comptez vous les cocus ….. sauf ceux qui ont été obligés de le faire pour garder le travail Vaccination contre la COVID-19 : un remède pire que le mal ?
Long article comportant une longue liste de témoignages plus oppressants les uns que les autres et qui montrent qu’outre la confiance initiale mal placée dans les autorités sanitaires la mésinformation a fait des dégâts dus à des réactions tardives après les premiers symptômes. Etre averti des diverses réactions d’un individu à l’autre devrait permettre de sauver des situations parmi les gens « toxinés », volontairement ou contraints.
A ce titre cette liste de réactions corporelles concrètes, plus ou moins rapides après injection mérite d’être largement diffusée pour alerter les victimes en temps utile.
Depuis que la pandémie de COVID-19 a entraîné une psychose dans les pays développés, des « vaccins » ont été mis au point en un temps record avec un seul mot d’ordre : la vaccination pour toutes et tous, dès 5 ans, coûte que coûte. Toutefois, les « vaccins » révolutionnaires qui nous sont proposés puis imposés ne sont pas sans risques. Les données de pharmacovigilance qui remontent très timidement sont déjà catastrophiques et laissent craindre le pire poussant de plus en plus de scientifiques et médecins à demander l’arrêt immédiat de la « vaccination », notamment chez les personnes jeunes et en bonne santé.
Avertissement : nos recherches montrent que la désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID. Nous espérons simplement que cet article pousse à la réflexion et à la prudence.
Suite à la pandémie de COVID-19, les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner rapidement les malades avec des traitements qui font leurs preuves (Ivermectine, Azythromicine…) – comme en témoignent le Brésil, l’Inde, le Japon et de nombreux pays africains – et qui sont utilisés depuis des décennies sans contre-indication, ils ont accepté, dans l’urgence des soit-disant « vaccins ».
Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus… Jusqu’à ce jour ?
L’ivermectine est maintenant utilisé comme traitement anti-COVID par 28 % de la population mondiale.
En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant « catastrophique » de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision.
« Cette précipitation a généré une série de problèmes potentiels, comme l’impossibilité de connaître les événements indésirables à moyen et long terme, qui se confirment en pratique jour après jour, sans parler du silence gênant et même l’interdiction, dû à la censure des grands médias et réseaux sociaux et même de l’OMS elle-même, concernant les propositions de traitements pour cette nouvelle maladie en utilisant des médicaments sûrs et établis pour maladies virales et thromboemboliques similaires. » (déclaration de 300 médecins brésiliens du 20 juillet 2021)
La pandémie de COVID-19 aurait[1] tué environ 3,6 millions de personnes en un an (25/11/2020 au 25/11/2021), à comparer aux quelque 40 millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère et aux 83 millions de personnes en plus sur Terre chaque année…A lire sur ce sujet :
- COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des « attaques sans précédent »
- Coronavirus COVID-19 : la course folle aux traitements est lancée
- COVID-19 : le documentaire HOLD ON alerte sur les dessous masqués et inavouables de la « vaccination »
- L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins … Le film choc de l’Association E3M
En France, cette stratégie est avant tout politique et financière (la vente des « vaccins » rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %) puisque le débat scientifique et médical est muselé et les traitements précoces ont rapidement été interdits.
Les messages abrutissants, terrorisants puis les mesures liberticides fonctionnent bien : 56,7 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 8,67 milliards de doses de « vaccins » ont été injectées (Our world in Data, 12/2021) dans ce qui est dorénavant la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.
Les conséquences, minimisées, étouffées, ridiculisées et balayées par trop de politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant du jamais vu dans l’histoire des médicaments.
