COVID-19 crime contre l’humanité : un parasite nano-techno-biologique injecté sciemment aux populations
Notre traduction la plus importante depuis celle du livre de Robert F. Kennedy Jr. en début d’année. Information absolument stupéfiante, même si à terme, bien des gens se doutaient que quelque chose de la sorte allait finir par transpirer… Surtout depuis certains propos du professeur Luc Montagnier en 2020 et 2021. Cela demeure néanmoins hallucinant, quand on prend cette info en pleine tronche ! Plus de 48 heures pour que les traducteurs reprennent leurs esprits et se mettent à l’ouvrage ! Pourtant on en a lu des trucs dégueulasses, mais là on est bien tristement dans une autre dimension…A lire et diffuser sans aucune modération. Ceux qui se posaient encore la question de savoir si toute cette affaire SRAS-CoV-2 / COVID19 est vraiment un crime contre l’humanité plutôt qu’une affaire de gros sous comme à l’habitude. Dites-nous ce que vous pensez après avoir lu ce qui suit et visionné la vidéo en VOSTF de l’entretien de Karen Kingston avec Stew Peters que nous mettons sous le texte et que nous replaçons aussi en section commentaires.
A partir de là… Que faisons-nous ? On continue à les laisser faire ?… Ceci ne fait que confirmer une fis de plus si cela était encore nécessaire qu’il n’y a pas et ne saurait y avoir de solution au sein du système.
« Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines,
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu’on enchaîne,
Ohé ! partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme !
Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. »
~ 1er couplet du chant des partisans ~
Maintenant, ça ne devrait plus faire de doute pour quiconque de savoir qui est vraiment l’ennemi… Il suffit d’agir en conséquence … Hoka Hey !
~ Résistance 71 ~
Brevet pour un vaccin global contre la COVID19 sur une plateforme ARNm mortelle
Série de courriels envoyés à des personnes du monde de la science et des médias entre le 21 et 29 mai 2021, notifiant ces personnes influentes que les injections ARNm anti-COVID19 sont des ARMES BIOLOGIQUES.
Karen Kingston*
30 septembre 2022
Url de l’article original:
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
(*) Karen Kingston est une analyste consultante pour les industries pharmaceutiques et médicales. Elle analyse les données cliniques, les brevets d’exploitation et la réglementation / communication fédérales aux Etats-Unis sur ces sujets. Elle développe ensuite des contenus stratégiques de gestion de maladies pour influencer les médecins dans leur pratique de diagnostique et de soins. Elle sert aussi de relais de communication avec le public. Ses clients dans sa pratique de consultation ont inclus : Pfizer, Johnson & Johnson, Medtronic, Allergan et al. etc…
NdR71 : juste sous notre traduction, nous mettons une vidéo de l’entretien (32 minutes) en VOSTF (Excellente traduction du sous-titrage…) qu’a eu Karen Kingston avec Stew Peters dans sa toujours excellente émission. Radio “The Stew Peters Show”. Lien vidéo que nous avons reçu par courriel dans sa version française. Dans cette vidéo, elle explique, preuves à l’appui, que le soi-disant virus du SRAS-CoV-2, est en fait un “parasite biotechnologique, un parasite à intelligence artificielle””, empruntant chimériquement du parasite biologique et de la nanotechnologie militaire. Ces révélations sont époustouflantes et sont complémentaires de ce qui est dit ici dans cette article datant du 30 septembre dernier. L’entretien avec KK a eu lieu le 21 octobre 2022, la semaine dernière donc. Nous sommes ici estomaqués par la portée de ces révélations et demandons à nos lecteurs d’apporter toute information complémentaire et documentée possible. Nous ne publierons rien dans les jours qui viennent pour laisser cette traduction et la vidéo qui suit, diffuser au plus large, en espérant que des lecteurs pourront contribuer, confirmer ou infirmer de manière étayée, les informations présentées. Si ce qui est dit s’avère être la vérité, alors tout est bien pire que ce qui a pu être démontré jusqu’ici. Comme le mentionne Karen, il y a néanmoins de l’espoir puisque ces parasites nanotech peuvent être détruits. A suivre donc…
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Ci-dessous, un exemple de courriel des quelques 75 d’entre eux que j’ai envoyés entre le 22 mai et le 29 mai 2021, notifiant les médias de masse, les médias alternatifs, les influenceurs, les organisations de médecins, des sénateurs et des gouverneurs que les INJECTIONS ARNm ANTI-COVID19 ETAIENT DES ARMES BIOLOGIQUES.
