Confiance : la clé du monde de demain.
Introduction.
Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.
Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.
La petite annonce du jour :
« URGENT recherche conseiller incapable de mentir. Faire offre à la Maison-Blanche. Arracheur de dents s’abstenir »
Je dis et écris souvent que le temps est propice à la révélation de la vérité. En voilà un exemple particulièrement éclairant. Il est regrettable que nos chers « merdias de grand chemin » n’en aient pas beaucoup fait mention. Il s’agit de entretien donné le 7 courant, au journal allemand « DIE ZEIT », par « Frau Angela », l’ancienne chancelière allemande. Nous apprenons, là, des choses fort intéressantes :
- La chancelière estime que sa politique envers la Russie et l’Ukraine était correcte, même si elle n’a pas réussi.
- Le cessez-le-feu de 2014, négocié par Berlin et Paris à Minsk, était une tentative de donner à Kiev le temps de renforcer son armée.
- Elle a justifié sa décision de construire le gazoduc Nord Stream 2 pour l’acheminement du gaz russe vers l’Allemagne.
Voilà qui éclaire différemment le narratif officiel. Cela a de quoi étonner POUTINE. Il faut savoir que « Vlad et Angela » parlent chacun couramment la langue de l’autre. Ils ont tous les deux passé leurs années de formation, dans l’ancienne Allemagne de l’Est. L’économie de leurs deux pays étant complémentaires, cela a probablement dû créer des liens de confiance réciproques, mais… chacun reste clairement « dans son camp ». Preuve en est, la déclaration de MERKEL : « la guerre froide n’a jamais vraiment pris fin parce que la Russie n’était fondamentalement pas en paix».
Les réactions de « Vlad », à la suite de ces révélations, sont tout aussi intéressantes. Lors d’un entretien avec des journalistes, lors du sommet de l’Union économique eurasiatique (UEE) au Kirghizstan, le 10 courant, il a qualifié de « surprenante et décevante », la confession de la chancelière allemande. La tromperie sur les accords de Minsk soulève maintenant une « question de confiance », a déclaré Poutine, soulignant qu’elle est actuellement « presque nulle ».
« La véritable question est maintenant de savoir si des négociations sur quoi que ce soit avec qui que ce soit sont même possibles, et ce qui garantirait un éventuel accord », a-t-il ajouté. « À la fin, il faudra qu’il y ait des pourparlers. Nous y sommes prêts, je l’ai dit à maintes reprises. Mais tout ceci nous fait réfléchir, à qui nous avons à faire ».
Voilà une révélation supplémentaire qui montre que cette véritable « guerre », même si elle n’est pas (encore) qualifiée comme telle, entre la Fédération de Russie et les États-Unis d’Amérique, pourra difficilement se terminer par des négociations. Pour les pays qui, jusqu’alors, « suivaient » les USA, plus souvent par crainte que par adhésion, nul doute qu’il y aura un « après ». L’hégémon américain est bel et bien, mort.
« Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps.
Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps.
Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps »
Chers lecteurs, avides de vérité, je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
Laisser un commentaire