COVID-19 : pris pour des cons !
Avec quelques mois de recul depuis le moment où l’on a entendu parler de la COVID-19 pour la première fois et la fin du confinement, il faut tout de même avoir de la m…e dans les yeux (et dans le cerveau) pour ne pas se rendre compte qu’il y a des trucs qui ne tournent pas rond dans toute cette histoire ! Les merdias nous décomptent chaque jour le nombre de nouveaux morts, mais n’évoquent jamais de taux de mortalité. En fouinant un peu, les évidences sont pourtant là, venant de publications scientifiques, d’officiels, de professionnels de la santé, d’organisations, de statistiques… Le genre d’informations que l’on ne trouve pas sur BFM TV, France Télévision, Radio France, etc… Éteignez donc votre télé anxiogène qui ne véhicule que la peur et cherchez d’autres sources d’informations. Je vous propose ci-après une petite sélection, tout en précisant : loin de moi l’idée de nier l’existence de morts tragiques ou de pertes de personnes qui sont chères.
« La plus grave crise sanitaire qu’ait connue la France depuis un siècle »
C’est une des phrases prononcées par le président Emmanuel Macron, dans son allocution télévisée du 12 mars 2020.
Oui sauf que le jour de cette allocution, la France ne comptait que 48 morts…
Oubliée, la grippe espagnole qui avait fait 40 à 100 millions de morts entre 1918 et 1919, soit plus que les 20 millions de morts de la 1ère guerre mondiale. C’était donc à deux ans près, il y a un siècle.
Comment le chef de l’État a-t-il pu passer sous silence les 40 000 morts dus au sida en France entre 1982 et 2002 ? Ça n’était pas dans le même siècle peut-être ?
« Nous sommes en guerre ! »
Une phrase prononcé 11 fois dans le discours d’Emmanuel Macron le 16 mars 2020 à la télévision. Quelle honte de prononcer un tel mot ! Celles et ceux qui sont en guerre Monsieur le Président, se sont les personnes qui vivent en Syrie, au Pakistan, au Yémen, en Palestine, au Soudan, en Afghanistan et bien d’autres ! Là-bas, les bombes pleuvent de jour comme de nuit, les exécutions, les viols, les mutilations et la torture sont chose commune. La famine et les maladies font des ravages, les femmes sont mal traitées, les enfants enrôlés de force. C’est ça la guerre !
Et puis si nous étions vraiment en guerre, autant dire que nous l’avons perdu depuis un moment au regard de l’incompétence dont nos autorités ont fait preuve depuis le début de la gestion de cette crise.
Comme disait une infirmière sur un réseau social : « Si nous sommes en guerre, où sont les moyens pour nous défendre/protéger/battre ? »
Une pandémie, vraiment ?
Le tableau ci-dessous de la rubrique « Comparaison du taux de létalité des maladies infectieuses, virus et bactéries courantes dans le monde en 2020 » du site statista, nous indique que la COVID-19 se trouve à la…. 10ème place !!
Étrangement quand des chiffres de la COVID-19 sortent dans les médias chaque jour, seul le nombre de morts est évoqué. À croire que personne n’en guérit jamais… Vous vous rappelez vos cours de maths au lycée (ou même collège) quand on nous apprenait les pourcentages ? Je lance une petite séance de révision pour celles et ceux qui ont perdu la faculté de réfléchir.
Prenons les chiffres officiels qui semblent faire référence : ceux de l’Université Johns Hopkins aux USA. A la date de mise en ligne de cet article, il y a 19 026 303 cas confirmés dans le monde et 688 974 personnes sont décédées de la COVID-19. La population mondiale de nos jours est de 7 792 798 739 (source).
Avec tout cela nous obtenons : un taux d’infection de 0,244% et un taux de mortalité de 0,009%…
Maintenant on peut voir quelques détails, toujours histoire de réviser les pourcentages :
– France : 30 268 décès, soit 0,045% de mortalité
– Brésil : 93616 décès, soit 0,044% de mortalité
– USA : 157 898 décès, soit 0,048% de mortalité
– Russie : 14 058 décès, soit 0,010% de mortalité
– Italie : 35141 décès, soit 0,059% de mortalité
– Mexique : 47472 décès, soit 0,037% de mortalité
– Inde : 37415 décès, soit 0,003% de mortalité
– Suède : 5743 décès, soit 0,057% de mortalité
À ce jour : seuls les USA et le Brésil ont un taux d’infection qui dépasse les 1% et aucun pays n’a un taux de mortalité supérieur à 0,07% !!!