Vous pouvez vous demander ce qui m’a poussé à écrire ce courriel et ensuite d’appeler de manière incessante les organisations les harcelant afin de savoir pourquoi elles ne divulguaient pas les preuves que je leur avais envoyées et qui pourraient sauver des millions de vies ?
Réponse brève : lorsque j’ai étudié le maître brevet, j’ai découvert la technologie des nanotechnologies lipidiques (dont personne ne fut informé être injecté avec…) et je suis parvenue à une section du brevet mentionnant “l’ADN à triple hélices”. La gravité des implications pour nos enfants injectés et pour l’humanité m’a frappé de plein fouet à ce moment. J’ai passé essentiellement les 72 heures suivantes sans dormir afin de comprendre ce que je dis dans le courriel ci-dessous de la manière la plus efficace et la plus cohérente possible tout en ingurgitant les centaines de pages de ces documents gouvernementaux et cliniques.
Mon point clef est la fin de l’email :
“Ceci apparaît être des armes biologiques qui ne peuvent que tuer et endommager des millions de personnes dans le monde. L’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU) pour ces agents biologiques dans chaque pays doit immédiatement cesser. Il semble y avoir des preuves que des participants actifs, définis comme fabricants, agents (incluant les médias sociaux), le CDC, le NIH, la FDA, HHS, les portes-parole, les publicitaires etc ont agi selon leur propre conduite volontaire malfaisante pour cacher l’information scientifique et clinique ainsi que de s’engager dans une campagne de propagande manipulatrice autour de la sécurité et de l’efficacité de ces agents biologiques injectables.”
Mes intentions et mes vœux étaient que ceux qui ont reçu mes courriels en mai de l’année 2021 pouvaient vérifier l’information que j’avais envoyée et immédiatement partager le message que les “vaccins” à ARNm anti-COVID19 sont des ARMES BIOLOGIQUES, qui utilisent une technologie de nanoparticules lipidiques avancée conçue en Chine.
Malheureusement, mes intentions n’étaient pas les mêmes que ceux qui ont reçu initialement mon message ou que j’ai contactés à ce moment. On m’a fait savoir que mon idée d’éduquer les gens sur ce que les injections anti-COVID étaient des armes biologiques et devaient être immédiatement stoppées, n’était “pas une bonne idée” ; que le narratif devait insister sur le “choix”. A quelques exceptions près, le point de focus des médias alternatifs a commencé par essentiellement glisser sur la notion que les individus devaient “avoir le choix de se faire injecter ou non” tandis que les médias de masse eux, enclenchèrent la surmultipliée dans la promotion des injections mortelles.
Ainsi fut-il décidé que je devienne le propre messager de ma recherche et de mes résultats. Je suis profondément reconnaissante à Doug Billings, Stew Peters, Ann VanderSteel et Brannon Howse, qui eurent le courage de me laisser partager cette VERITÉ malgré son aspect absolument terrifiant et malgré le fait que le messager de cette vérité n’avait pas le crédit tant prisé d’être médecin ou docteur en quoi que ce soit.