Aujourd’hui, aux Etats-Unis et en Europe, 3 vaccins sont principalement administrés :
- COMIRNATY (BioNTech et Pfizer) – Vaccin à ARNm
- COVID-19 VACCINE MODERNA – Vaccin à ARNm[2]
- VAXZEVRIA (ASTRAZENECA) – Vaccin à vecteur viral
Ces deux premiers « vaccins » – les plus administrés dans les pays occidentaux – ne sont pas des vaccins traditionnels, c’est-à-dire avec des virus atténués ou inactifs : ils se basent sur l’ARNm (ARN messager), une révolution médicale qui aurait mérité plus d’études, de précaution et de temps avant d’être massivement utilisée sur la population. En effet, ces « vaccins » sont administrés au plus grand nombre possible alors qu’ils sont encore en phase de test pour au moins 2 ans comme le montre le tableau suivant :
Titulaires de l’Autorisation de Mise sur le Marché (= MAH = Marketing Autorisation Holder, en anglais) | BioNTech / Pfizer | Moderna Biotech | Astra Zeneca | Janssen |
---|---|---|---|---|
Date d’obtention de la possibilité de demander une Autorisation de Mise sur le Marché européenne (date d’éligibilité) | 23 Juillet 2020 | 12 Octobre 2020 | 9 Juin 2020 | 28 Juillet 2020 |
Date de dépôt du dossier de demande d’Autorisation de Mise sur le Marché à l’Agence Européenne du Médicament | 30 Novembre 2020 | 30 Novembre 2020 | 11 Janvier 2021 | 15 Février 2021 |
Date d’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché Européenne conditionnelle | 21 Décembre 2020 | 6 Janvier 2021 | 29 Janvier 2021 | 11 Mars 2021 |
Date du Rapport d’Evaluation Européen Public du dossier d’AMM (= EPAR = European Public Assessment Report, en anglais) qui résume l’ensemble des études déposées en termes de qualité, sécurité, tolérance, efficacité et rapport bénéfice/risque. | 23 Décembre 2020Version utilisée : 19/02/2021 (140 pages) | 20 Janvier 2021Version utilisée : 11 mars 2021 (169 pages) | 29 Janvier 2021Version utilisée : 181 pages | 11 Mars 2021Version utilisée (218 pages) |
Date du rapport du Plan de Management des Risques (= Risk Management Plan, en anglais) | 23 Décembre 2020 (114 pages) | 20 Janvier 2021 (95 pages) | 18 Février 2021 (106 pages) | 11 Mars 2021 (103 pages) |
Délai pour déposer les compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini | Juillet 2021A noter : Utilisation de 2 nouveaux excipients | Juin 2021A noter : Utilisation de 2 nouveaux excipients | Décembre 2021 | Aout 2021 |
Délai pour déposer la confirmation d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin | Décembre 2023 | Décembre 2022 à Juin 2025 (cf. EPAR p. 134, 139) | Mai 2022 (analyse principale)Mars 2024 (sujet âgé et maladie sous-jacente) | Décembre 2023 |
Les effets indésirables de ces « vaccins » et donc le rapport bénéfice / risque est donc officiellement encore en cours de test et les vaccinés en sont les « volontaires ».
Combien de personnes sont mortes suite à la « vaccination » anti-COVID ?
Outre les très nombreux témoignages (volontairement non médiatisés et rapidement censurés sur les médias sociaux) qui émergent des victimes et proches dans les pays les plus vaccinés, ce sont les données de pharmacovigilance qui donnent une estimation très conservatrice des effets indésirables graves et mortels de cette « vaccination ».
Pourquoi les avertissements de la pharmacovigilance sur ces « vaccins » sont très discutables
Quelque soit la base de données étudiée, les messages d’avertissement sont nombreux et martèlent que l’on ne peut déduire aucune relation entre les vaccins suspects et les conséquences observées suite à la vaccination : « Les informations présentées sur ce site web ne reflètent aucune confirmation d’un lien potentiel entre le médicament et le(s) effet(s) observé(s). » (EduraVigilance) ; « Il est important de noter que les données de la Yello Card ne peuvent pas être utilisées pour dériver les taux d’effets secondaires ou comparer le profil d’innocuité des vaccinations contre le COVID-19, car de nombreux facteurs peuvent influencer la notification des effets indésirables. » (Yello Card pour le Royaume-Uni)
Et pourtant, cette prudence, relativement acceptable depuis des décennies pour d’autres traitements et autres vaccins, n’est pas recevable pour la « vaccination » anti-COVID pour les raisons suivantes :
- On estime que seulement 10 % des cas d’effets indésirables sont enregistrés dans ces bases de données (méconnaissance, interdiction, refus et pression hiérarchique, difficultés techniques …) ce qui donne encore plus de crédibilité aux cas qui sont enregistrés.