S’il y a 688 974 décès de la COVID-19 à ce jour dans le monde, les humains semblent avoir oublié les :
– 10 millions de personnes qui décèdent chaque année du cancer dont 150 000 en France
– 6 millions de personnes qui décèdent chaque année de malnutrition
– 800 000 suicides par an dans le monde
« L’OMS redoute jusqu’à 190 000 morts du Covid-19 en Afrique ».
Source : africanews.com
C’était ce que l’Organisation mondiale de la santé annonçait début mai 2020, histoire sans doute de bien faire peur à tout le monde. Au jour d’aujourd’hui, le nombre de décès serait de 18 498 morts (source).
Encore faudrait-il savoir ce que ces chiffres inclus exactement comme nous avons le voir…
Compter tous les morts comme COVID ?
Selon le Centers for Disease Controle and Prevention
Aux USA, le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a publié en avril de cette année, un document intitulé « Guidance for Certifying Deaths Due to Coronavirus Disease 2019 (COVID–19) » (Guide pour la certification des décès dus à la maladie à coronavirus 2019 (COVID – 19)). Ce document de sept pages explique que « La surveillance de l’émergence de la COVID–19 aux États-Unis et l’orientation des interventions de santé publique nécessitent un report précis et opportun des décès. »
Dans ce cadre on apprend ainsi :
« Dans les cas où un diagnostic définitif de COVID-19 ne peut être établi, mais soupçonné ou probable (par exemple, les circonstances sont convaincantes avec un degré de certitude raisonnable), il est acceptable de déclarer COVID-19 sur un certificat de décès comme « probable » ou « présumé ». Dans ces cas, les certificateurs doivent utiliser leur meilleur jugement clinique pour déterminer si une infection par COVID-19 est probable ».
Décompte du nombre de morts du COVID-19 : Dr. Ngozi Ezike aux USA
Le Directeur du département de santé public de l’État de l’Illinois, le Dr. Ngozi Ezike répond à une question lors d’une conférence de presse fin avril 2020 à Chicago…
Traduction : « Cela signifie que techniquement, même si vous êtes mort d’une cause évidente, mais que vous avez eu la COVID en même temps, votre mort est toujours répertoriée comme un décès COVID. Donc, toute personne qui est listée comme un décès COVID ne signifie pas que c’était la cause du décès, mais qu’elle avait la COVID au moment du décès ».
Source : Week Television
D’ailleurs on apprend le 17 juillet part Emerald Robinson la correspondante de Newsmax à la maison blanche, que le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a déformé les données du coronavirus pour gonfler les chiffres !
Anomalie statistiques en Angleterre…
Dans un excellent article du 16 juin dernier, le Centre for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford au Royaume-Unis, précise au sujet des statiques du nombre de décès dans le pays :
« Toute personne qui a été testée positive au COVID mais qui est décédée par la suite à une date ultérieure pour une cause quelconque, sera incluse dans les chiffres de décès COVID ».
« Un patient qui a été testé positif, mais traité avec succès et sorti de l’hôpital, sera toujours considéré comme un décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été renversé par un bus trois mois plus tard ».
« Il est temps de corriger cette faille statistique qui conduit à une exagération excessive des décès associés à la COVID-19 ».
« En résumé, la définition par Public Health England des chiffres de décès quotidiens signifie que toute personne qui a déjà eu la COVID à un moment donné doit également mourir avec la COVID ».
Pas étonnant que le 17 juillet, le Secrétaire à la Santé Matt Hancock a demandé à ce qu’il y ait une révision urgente de la manière dont les morts sont enregistrés en Angleterre (source).