Décharge : Je ne suis pas une experte en ARNm, ni une médecin ou scientifique. J’ai rassemblé les données de mon courriel au mieux de mes connaissances et mes recherches après avoir lu des milliers et milliers de pages de documents scientifiques, légaux et gouvernementaux (NdT : ceci est le métier de Karen…). A cause des données publiés par le VAERS (Vaccine Adverse Effects Report System) et les rapports publiés sur les myocardites, les disfonctionnements pulmonaires et les fausses-couches et après avoir lu et analysé le brevet-maître sur l’ARNm de MODERNA, j’ai fait l’hypothèse que des agents de thérapie chimique pouvaient bien potentiellement être dans ces injections. Il n’y a pas eu de preuves prouvant cette hypothèse. Mais il y a un corps très important de preuves montrant que les protéines spire ARNm et les NanoParticules Lipidiques (NPL) PEG induisent ces horribles effets mortels et mettent en danger la vie des gens ainsi que d’autres effets.
La vidéo entretien de Karen Kingston avec Stew Peters sur SPS le 21/10/22 en VOSTF (excellent sous-titrage précisons-le) et voir et diffuser sans aucune modération :
« COVID-19, pas un virus mais un parasite à intelligence artificielle »
= = =
NdT : Les courriels de Karen Kingston à différentes personnes, ici à la chaîne yankee de (dés)information FOX NEWS, qui l’a mise en liste noire…
From: Karen Kingston <*kingston@*****.com>
Date: Thursday, May 27, 2021 at 8:02 PM
To: « Wendy.****@foxnews.com » <Wendy.***@foxnews.com>
Subject: 911: Patent for Global COVID-19 Vaccine – Highly Deadly mRNA Platform
Bonjour Wendy, je suis consultante pour l’industrie pharmaceutique et médicale. Je fais des analyses sur des données cliniques, des brevets et paysage IP, des réglementations fédérales et des prédiction de communication, puis je développe des plans de contenus stratégiques pour influencer le comment les médecins gèrent différentes étapes de maladies, ainsi que ce qu’il faut communiquer à la population consommatrice. Mes clients incluent Pfizer, Johnson & Johnson, Medtronic, Allergan et al.
J’espère que vous pourrez passer l’information que j’ai rassemblée en ce qui concerne les agents biologiques du COVID19, à une équipe de FOX et que FOX puisse aider dans les efforts contre la propagande du faux concernant les injections anti-COVID19. Un grand nombre de personnes se mettent en danger ainsi que leurs enfants, résultant souvent en infirmités permanentes ou la mort.
Le plus important est l’attachement intitulé brevet SM-102, qui est le brevet global de Moderna pour les injections à ARNm au NPL qui lui fut accordé par WIPO le 6 août 2020. S’il vous plaît, ayez un expert en recherche sur les maladies auto-immunes analyser ce brevet et ceux que j’ai mis en liens dans ce courriel. Je pense qu’ils concluront que les injections anti-COVID19 sont des armes biologiques qui contiennent des virus chimériques (OGM) de Gain de Fonction (GdF) et des toxines sous l’apparat de vaccins thérapeutiques à ARNm sous une plateforme diagnostique / thérapeutique à NPL. De par le brevet, les NPL peuvent cibler des organes et des systèmes spécifiques du corps incluant, mais pas seulement limité, aux systèmes reproductif, cardiovasculaire, pulmonaire et Système Nerveux Central (SNC) et ce spécifiquement en faisant traverser la sacro-sainte barrière sang-cerveau.
