fédérale de réduction des menaces pour la Défense (DTRA) ».
En matière de fumée, ce sont des panaches qui obscurcissent le ciel !!!
Alors quand les « merdias de grand chemin » préparent l’opinion aux futurs dangers de « la variole du singe » … je m’interroge :
- Après le « Corona-entourloupus» puis « l’invasion Vladimirus », ne nous prépare-t-on pas une « Variolinjectibus » ???
- Ce nouveau fléau apparaît de manière «inattendue » et simultanément, non pas sur les marchés de Wuhan, mais… au Royaume-Uni, Portugal, Espagne, France, Belgique, Suède, Italie, Canada, États-Unis, Australie. Cela me semble exclure une propagation par contaminations naturelles.
Ces signaux de fumée ressemblent à un avertissement des grands chefs indiens défunts, pour nous prévenir d’un danger imminent .
Alors, analyse complotiste ? Ou plus simplement réflexion de bon sens, destinée à vous préparer à une future « réalité compliquée » ? Le temps nécessaire pour adapter votre stratégie patrimoniale, face au« tsunami social et financier » qui approche, diminue rapidement, soyez-en bien conscient.
« Quand on a la tête dans le sable, on a le cul en l’air »
(proverbe américain)
Chers lecteurs, adeptes des châteaux de sable… ou pas, je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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