Mentionnons le Dr belge Thierry Hertoghe qui témoigne de sa difficulté à faire remonter les effets indésirables de sa propre « vaccination » : « Je tiens ici à témoigner comme médecin et patient d’un effet négatif du vaccin dont d’après moi la fréquence de survenue d’effets majeurs dangereux du vaccin est largement sous-estimée, peut-être à cause d’un manque de vérification et parce que la plupart des cas d’intolérance ne sont simplement pas répertoriés.«
Le Dr. Philippe de Chazournes (île de La Réunion) affirmait le 23 septembre 2021 : « on nous interdit de signaler les éventuels effets indésirables » et risque par ses propos d’être radié de l’ordre des médecins… - Les seules données remontées sont tout simplement du jamais vu dans l’histoire de la vaccination et c’est valable pour tous les pays qui publient leurs données de pharmacovigilance : il y a un bond statistique colossal et édifiant (+ 1000 % sur les décès aux USA) qui ne laisse aucun doute sur les effets délétères de ces « vaccins ». Il ne peut y avoir de confusion avec un autre traitement anti-COVID puisqu’ils sont interdits ou administrés au compte-goutte dans ces mêmes pays. En outre, il s’agit de personnes vaccinées qui ne devraient donc pas en théorie développer des formes graves du COVID et qui ne nécessitent donc pas de traitements.
Sir Christopher Chope, membre du Parti conservateur au Parlement anglais, interpellait son gouvernement le 10 septembre sur la transparence autour des injections contre le Covid : « Les vaccins contre le Covid-19 causent beaucoup plus de dommages aux citoyens Anglais que tout autre programme de vaccination dans l’histoire. »Sir Christopher Chope wants transparency. Don’t we all! pic.twitter.com/xWlEt1SwMT— I do not consent (this tweet is misleading) (@Idonotconsent6) September 10, 2021 - En Allemagne, 15 autopsies réalisées et analysées par Dr. Arne Burkhardt et Dr. Bhakdi sur des personnes mortes jusqu’à 6 mois après avoir été « vaccinées » ont montré que pour 14 d’entres elles, c’est le « vaccin » qui en était la cause avec un mécanisme d’auto-destruction de l’organisme inconnu jusqu’alors.
- 86 % des décés remontés dans la base de données américaine VAERS n’ont pas d’autres explications que la vaccination. En effet, 50 % des décès interviennent moins de 48 h après la vaccination et 80 % en moins d’une semaine (Scott McLachlan, Magda Osman et al. Analysis of COVID-19 vaccine death reports from the Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) Database Interim: Results and Analysis)
- L’opacité des données de pharmacovigilance ou leur publication partielle rend difficile la vérification des propos rassurants des gouvernements. En France le rapport de la cour des comptes du 22/09/2021 souligne l’opacité et la confusion des données communiquées par le gouvernement concernant le taux d’occupation des lits en réanimation, un indicateur clé dans la gestion de la pandémie. Ce manque de transparence et les propos mensongers répétés n’invitent pas à la confiance.
- Si l’on considère que les décès remontés par la pharmacovigilance sont des personnes mortes suite à l’injection, pas nécessairement de l’injection, soulignons que de la même façon, les décès signalés par COVID-19 sont des personnes décédées avec COVID-19, pas nécessairement de COVID-19… (Classen B. Trends Int Med. 2021).
- De très nombreux témoignages dans tous les pays fortement vaccinés remontent sur les réseaux sociaux et les sites non officiels de recensement des effets indésirables. A contrario, il est très difficile de retrouver de tels témoignages (très rares) pour les autres vaccins.
- Une dizaine de vaccins sont administrés à une très grande partie de la population mondiale depuis des décennies sans que de tels effets néfastes soient constatés, nous ne pouvons donc pas considérer que la « vaccination » actuelle est exceptionnelle en terme de couverture vaccinale et que par conséquent, le nombre de décès et de cas graves le seraient aussi.
Union Européenne : près de 2,7 millions de cas d’effets indésirables et près de 30 000 morts
Dans l’Union Européenne, c’est la base de données sur les effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments (EudraVigilance) qui est utilisée pour remonter les conséquences néfastes des vaccins anti-COVID.