Je m’excuse par avance du volume d’information contenu dans ce courriel qui donne sans doute l’impression de tenter de “boire au tuyau d’incendie”…
Le droit des Américains au consentement informé
La FDA, le CDC et le NIH ainsi que la plupart des associations médicales, comme l’American Academy of Pediatrics, sont coupables de douzaines de violations tombant sous le coup de la loi du FD&C Act, en masquant l’information ou en mentant au sujet de ces agents biologiques, incluant les risques et dangers des “vaccins anti-COVID19” sous consentement informé par la Section 564 de la loi FD&C Act :
- Toute communication (écrite, informations, vidéo, médias sociaux, websites, podcasts, etc) au sujet des “vaccins” anti-COVID19 doivent clairement faire état que :
- “Les “vaccins” ne sont pas approuvés par la FDA pour la prévention ou le traitement de la COVID19 mais sont sujets à seulement une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU)
- Les “vaccins” n’ont pas prouvé être “sûrs et efficaces” pour stopper les infections ou la transmission du SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID19
- Chaque patient a le droit d’être informé des bénéfices et des risques du “vaccin”, incluant la liste de tous les effets secondaires répertoriés, des autres traitements disponibles et de leur droit de refuser le traitement
Ci-dessous, un court extrait de l’information que j’ai recherchée :
Les brevets des vaccins COVID19 sont basés sur une recherche faite en Chine
En janvier 2017, le MIT, Harvard et al. ont soumis un brevet pour une nanotechnologie de vaccin. https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/patent/US-9539210-B2 Sous la section DECLARATION DE SOUTIEN GOUVERNEMENTAL, il est clairement spécifié que l’invention fut rendue possible grâce aux financements de l’Institut National de la Santé (NIH) américain (NdT : dont le Dr Anthony Fauci est le patron) et qu’il a le droit de prétendre à l’invention. Ce brevet remonte à une provision du 12 octobre 2007, Ser, No 60/979,596 qui liste également le droit de propriété du NIH sur les plateformes de la nanotechnologie de vaccin.
En décembre 2017, le NIH a levé ses restrictions sur la recherche de Gain de Fonction (GdF) (en attachement, NIH GdF de décembre 2017)
En février 2018, le USPTO a donné à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, un brevet pour la protéine spike de coronavirus chimérique (OGM) (USPTO granted the University of North Carolina a patent for Chimeric Coronavirus Spike Protein). Le brevet couvrait le GdF des protéines spike de coronavirus allant du SRAS-CoV-1 au coronavirus de chauve-souris en passant par le MERS. Le titre de propriété du NIH est aussi stipulé dans ce brevet. En 2005, une étude financée par le NIH et la RPC fut publiée ayant pour objet la recherche chimérique / OGM sur les coronavirus de la chauve-souris (NIH/People’s Republic of China funded study) Ref 29— Remerciements au NIH pour leur fond de recherche.
Ref—29. Ce travail fut financé conjointement par une bourse spéciale pour “un réservoir animal du SRAS-CoV”, programme clef d’état pour fond de recherche spécial 2005CB523004, et fond de recherche du Programme de Haute Technologie d’Etat no. 2005AA219070 en provenance du ministère (chinois) de la science et de la technologie ; également du 6ème programme d’encadrement EPISARS de la Commission Européenne (no. 51163); de l’Australian Biosecurity Cooperative Research Centre for Emerging Infectious Disease (Project 1.007R); et une bourse du NIH / NSF “Ecologie des maladies infectieuses” (No R01-TW05869) du Centre International John E. Fogarty et de la Fondation V. Kann Rasmussen. Pour la séquence complète du génome du SL-CoVRp3, voir l’accession GenBank no. DQ71615. D’autres numéros d’accès a la GenBank sont donnés dans le matériel de soutien.
Il est à noter qu’en 2004, le NIH a aussi collaboré avec la Chine sur une recherche de GdF chimérique sur le coronavirus et le virus VIH-1 ainsi que le SIV, chimeric gain of function research of coronavirus with HIV-1 (Simian Immunodeficiency Virus ou VIS en français, le VIH du singe)
En janvier 2021, des chercheurs ont publié un article notant 4 insertions du VIH-1 protéine spire gp120 et du VIH-Gag dans la protéine spire du SRAS-CoV-2 (NdT : ce qu’avait dit le professeur Luc Montagnier en France dès 2020…). En attachement, la copie de la publication qui a été retirée de la circulation (attachement spike-HIV)
- Le VIH gp120 est une glycoprotéine qui fait partie de la couche externe du virus VIH. Elle est essentielle pour une infection virale et la pénétration du VIH dans les cellules CD4+ et leur suppression. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20088758/
- La polyprotéine Gag est la principale structure protéinique du VIH-1 et autres retrovirus. Un fondu de la technologie pourrait comparer la Gag au “système opératoire” / OS d’un retrovirus parce qu’elle forme des structures plus ordonnées requises pour un assemblage correct, la création de liens et la maturation de nouvelles particules infectieuses. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23266279/
Note : Les retrovirus sont des virus ARN qui insèrent une copie ADN dans le génome pour réplication virale.