Au Québec : diminution de 94% du nombre de cas actifs de la COVID-19
Vers la fin de la semaine dernière, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a révisé de façon importante ses données concernant l’ampleur de la COVID-19 au Québec. Or, ces changements importants sont passés relativement inaperçus. Dans cette mise à jour de l’INSPQ, le pourcentage de cas actifs est passé soudainement de 44,4 % à 6,1 %, celui des guérisons de 45,6 % à 87,7 %, et celui des décès de 10 % à 6 %.
« Clairement, les données doivent être mises à jour de façon plus fréquente. On peut se demander depuis combien de temps on répétait un nombre de cas actifs au Québec qui était à des années-lumière de la réalité. Un climat de peur, peu propice au débat rationnel, est alimenté par des données qui manifestement n’étaient plus bonnes. Il faut faire nettement mieux à ce chapitre. »
Gaël Campan, économiste à l’institut Économique de Montréal
Le Docteur Horracio Arruda, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint à la Direction générale de la santé publique au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec depuis, précise lors d’une conférence de presse :
« Disons qu’on a deux personnes dans la même maison. Y’en a une qui est affectée par la maladie et l’autre décède de la maladie mais on a pas de test. On va la considérer comme étant un cas, parce que c’est un contact qu’on appelle un lien épidémiologique. Ici on compte les décès qui ont un lien épidémiologique, donc des cas qui n’ont pas été testé ».
En Belgique, en Espagne, en Italie, c’est la même chose
En Belgique, cet article de la BBC qui le dit, les données inclues les cas de décès suspectés et non confirmés : « Les responsables belges disent compter d’une manière qu’aucun autre pays au monde ne fait actuellement : compter les décès dans les hôpitaux et les maisons de retraite, incluant les décès dans les maisons de retraite qui sont suspectés, non confirmés, comme des cas de Covid-19. Environ 16% des décès dans les maisons de retraite ont été testés positifs pour le coronavirus. Le reste est suspecté. Cela signifie que plus de 3500 décès ont été comptés comme causés par Covid-19, mais non confirmés ».
Pour l’Italie, c’est encore un article de la BBC qui révèle que « si un patient meurt alors qu’il est infecté par la Covid-19, il meurt de la Covid-19 ».
En Espagne : là encore dans la presse avec un article de CTV News. On y lit « Les gouvernements des deux régions les plus durement touchées, Madrid et la Catalogne, ont signalé un total combiné d’environ 8 000 décès confirmés et présumés dus à la maladie dans les maisons de retraite ».
Mort de la COVID ou en moto c’est pareil !
Vous êtes bien accroché ? Vous avez constaté dans les paragraphes précédents que certaines données sur la COVID, comme le décompte du nombre de décès, semblent parfois inclure tout et n’importe quoi. Et bien voilà que la chaîne de télévision américaine FOX35 nous apprend après avoir mené quelques investigations, qu’à la mi-juillet, une personne est décédée dans un accident de moto dans l’état de Floride. Figurez-vous que le malheureux motard a été ajouté sur la liste des décès liés à la COVID ! Si si !
Finalement, après avoir été contacté par FOX35, le Département de la Santé de Floride a annoncé avoir retiré cette personne de la liste des morts de la COVID.
On peut sérieusement se demander combien de cas similaires dans le monde sont attribués à la COVID n’est-ce pas ?
D’autres erreurs d’aiguillage…
Le 23 juillet, la chaîne CBS12 News révèle après enquête dans le Comté de Palm Beach en Floride, que des personnes répertoriées comme décédées de la COVID-19, sont en fait mortes d’une autre raison. Se trouvaient par exemple sur ce registre :
- Un homme de 60 ans décédé des suites d’une blessure par balle à la tête.
- Un homme de 90 ans qui est décédé des suites d’une fracture de la hanche après une chute.
- Une femme de 77 ans décédée de la maladie de Parkinson.
À la révélation de ces quelques erreurs décelées sur une liste de 586 décès, on est en mesure de se demander si les chiffres données non seulement aux États-Unis mais également dans le reste du monde, reflètent vraiment la réalité…
Plus d’argent si vous déclarez une personne morte de la COVID…
Bon avant qu’on me traite de complotiste ou autre, sachez que ça n’est pas moi qui le dit, mais un sénateur américain du Minnesota, le docteur Scott Jensen. C’était sur la chaine Fox News le 9 avril dernier et repris par le journal The Spectactor.