La compilation des données de cette base est fastidieuse mais montre, au 30 octobre 2021, plus de 2,7 millions de cas d’effets indésirables mais aussi près de 30 000 décès suite à la « vaccination ». C’est tout simplement du jamais vu dans l’histoire de la pharmacovigilance européenne.
« Vaccin » | Nombre de morts |
---|---|
COVID-19 MRNA VACCINE MODERNA (CX-024414) | 8 196 |
COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH (TOZINAMERAN) | 14 002 |
COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19) | 5 973 |
COVID-19 VACCINE JANSSEN (AD26.COV2.S) | 1 763 |
TOTAL | 29 934 |
France : 25 460 cas graves et plus de 1 200 morts
En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un « point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19 » qui détaille les effets secondaires des 4 vaccins administrés. Malgré les quelque 1 200 décès et les 25 460 cas graves (officiels), leur rapport se borne aussi à marteler que cela « ne montre pas de spécificité particulière en faveur d’un rôle du vaccin », on se s’interroge donc sur l’origine de ces dizaines de milliers de cas graves, jamais vus auparavant…
Les 3/4 des cas d’effets indésirables remontés concernent des personnes âgées de 18 à 64 ans, les personnes qui sont les moins à risque de mourir du COVID (seulement 8 % des décès). Autrement dit, le rapport bénéfice / risque de ces « vaccins » est très mauvais chez les personnes de moins de 65 ans.https://crowdbunker.com/embed/6UbBGvViUvX »Les patients COVID ont représenté 2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus » (ATIH)
Le nombre total de décès associés au Covid-19 depuis mars 2020 est de 54 813 personnes en France selon Santé Publique France, soit
Ainsi, tout comme en Europe (UE), en France, la vaccination est plus dangereuse que la maladie pour les personnes jeunes et en bonne santé : « pour les personnes âgées de moins de 45 ans, le risque de décès après vaccination est 1,4 fois plus élevé (Astrazeneca) par rapport à la mortalité Covid-19 et le risque de séquelles très graves entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé est jusque 5,2 fois plus élevé pour Pfizer. Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans. Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est de 41 à 56 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé. » expliquent des scientifiques dans (REINFOCOVID)
La morbidité d’une population se définit comme étant le « nombre de personnes malades ou le nombre de cas de maladies dans une population déterminée, à un moment donné » (DREES)https://crowdbunker.com/embed/Vxv6cKQf6fx
Quelques témoignages d’effets indésirables en France
Voici quelques témoignages sélectionnés (anonymisés mais sans modification) parmi tant d’autres (il y a une dizaine de témoignages par jour) visibles sur les groupes Facebook « Recensement effets indésirables » :15 juillet 2021″mon papa 43 ans pression du travail à reçu 1 dose le 7 juillet au matin il est décédé d’un arrêt cardiaque vers midi sur la route en revenant manger à la maison il à du se sentir mal avant il s’était garé sur le bas côté …mo d er n a ma maman est en dépression depuis voilà je voulais juste en parler ce soir je suis triste« 15 août 2021 »Mon fils ****** vacciné moderna le 22 juillet…Décédé le 24 juillet !!!
Mon petit-fils ****** l’a découvert dans son lit.
****** avait 39 ans et heureux de vivre.
Suite à ma requête et mon avocat, les analyses sont en cours concernant les raisons inexpliquées de son décès.« 30 août 2021 »J’ai 31 ans, maman de deux petites filles. Je me considère en parfaite santé, belle nutrition, je m’entraîne 5 jours semaine, non-fumeuse, un verre à l’occasion.
1ère dose Moderna 30 mai, le lendemain des chaleurs intenses…et 14 jours de fatigue intense à avoir de la difficulté à me lever le matin. Jusqu’à là on m’avait prévenue.
2e dose 26 juillet dernier. Le 9 août au matin, des points et crampes au coeur, comme tout le monde en a déjà eu…en respirant. Je me dis « relaxe respire ça va partir… », mais non…ça continue et fort.
Je me rend à l’hôpital par l’entremise d’une amie, on me demande mes antécédents, mais surtout mes dernières dates de vaccination…étrange?
On me fait un électrocardiogramme, c’est beau. Prise de sang sont belles, mais on détecte un peu d’inflammation…donc anti-inflammatoire pour 7 jours.