Note: Les chercheurs pourraient vouloir tester la COVID-19 et ses agents biologiques pour ces protéines VIH-1, ainsi que le sang de quelques sujets qui furent injectés de 3 à 6 mois après la seconde injection, incluant les enfants. (NdT : Le Pr Montagnier avait dit en 2021 que les injectés aillent se faire tester pour le VIH, ils pourraient avoir des surprises…) Des évènements cardiovasculaires et thrombolytiques deviennent de plus en plus fréquents parme les enfants et les adolescents selon les informations locales. https://alethonews.com/2021/05/26/at-least-18-teens-and-young-adults-hospitalized-in-connecticut-with-myocarditis-after-covid-vaccines/
Les “vaccins” américains anti-COVID19 sont fabriqués en Chine, les entreprises chinoises font de très larges bénéfices
Une entreprise appelée SINOPEG, basée en Chine, est le fabricant PEG (NdT : Polyéthylène Glycols Derivatives, la technologie des lipides pour la nanotechnologie et la bio-pharmacologie…) pour TOUS les vaccins ARNm qui contiennent le PEG, incluant Pfizer et Moderne. Il est important de noter que ces composants trouvés dans les injections anti-COVID19 possèdent des Material Safety Data Sheets (MSDS) qui sont utilisées pour les produits chimiques, les métaux, les lubrifiants industriels et les toxines. Comme stipulé sur le site internet de SINOPEG, ils ne sont pas destinés à la consommation humaine.
Le portfolio de SINOPEG COVID-19 PEG peut être vu ici https://www.sinopeg.com/covid-19-vaccine-excipients_c138
Les ingrédients pour les ‘vaccins” américains peuvent être vus ici https://portal.ct.gov/Coronavirus/Covid-19-Knowledge-Base/Vaccine-Ingredients
Le “vaccin Pfizer” n’a pas été développé par Pfizer. En juin 2018, Pfizer est entré dans une relation de droits de propriété intellectuelle avec l’entreprise allemande BioNTech pour la fabrication de vaccin à ARNm. A part les 50 millions de $ payés en avance à BioNTech, l’accord sur les droits était contingent à la production et la vente des vaccins ARNm à NPL sous une AUU en réponse à une pandémie mondiale.
- Voir Sec 3.1 Paiements
- https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1776985/000119312519241112/d635330dex1018.htm
BioNTech partage aussi les bénéfices du “vaccin Pfizer” avec une autre entreprise en Chine, Fosun Pharma, qui est aussi un fabricant du “vaccin Pfizer”. Il fut garanti à Pfizer un minimum de commande de 1 milliard d’injections jusqu’à 2 milliards d’injections jusqu’à cette année. Voir diapo 8 de la présentation de BioNTech pour ses investisseurs https://investors.biontech.de/static-files/82c9e451-7503-4217-a51f-ee7fb6497b17?fbclid=IwAR2MRfUtXExUeDS4qiqbk6jnRay-k0fp74ZKeBlGobChqyLAcqToU2uxm7Q
Les essais du “vaccin” américain anti-COVID19 sont conduits dans des pays étrangers, les études globales sur le “vaccin” anti-COVID19 sont faites en Chine
Le 26 août 2020, le CDC américain a publié une liste de 19 essais globaux anti-COVID19. 9 de ces essais furent menés en Chine (NdT : Grosso modo 50%) https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-08/COVID-07-Oliver.pdf
Bien qu’il y ait 4 thérapies enregistrées sous les “essais cliniques états-uniens”, si vous lisez les memoranda de la FDA pour l’AUU de Pfizer, vous noterez que ces études sont des études multinationales. La majorité des patients et enquêteurs sont en dehors des Etats-Unis.