« À l’heure actuelle, l’assurance-santé détermine que si un patient est admis à l’hôpital pour un cas de COVID-19, celui-ci obtient 13 000 $. Si ce patient COVID-19 passe sous un ventilateur, la somme passe à 39 000 $, trois fois plus ».
Et pour les septiques qui critiquent toujours tout, même un des célèbres sites de vérification de l’information dit que c’est vrai. C’est ici en anglais…
En France, il avait été prévu un moment que les médecins généralistes perçoivent une rémunération supplémentaire pour chaque cas contact signalé, au-delà du cercle familial d’un patient touché par le Covid-19. La disposition a par la suite été supprimée…
Les tests de dépistage
Les tests PCR consistent à rechercher le virus dans les sécrétions. Pour ce faire, des cellules sont prélevées au fond du nez à l’aide d’un écouvillon. Alors qu’on nous pousse à nous faire tester, en cherchant un minimum on nous apprend (comme le Guardian par exemple) que « Les tests de PCR COVID19 sont scientifiquement dénués de sens. Bien que le monde entier s’appuie sur la RT-PCR pour « diagnostiquer » l’infection à Sars-Voc-2, la science est claire : ils ne sont pas adaptés ».
L’article continue en disant que « Ainsi, les auteurs de quatre des principaux articles du début 2020 affirmant la découverte d’un nouveau coronavirus admettent qu’ils n’avaient aucune preuve que l’origine du génome du virus était des particules de type viral ou des débris cellulaires, purs ou impurs, ou des particules de toute nature. En d’autres termes, l’existence de l’ARN du SRAS-Cov-2 est basée sur la foi et non sur les faits ».
« Les méthodes modernes de détection de virus comme la réaction en chaîne par polymérise ne disent pas grand-chose ou rien sur la façon dont un virus se multiplie, quels animaux le portent, ou comment il rend les gens malades. C’est comme essayer de dire si quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale ».
Alors toujours convaincus par les tests ? Allé je continue encore un peu : « Un troisième exemple est une étude de Singapour dans laquelle des tests ont été effectués presque quotidiennement sur 18 patients et la majorité est passée de « positive » à « négative » à « positive » au moins une fois, et jusqu’à cinq fois chez un patient. Même Wang Chen, président de l’Académie chinoise des sciences médicales, a admis en février que les tests PCR n’étaient « précis qu’à 30 à 50% ».
Dans ce même article, la Food and Drug Administration (FDA) aux USA, admet :
« Des résultats positifs n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection avec d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie ».
Le test de dépistage de la COVID-19 se fait essentiellement par un frottis nasal. Votre cerveau, avec ses nombreuses fonctions essentielles à la vie, est protégé contre les substances potentiellement nocives dans la circulation sanguine par une structure en forme de clôture appelée barrière hémato-encéphalique. Celle-ci isole le système nerveux central de la circulation sanguine. Elle empêche que des substances étrangères, des molécules potentiellement toxiques ou des agents pathogènes ne pénètrent dans le cerveau et la moelle épinière
Pourquoi en parler maintenant ici ? Tout simplement parce que l’endroit EXACT où les « testeurs » (avec le fameux test de « long Q-Tip » menant à l’interprétation RT-PCR de l’échantillon obtenu) obtiennent votre échantillon de dépistage de la COVID-19, s’appelle justement la barrière hémato-encéphalique.
Les testeurs avec leurs écouvillons –qu’ils vous rentrent (vraiment loin) jusqu’à toucher la dernière barrière physique avant d’arriver à votre cerveau– mettent votre barrière hémato-encéphalique en danger.
On parle quand d’immunité ?
Ce qui est sidérant dans toute cette histoire, c’est qu’il n’y a pas eu un seul conseil de santé donné au grand public pour booster/favoriser/renforcer l’immunité. Certes on a pu entendre quelques voix de professionnels de la santé courageux ça et là sur Internet qui donnent quelques conseils, mais cela reste sporadique quand les avis ne sont tout simplement pas censurés ou ces personnes menacées par les autorités sanitaires. Rien sur les chaînes de télévision, rien à la radio… Pourquoi ? Ça ne rapporte rien aux labos d’en parler c’est ça ?
