Covid : Pourquoi nos gouvernements nous mentent !

Comment et pourquoi nos Gouvernements nous mentent dans la Crise Sanitaire actuelle : ABC de la corruption systémique !
Par Jean-Dominique Michel : 

 

Le saviez-vous ? Les mesures brutales qui nous sont imposées par nos gouvernements ne sont ni utiles ni nécessaires. En prétendant l’inverse, ils continuent à abuser de notre crédulité et de notre bonne foi, tout en mettant à genoux nos sociétés et en détruisant la vie de tant de nos concitoyens.

Vous trouvez cette introduction choquante ? Alors ouvrez votre esprit et accrochez votre ceinture… Voici un résumé glané sur le net présentant fort bien ce dont il s’agit :

Voyez-vous cet homme dont le portait figure en tête d’article? Il s’appelle John Ioannidis. C’est le plus grand épidémiologiste du monde. Oui, du monde. Il est professeur à Stanford, avec un H-Index de 200+, et ses travaux sur la méthode scientifique sont parmi les plus cités en recherche clinique.

Eh bien, voici ce qu’il pense du confinement:

«Plus on avance, plus on constate que les bénéfices supposés du confinement sont des artefacts dus à la modélisation, ils ne sont pas vrais»; «les confinements sont une mesure extrême, nous savons qu’ils produisent des dégâts incommensurables sur les gens, leurs vies, leur santé, leur santé mentale».

Le Pr Ioannidis vient de publier avec son équipe une étude où il a comparé les politiques sanitaires de différents pays.

Conclusion: il n’y a aucune différence de performance entre les pays qui ont confiné et les autres. L’alternative confinement / laissez-faire est une alternative fausse: nous n’avons pas à choisir entre «une mesure difficile mais efficace» et «sacrifier les gens à l’économie», car les confinements ne marchent pas, un point c’est tout. Il serait donc temps d’isoler les malades, exiger des tests pour tous les voyageurs et de protéger correctement les personnes à risque, ce qu’on fait toujours peu ou pas, après un an.

Cette étude rejoint la pile de toutes les précédentes concluant à l’inutilité de ces mesures insensées et brutales.

Or que fait le Conseil fédéral, pourtant informé que sa décision signera l’arrêt de mort de centaines de milliers de commerces, restaurants et entreprises dans le pays? Eh bien il confine et ferme les commerces et les restaurants!

On reconnaît enfin (même l’OMS !) que les tests PCR utilisés à tour de bras sont faussés et ne devraient jamais être utilisés autrement que comme outil diagnostic dans le cadre d’une consultation médicale.

Or que fait le Conseil fédéral? Il décide de tester à tours de bras, investissant 1 milliards de francs (pas perdus pour tout le monde, donc) dans cette décision irresponsable et inutile!

L’imposition du masque a des effets négatifs majeurs pour la santé (en particulier des enfants et des jeunes) sans avoir montré d’utilité en population générale (ce que rappelle même l’OMS). Dans le même temps, une étude chinoise vient de montrer que les personnes Covid+ asymptomatiques ne sont pas contagieuses et la Suède connaît une décrue réjouissante des « cas » sans avoir jamais confiné, fermé les commerces ou masqué.

Or que fait le Conseil fédéral? Il continue à imposer le port du masque!

L’ivermectine montre une efficacité précoce, curative et prophylactique remarquable, supérieure même à l’hydroxychloroquine pourtant déjà efficace. Ce médicament est extrêmement sûr, facile d’usage et ne coûte à peu près rien.

Or que fait le Conseil fédéral ? Il continue de mettre des bâtons dans les roues au traitement des malades du Covid et de tout miser sur le « vaccin génique » uniquement !

 

Les expérimentations médicamenteuses ou vaccinales sur la population sont contraires à l’éthique et rigoureusement interdites par le droit de la santé – notamment international. 

Or que fait le Conseil fédéral? Il avance à marche forcée dans la généralisation d’une expérimentation génique à risque, à large échelle!

Les données avancées par les firmes vaccinales sont incomplètes, bidouillées ou même fausses.

Or que fait le Conseil fédéral? Il s’approprie le discours publicitaire de Big Pharma sans changer une virgule!

Il est difficile, en effet, de faire cas d’autant d’absurdités. On peut certes accorder le bénéfice du doute à nos autorités et mettre ce cortège de décisions absurdes et destructrices sur le compte de la maladresse ou de la stupidité. Plus le temps passe, plus on est obligé de constater que l’explication est un peu courte…

A vrai dire, le seul éclairage (hélas) qui mette en lumière la cohérence délétère de ce cortège d’absurdités est celui que nous développons ici depuis de longs mois, à savoir les effets tragiques de la corruption systémique prévalant dans le domaine des politiques de santé.

Cette situation est tellement « hénaurme » que je comprends fort bien que tant de personnes  préfèrent s’abstenir d’y réfléchir en se contentant du discours mensonger des autorités et des médias. Un entrepreneur genevois actif dans le domaine de l’immobilier (par ailleurs intelligemment critique quant à l’impact économique des mesures imposées) le résuma récemment fort bien ainsi sur un réseau social: «Ne connaissant rien aux virus ni aux vaccins, écrivait-il, je m’en remets aux autorités et aux médecins, en qui j’ai confiance».

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Position qui serait pleine de bon sens et de sagesse si les autorités et le monde médical en question étaient en effet intègres et dignes de confiance. Ce que ce monsieur ignore (comme la quasi-totalité des gens), c’est que cela fait longtemps que ça n’est plus le cas: la santé est l’un des domaines d’activités les plus corrompus et crapuleux qui soient.

