Après les coups de feu qui ont blessé deux personnes mardi sur la zone de Châteaugay, à cheval sur les communes de Montluçon et Saint-Victor (Allier), un trentenaire soupçonné des faits a été placé en garde à vue.
Recherché par les forces de police depuis mardi soir, cet homme s’est rendu ce jeudi dans une gendarmerie de la région lyonnaise et a été placé en garde à vue dans la foulée.
Deux trentenaires ont été blessés par arme à feu, mardi 25 décembre, entre 22 heures et 23 heures, sur un terrain de la zone de Châteaugay, à cheval sur les communes de Montluçon et Saint-Victor.
Le pronostic vital de ces hommes n’est pas engagé. L’un a été blessé à la hanche et l’épaule, l’autre a été touché au bas-ventre.
Des balles de petit calibre
Les faits se sont déroulés au sein de la communauté des gens du voyage présente dans le quartier de Châteaugay.
D’après les premiers éléments de l’enquête, l’altercation s’est faite sur fond d’alcool et de rancœur. Rien ne permet aujourd’hui d’en expliquer précisément les causes et les circonstances.
Contrairement à ce que nous avons écrit dans un premier temps, ce ne sont pas des balles de plomb qui ont été tirées mais des balles de petit calibre. L’arme n’a pas été retrouvée.
La garde à vue a été prolongée jusqu’à demain, samedi.
Recherché par les forces de police depuis mardi soir, cet homme s’est rendu ce jeudi dans une gendarmerie de la région lyonnaise et a été placé en garde à vue dans la foulée.
Deux hommes blessés par arme à feu le jour de Noël à Montluçon
Deux trentenaires ont été blessés par arme à feu, mardi 25 décembre, entre 22 heures et 23 heures, sur un terrain de la zone de Châteaugay, à cheval sur les communes de Montluçon et Saint-Victor.
Le pronostic vital de ces hommes n’est pas engagé. L’un a été blessé à la hanche et l’épaule, l’autre a été touché au bas-ventre.
Des balles de petit calibre
Les faits se sont déroulés au sein de la communauté des gens du voyage présente dans le quartier de Châteaugay.
D’après les premiers éléments de l’enquête, l’altercation s’est faite sur fond d’alcool et de rancœur. Rien ne permet aujourd’hui d’en expliquer précisément les causes et les circonstances.
Contrairement à ce que nous avons écrit dans un premier temps, ce ne sont pas des balles de plomb qui ont été tirées mais des balles de petit calibre. L’arme n’a pas été retrouvée.
La garde à vue a été prolongée jusqu’à demain, samedi.
Source : La Montagne