- Pfizer Studies Centers: US, Argentina, Brazil, Germany, South Africa, Turkey.
- Pg. 12 – https://www.fda.gov/media/144416/download
Le brevet ARNm de Moderna est pour la thérapeutique et le diagnostique, c’est un brevet de vaccination global.
Le 6 août 2020, Moderna a reçu un brevet international pour la technologie des nanoparticules lipidiques (NPL) a des fins d’utilisation de diagnostique et thérapeutique, incluant les technologies sous-ensemble d’ARNm à NPL (voir l’attachement du brevet SM-102, page 1)
Il est important de noter qu’aux Etats-Unis, les diagnostiques sont catégorisés comme outils médicaux par la FDA.
Bien que plus de 100 millions d’Américains aient pu être injectés avec une technologie médicale, s’ils le furent, aucun n’a vraiment donné un consentement informé sur la procédure.
Ces vaccins NE SONT “PAS APPROUVES” PAR LA FDA et donc sous l’article 21 de la loi FD&C Act, sec. 814.9 : la confidentialité des données et de l’information pour une autorisation pré-marché (pre-market approval ou PMA) d’outils médicaux stipule :
(b) L’existence d’une référence PMA peut ne pas être divulguée par la FDA avant qu’un ordre d’autorisation soit délivré à l’appliquant à moins que ceci n’ait été publiquement révélé préalablement ou reconnu.
Le 25 mai 2021, la FDA approuve des modifications des injections de rappel anti-COVID19 sans en notifier le public
La FDA a aussi mis à jour le guide des fabricants autorisant les modifications pour les injections de rappel anti-COVID19 sans avoir à en informer le public.
Dans la préface du document de la FDA ci-dessous, l’agence dit que les modifications pour les rappels de vaccin sont effectives immédiatement et qu’il n’est pas pratique d’en informer le public.
La page 2 note aussi que “les gens sains seront injectés et que les injections ont le potentiel d’une “utilisation plus large” sous l’AUU.” — Là encore, pas besoin d’en informer le public et appliquer ces “utilisations plus larges” avec effet immédiat.
“Résumé” du brevet Moderna / NIH SM-102
Les vaccins peuvent incorporer des produits chimiques, des protéines virales (ex : Gag du VIH), des toxines et des médicaments ou substances qui peuvent mener à la stérilité, au cancer, biocorona, psychoses et autre.
A la fin de ce courriel, j’ai fait un copié/collé de quelques-uns des ingrédients du brevet, ceci inclus, le sel de lithium, le chlorure de lithium, acétate de cellulose, des médicaments, des matériaux génétiques, des protéines génétiques, des cytosines, des métaux et autres substances dangereuses, certaines substances psychotropes.