Le fossé est tel entre la réalité des choses et l’image naïve qu’en a la population, intensivement désinformée, que cela produit en retour un violent clivage dans la société.

Les Suisses en particulier préfèrent encore se bercer de la douce illusion que les choses sont différentes chez nous, que nos ministres sont des hommes et des femmes honnêtes qui ne trahiraient jamais la confiance de la population. Qui prennent le tram comme tout le monde et avec qui on pourrait manger la fondue en toute simplicité. Et qui ont sincèrement le bien commun à l’esprit.

Il est plus que jamais urgent d’ouvrir les yeux: la réalité telle qu’elle se déroule sous nos yeux est que nos autorités conduisent nos pays au désastre et à la ruine. Nos ministres ne sont pas des braves types, ce sont les fossoyeurs de notre démocratie, trahissant la population au service d’intérêts crapuleux.

Cet énoncé est certes d’une grande violence. Non en lui-même, mais parce qu’il soulève le voile sur une réalité qui est bel et bien violente à ce point.

Je mesure que je vais continuer à ne pas forcément me faire des amis en l’énonçant une fois de plus. L’écarte est désormais si grand entre l’illusion que préservent à tout prix tant de nos concitoyens et l’étendue de la forfaiture dont se rendent coupables nos autorités, politiques et sanitaires qu’il est certes plus facile de considérer d’emblée comme des «inepties» ou de l’«émotionalité» ce qui relève à l’inverse d’une analyse implacable de la situation…

Ce qu’une connaissance réelle du sujet montre, c’est que:

1/ Nos «politiques de santé» sont configurées selon le profit que les maladies permettent de réaliser. L’essentiel de la morbidité et de la mortalité en Occident est dû à un cortège de maladie chroniques qui seraient à 80% évitables ou réversibles si on s’occupait de la santé de la population!

2/ Les gouvernements, les autorités de santé, les hôpitaux, les sociétés médicales et l’enseignement sont infiltrées à tous les étages par l’industrie pharmaco-vaccinale, qui les tient docilement sous son influence.

3/ La corruption est «systémique», c’est-à-dire qu’elle ne dépend pas de la corruption de tel ou tel responsable ou de telle ou telle institution. Elle utilise par ailleurs de nombreux moyens légaux disponibles, en plus des moyens illégaux.

4/ La recherche est massivement truquée et falsifiée, en particulier dans les principales revues médicales, qui publient en fermant les yeux des études-bidon commandités ou produites par l’industrie.

5/ Les médecins croient de bonne foi prescrire des traitements utiles et efficaces alors que ce n’est souvent pas le cas. Les conséquences de la «mauvaise médecine» qui en découle est désormais la troisième cause de mortalité en Occident.

6/ Cet état de fait a été identifié par des autorités comme la Commission européenne ou le rapporteur des Nations-Unies, le Sénat français, les centres d’éthique des meilleures universités, les rédacteurs des principales revues médicales elles-mêmes, mais: dans une situation comme celle que nous vivons,  tout le monde fait semblant que cela n’existe pas et que l’affirmer reviendrait à tenir des théories complotistes!

7/ Le résultats des courses: des centaines de milliers de morts évitables, des économies en ruine, des populations terrifiées et un agenda désormais mondial pour un Grand Reset qu’aucune population n’a choisi.

 

Je viens de tourner, à la demande de Reinfocovid, une petite série de trois vidéos sur ces phénomènes que je ne cesse d’essayer de rappeler- et qui pèsent de tout leur poids sur le réel que nous subissons depuis une année.

Je livre ici le fruit de 20 années de recherche sur ces douloureuses questions, avec une petite somme de références pour les citoyennes et citoyens désireux d’en avoir le cœur net.

Car tout ce que j’avance est bien sûr documenté et sourcé.

L’omerta régnant au sujet de ce que je vais vous présenter est si absolue (dans les médias, les parlements et les gouvernements comme dans les sociétés médicales et les universités-) que ce simple élément confirmerait si besoin était l’étendue de l’indignité.

Imaginez par exemple notre pays se trouvant à organiser un grand événement sportif (comme les Jeux Olympiques ou la Coupe du monde de football) dans un contexte où l’industrie des paris sportifs  (comme cela est arrivé sous certaines latitudes) corrompait et truquait systématiquement le résultat des compétitions.

Les meilleures revues auraient signalé le problème de longue date, les centres d’éthique des universités l’auraient analysé et fait connaître de long en large, tout ce que la société civile compte d’ONG l’aurait dénoncé ainsi que nombre de sportifs eux-mêmes, sans oublier Interpol, avec une montagne de jugement pénaux démontrant l’inconduite criminelle de cette industrie et la corruption qu’elle met systémiquement en œuvre.

Imaginez encore malgré cela le Conseil fédéral in corpore, avec le Parlement et la presse unanime derrière lui, inaugurant le grand événement en louant l’esprit sportif, le fair-play et la probité de ces magnifiques compétitions. En encourageant la population à jouer le plus possible aux paris sportifs, bien sûr irréprochablement honnêtes.

Avec des fédérations sportives corrompues et complices, dont aucun membre n’oserait prendre la parole pour dénoncer les turpitudes en cours de peur des conséquences.

Avec une presse unanime pour stigmatiser avec brutalité les quelques critiques et les lanceurs d’alerte, qu’elles désigneraient à l’opprobre public comme étant des « complostisss » malgré la montagne de preuves à disposition (sur lesquelles elles s’interdiraient bien sûr la moindre investigation.)

Plutôt moche, non?! Et pourtant, dans ce scénario, les autorités ne joueraient qu’avec notre innocence, notre bonne foi et notre porte-monnaie.

Dans la crise du Covid, elles jouent avec nos vies, notre santé, nos moyens de subsistance…

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