Consentement libre et éclairé ?
Introduction :
Les dirigeants des principaux pays « occidentaux » gouvernent par la peur et la manipulation des peuples. C’est un fait. Cette entreprise de démolition est parfaitement planifiée et organisée. Il revient à chacun de nous de s’informer et se réinformer, afin de comprendre ce qui se passe réellement.
La crise majeure qui se développe sous nos yeux, alors que beaucoup de personnes ne la voient pas encore, va engendrer de nombreux et irrémédiables dégâts (ruines personnelles, professionnelles, faillites d’états …). Elle est également porteuse d’opportunités, qui peuvent changer le cours de votre vie.
Faut-il encore les percevoir, les comprendre et les exploiter. Toutes ces possibilités sont dans la lettre confidentielle : « Les rendez-vous d’Hubert ». Bénéficiez de l’accès exclusif à des solutions pratiques. Rejoignez, dès maintenant, les personnes qui en profitent déjà.
« Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu’il ne nous prenne par la gorge »
(Winston Churchill)
Vérité, vérité chérie :
Je demande par avance l’indulgence des juristes et notamment, de ceux spécialistes du droit de la santé, car je vais « faire simple ». Le quatrième alinéa de l’article L 1111-4 du code de la santé publique dispose :
- « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment».
La Fiche 13 : « J’exprime mon consentement », accessible sur le site du ministère de la Santé et de la prévention, rappelle les termes de la règlementation. Elle précise aussi ce que signifie donner un consentement libre et éclairé (les caractères en gras sont dans le texte original) :
- « Votre consentement doit être libre, c’est-à-dire ne pas avoir été obtenu sous la contrainte. Il doit être renouvelé pour tout nouvel acte de soins.
- Votre consentement doit également être éclairé, c’est-à-dire que vous devez avoir été informé des traitements dont vous allez bénéficier, ainsi que des risques fréquents ou graves normalement prévisibles et des conséquences éventuelles que ceux-ci pourraient entraîner».
Forte d’une mission officiellement reconnue par son inscription dans le code de la santé publique, via la loi n° 216-41 du 26 janvier 2016, « France Assos Santé – la voix des usagers » représente les patients et les usagers du système de santé et défend leurs intérêts. Dans sa « Fiche A2 – Santé Info droits pratique », elle détaille les subtilités du droit à l’information sur les soins.
Elle rappelle notamment que :
- « La jurisprudence précise qu’elle doit être loyale, claire et appropriée et ainsi permettre de recueillir le consentement libre et éclairé du patient aux soins qui sont envisagés ultérieurement ».
Le troisième jour de ce doux mois d’octobre de l’an de grâce 2023, Aurélien ROUSSEAU, ministre de la Santé et de la prévention de son état, s’est exprimé sur l’antenne de France Inter. En bon historien qu’il est (professeur d’histoire géographie, spécialiste de l’histoire médiévale), il en a raconté une bien bonne, à la journaliste de service.
Celle-ci lui demande :
- « Comment pouvez-vous convaincre les personnes qui nous écoutent ce matin, d’aller tout à l’heure se faire vacciner ?».
Et « l’ami Aurélien » de répondre avec l’assurance qui sied au prof d’histoire (drôle ?) :
- « Je leur dis, on a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il correspond parfaitement aux souches, maintenant, on a trois ans de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires et donc il faut y aller».
Voilà des propos ministériels qui sont hautement susceptibles « d’éclairer » les futurs potentiels « injectés » !!! Ils ont scandalisé le professeur Christian PERRONNE et Xavier AZALBERT, évidemment, deux « diplômés complotistes ».
Ceux-ci sont également administrateurs de l’association « Bon Sens », dont je vous ai déjà informé des actions judiciaires contre les parlementaires. Les amis « Cricri et Xaxa » ont déposé plainte à la cour de justice de la république (CJR), contre le ministre.
En effet, de nombreux documents, même officiels, établissent l’existence d’effets secondaires pouvant aller jusqu’à la mort. Eh bien, figurez-vous que notre « historien en chef » persiste et signe. Dans un « tweet » ou plutôt un « xweet » (il va falloir s’habituer), en date du 8 courant, il confirme l’innocuité des « produits Pfizer » injectés en masse :
En réaction, de nombreuses victimes d’effets secondaires des « Z’injections », des représentants de collectifs de victimes et des associations, ont déposé ce 12 octobre une seconde plainte à la CJR, pour le même motif « d’affirmations fallacieuses » du ministre.
Vous n’allez pas le croire… Le professeur Jean-François DELFRAISSY, ancien président du Conseil scientifique, confirmait que le ministre Aurélien ROUSSEAU « avait tort de dire qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination contre la COVID-19 », le 7 octobre dans C L’hebdo sur France 5.
Il n’y a plus qu’à espérer que « la justice » prenne une décision « libre et éclairée » !!! J’espère que pour vous, chers lecteurs, la cause est entendue !
« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident.
La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter »
(Aldous Huxley)
Chers lecteurs, ne succombez pas à « la publicité ministérielle » , prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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