Une des thérapies médicamenteuses (NdT : chemotherapies en anglais dans le texte) mentionnée dans le brevet est le trastuzumab, un produit fait par Pfizer. http://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=12725 Ci-dessous figure un extrait de l’information de prescription du Trastuzumab…
AVERTISSEMENT : CARDIOMYOPATHIE, REACTIONS INFUSOIRES, TOXICITE EMBRYO-FŒTALE et TOXICITE PULMONAIRE
Cardiomyopathie : les produits trastuzumab peuvent résulter en des problèmes voire arrêts cardiaques cliniques et sub-cliniques se manifestant comme CHF et diminution LVEF, avec de plus brands risques lorsqu’administré avec des anthracyclines. Evaluer la fonction cardiaque avant et pendant le traitement. Discontinuer le TRAZIMERA pour la cardiomyopathie. (2.3, 5.1)
Réactions d’infusions, toxicité pulmonaire : discontinuer le TRAZIMERA en cas d’anaphylaxie, d’angine de poitrine, de pneumonie interstitielle ou de syndrome aigu de détresse respiratoire (5.2, 5.4)
Toxicitié embryo-fœtale : une exposition au trastuzumab pendant la grossesse peut résulter en une oligohydramnios, dans certains cas compliquée par une hypoplasie pulmonaire et un enfant mort-né. Avisez les patients de ces risques et du besoin d’une contraception efficace. (5.3, 8.1, 8.3)
Est-ce que le trastuzumab est la raison pour laquelle des enfants et adolescents en bonne santé injectés du “vaccin” Pfizer souffrent de problèmes cardiaques comme des péricardites et des arrêts cardiaques ? https://www.nbcconnecticut.com/news/coronavirus/covid-vaccine/mom-of-conn-teen-speaks-after-son-suffers-heart-condition-days-after-covid-19-vaccine/2495057/
Le trastuzumab est-il la raison pour laquelle des effets secondaires de l’injection Moderna sont comme si le patient avait subi une chimiothérapie ? Dans la phase 3 des essais Moderna soumis à la FDA, de la page 37 de l’AUU ; “82% des sujets qui ont reçu deux doses des injections biologiques de Moderna ont eu des effets secondaires systémiques de niveau 2 et 3 “ (82% of subject who received 2 doses of the Moderna biological injections had Grade 3 or 4 Systemic Side Effects). La FDA définit des signes cliniques adverses comme suit FDA Presentation Slide 14:
- Grade 3: Sévère ou de bonne importance médicale mais pas immédiatement mettant la vie en danger, ne demandant pas d’hospitalisation.
- Grade 4: Conséquences graves pouvant entraîner la mort, indication d’une intervention médicale urgente
- Grade 5: Mort
Est-ce que le trastuzumab est la raison pour laquelle les protocoles d’inclusion de Phase 1 sont similaires à ceux de la chimiothérapie ou des études sur le VIH ?
Deux formes de protection sexuelle doivent être utilisées si un sujet mâle a des relations intimes avec une femme (une femme qui ne fait pas partie de l’étude). Elle doit aussi consulter un conseiller de sécurité. Si elle devient enceinte, elle doit le rapporter (si elle ne fait pas partie du groupe d’étude), de plus, les sujets mâles doivent rapporter s’ils touchent ou sont en contact rapproché avec une femme enceinte. Voir Sec 10.4.1 Male Participants Reproductive Inclusion Criteria
Les femmes qui sont potentiellement susceptible d’être enceinte ne PEUVENT PAS PARTICIPER à l’étude Pfizer. Voir Sec. 10.4.2
De plus, les femmes sont avisées de ne pas être exposées au “vaccin” Pfizer si elles allaitent leur enfant ou si elles sont exposés à quiconque a participé à cette étude. Voir Sec. 8.3.5.2 Exposure During Breastfeeding
L’injection biologique Pfizer pourrait-elle inclure le chimiothérapie trastuzumab ? Ou être additionnée de protéines VIH ?
Les “vaccins” sont-ils un outil biologique médical et une plateforme technologique ?
Si le public est incrédule qu’ils aient pu être injectés avec une technologie intelligente, ils pourraient être intéressés d’apprendre qu’Elon Musk / Tesla vient juste de rejoindre le marché du “vaccin” anti-COVID19 au 12 mai 2021 par cet article du magazine hautement regardé NATURE. https://www.nature.com/articles/s41587-021-00912-9.pdf?fbclid=IwAR1xNdAetLM4ZzmTSH9gdvscml6S7AJ4ijl4-J9GiAwXof4dyZCdEY7ozcU
A noter, par l’aide visuelle du COVID-19 Patent Landscape de l’article, il transparaît que tous les fabricants vont devoir payer des droits au NIH pour l’ARNm et la theranostic (thérapeutique/diagnostique). Ceci est vraisemblablement lié au brevet sur la nanotechnologie de 2017 https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/patent/US-9539210-B2 et le brevet de 2018 sur l’ARNm chimérique.