Je passe sur le confinement…
Oui car sinon cet article va être trop long. J’espère juste qu’un jour seront publiés, le nombre de divorces, de violences conjugales et sur enfants, de dépressions, de déficiences physiques et mentales liées à l’absence d’air frais, de soleil, d’exercice et de soin, en raison du confinement. Nul doute que nous en reparlerons très bientôt, ainsi que des faillites d’entreprises, des chutes historiques de PIB, l’économie qui s’effondre…
Mince au moment où j’écris le Daily Mail nous apprend que « le confinement a causé jusqu’à 21 000 décès supplémentaires – dont beaucoup en raison d’un accès réduit aux soins de santé ».
Sur le port du masque…
Bon on en a déjà parlé dans un article précédent alors je vous invite à le consulter, je ne vais pas revenir dessus…
Ouf, bientôt un vaccin contre la COVID-19
Là encore nous en avions parlé dans un article récemment. Vous le retrouverez ci-dessous…
Je rajoute juste une question intéressante posée sur Twitter : « Pourquoi avons-nous besoin d’un vaccin pour un virus dont nous sommes 99% sur terre à en survivre ? »
Médecins, Professeurs ça gronde !
Étrangement aucun média n’a évoqué la Commission d’enquête extra-parlementaire sur la Coronna (ACU) née Allemagne et lancée par des médecins. Imaginez qu’elle regroupe à ce jour plus de 2000 noms de médecins et professeurs, mais aussi opticiens, naturopathes, éducateurs, infirmiers, etc… de plusieurs pays (Suisse, Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Brésil…). Je vous laisse ci-dessous la vidéo de présentation sous-titrée en français. Vous également retrouver/lire le discours au format pdf ici.
Le 27 juillet c’est une conférence de presse de médecins américains, qui avait au préalable rencontré le vice président Mike Pence, qui s’est déroulée à Washington. La vidéo de la conférence a été immédiatement censurée par Facebook, YouTube et Twitter. Pourquoi ? Les médecins dénoncent la désinformation autour de la COVID-19. Une vidéo traduite en français ci-dessous à ne pas rater ! Vous trouverez également l’intégralité du texte en français sur cette page.
Sur i24News, chaîne de télévision israélienne d’information internationale en continu, Yoram Lass, ancien directeur général du ministère israélien de la Santé expliquait, le 2 juillet, que l’épidémie de Covid-19 était « terminée » en Israël. Il parle d’hystérie !
En France, le 29 juillet, Jean-François Toussait, médecin français, professeur de physiologie de l’Université Paris-Descartes, directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport à l’INSEP (IRMES) et ancien membre du Haut Conseil de la santé publique, était l’invité de la chaîne LCI. Voici ci-dessous un extrait de l’émission (que vous pouvez retrouver en version complète ici).
Le 13 août 2020, la télévision espagnole RTVE, interviewait le médecin Luis de Benito de l’hôpital El Escorial de Madrid. Tout ne s’est pas passé comme prévu…
Des interrogations/remarques en tout genre…
« Va falloir nous expliquer pourquoi le 12 mars Macron fermait les crèches, écoles et lycées au motif que ce sont les jeunes qui propagent le plus le virus. Pour au final 1 mois plus tard dire que ce sont les crèches, écoles et lycées qui ré-ouvriront en 1er ».
Source : Twitter
« Pourquoi les petits commerces ont été fermés alors que les grandes surfaces étaient ouvertes ? »
Source : Twitter
« Si le masque fonctionne pourquoi la distanciation sociale ? Si la distanciation sociale fonctionne pourquoi le masque ? Si les 2 fonctionnent pourquoi le confinement ? »
Source : Twitter
« Le coronavirus. Ce méchant virus, qui a épargné la vie de 99.6% de la population mondiale ».
Source : Twitter
source : https://siksik.org
Source : Reseau International
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