Les préoccupations des membres du panel de la FDA allèrent à la sécurité des femmes enceintes, la sécurité et les besoins des enfants de moins de 18 ans et pour citer verbatim d’un memo de la FDA : “La FDA a fait remarquer que le développement de vaccin a une longue histoire et que la FDA n’a pas connaissance d’un exemple de quelque vaccin que ce soit qui soit efficace contre une maladie bénigne qui ne serait pas aussi efficace contre une maladie grave.”
- En regard des enfants, au moins 8 ont eu un incident cardiaque ou thrombolytique (NdT : thrombose due à des caillots) dans le groupe d’étude des essais de Phase 3 de Pfizer, groupe comprenant environ 2000 enfants âgés de 12 à 15 ans.. D’après l’Association de Cardiologie Américaine, le risque dans ce groupe d’âge n’est que de 5/100 000
Les agents biologiques distribués par Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ne sont pas des vaccins. De par leur propre registration à la FDA et les lettres d’autorisation de la FDA, ces injections ne préviennent en rien l’infection ou la transmission du virus SRAS-CoV-2, mais ne feraient que réduire le risque de symptomes de cette maladie ambiguë nommée COVID19, don’t 99,9% des adultes guérissent et chez les enfants 99,998% de chances d’y survivre. Spécifiquement pour les enfants, il est statistiquement et cliniquement impossible de faire un vaccin pour enfant qui soit plus sûr ou efficace que leur propre réponse immunitaire innée au SRAS-CoV-2 et ses variants.
Ainsi, ces injections apparaissent comme des armes biologiques qui ne peuvent que causer détresse, maladie et mort à des millions de personnes dans le monde. L’AUU de ces agents biologiques dans chaque pays doit cesser immédiatement. Il y a des preuves que des participants actifs, définis comme les fabricants, les agents (incluant les médias sociaux), Le CDC, le NIH, la FDA, Les HHS, les portes-parole, publicitaires etc, ont tous agi selon leur malfaisance volontaire dans le fait de masquer et de cacher une information scientifique et clinique au public, ainsi que de s’engager dans une campagne de propagande manipulatrice autour de l’efficacité et de la sécurité de ces agents biologiques injectables.
J’ai beaucoup plus de preuves et de références pour soutenir les déclarations que je viens de faire et plus encore des sites mêmes de la FDA.gov, et de sites internat tels que le CDC, les HHS, PubMed, PubChem, SEC fillings etc. Je peux fournir une chronologie complète remontant à 2004 jusqu’à aujourd’hui pour montrer comment tout cela s’est produit. J’ai aussi des données cliniques et technologiques de J&J s’il y a un intérêt à obtenir des informations supplémentaires en ce qui concerne ce sujet.
Avec respect et appréciation pour l’intégrité et le courage de l’équipe de FOX NEWS — Karen Kingston
– The Kingston Report. LA VERITE L’EMPORTE.
Page 149 – Peut inclure le trastuzumab. [0677]. Dans certains cas, les NPL décrites ici peuvent être utilisées de manière thérapeutique. Par exemple, un ARNm inclus dans des NPL peut coder une polypeptide thérapeutique et produire celle-ci en contactant et / ou entrant dans la cellule (ex : transfection). Dans d’autres cas, un ARNm inclus dans des NPL peut coder une polypeptide qui pourrait améliorer ou augmenter l’immunité d’un sujet. Dans d’autres cas, un ARNm peut coder un facteur stimulant d’une colonie de granulocyte ou trastuzumab.
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Lire notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”
Le livre de Robert F. Kennedy Jr : « Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » (PDF en français)
Source : Echelle de Jacob
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