Je quitte le pays pour 5 jours, je reviens et les pincements recommencent…pression dans l’omoplate, dans la poitrine, essoufflée comme si j’avais fait deux heures de cardio en montant 5 marches…(dieu sait que mes workouts quotidiens sont beaucoup plus intenses que ces 5 marches là…) engourdissement du bras gauche…
Le médecin me demande de me rendre aux urgences jeudi soir dernier, on me refait un électrocardiogramme, et cette fois-ci des prises de sang…et pour terminé un échographie du coeur.
Résultat = J’ai un décollement du péricarde (enveloppe du coeur) car du liquide (inflammation) s’est introduit entre le coeur et celui-ci.
Je fais donc une péricardite…qui selon le médecin est souvent vu lors d’un « shot down » du système immunitaire…ah ben! Je me demande bien pourquoi moi qui est en super santé peut bien avoir SHOT DOWN son système immunitaire…vous en pensez quoi doc? « Probablement une péricardite post-vaccin, c’est fréquent! »
J’ai donc des antibiotiques à prendre religieusement pour soigner tout ça pendant 3 mois (oui oui 3 mois) du repos, réduire mes entraînements…(donc aussi ma qualité de vie habituelle). On m’a dit et je cite « une péricardite ce n’est pas dangereux lorsque c’est bien soigné! »
Alors pourquoi on continue d’injecter des gens…qui auraient peut-être fait face au virus sans problèmes, mais qu’on leur injecte un vaccin non-homologué…en créant des problèmes de santé à des gens qui étaient EN PARFAITE SANTÉ?!
Mes enfants ne seront pas vaccinés, mon conjoint non plus, clairement pas!« 02 septembre 2021 »Bonjour à tous. Je ne pensais pas venir un jour poster ici… Et pourtant… Un de mes amis, 56 ans, est décédé 4 jours seulement après sa 2e dose. Crise cardiaque… Il s’est plaint de malaise quelques instants seulement après l’injection. Son état a empiré jusqu’à sa fin prématurée. Personne ne l’a pris sérieux et bien évidemment, son acte de décès ne stipule que la crise cardiaque et à aucun moment, le vaccin a été mis en cause.
En ce qui me concerne, 2e injection le 11 août. Aucun ressenti notoire dans les jours qui ont suivi. Mais depuis plusieurs jours, je souffre de migraines aussi brutales que violentes. Mes règles sont hémorragiques, j’ai des palpitations fréquentes et des douleurs vives apparaissent dans mon bras droit. Je suis épuisée et, honnêtement, inquiète. J’ai 4 jeunes enfants et me faire traiter d’inconsciente car je refuse de les vacciner me fait bondir ! Courage à toutes et tous….« 02 septembre 2021 »Bonjour,
J’ai travaillé dans une clinique SSR pendant 2 ans, jusqu’au 31 août. Le public est généralement âgé, en situation de réadaptation suite à une chirurgie traumatique (prothèses de hanches, genoux, membres fracturés, etc etc).
Selon la pathologie, mais aussi l’état de santé et le moral des malades, leur séjour était plus ou moins long, mais tous repartaient réparés, capables d’autonomie, même s’il fallait mettre en place une aide à domicile lors du retour à la maison.
Nous avons eu 2 « clusters » depuis le début de l’épidémie.
Les malades atteints sont tous répartis réparés mais aussi guéris car il y a eu une prise en charge médicale. Aucun n’est mort malgré les multiples pathologies dont souffraient certains (insuffisance hépatique, insuffisance respiratoire, insuffisance cardiaque, insuffisance rénale, diabète etc etc). Mais depuis quelques mois, j’ai observé que des malades se dégradent à vive allure, vieillissent d’une façon accélérée, présentent de sérieux troubles gastriques, des AVC, des problèmes respiratoires, des fatigues insurmontables, des troubles cognitifs, des dépressions nerveuses etc etc. Pour la plupart, le séjour se finit à l’hôpital, dont certains ne reviennent plus. Le taux de mortalité a explosé à la hausse alors que c’était de l’ordre de l’exceptionnel « avant »…avant que les malades ne soient vaccinés. Je suis stupéfaite par le déni général. Alors que c’est factuel, sous nos yeux, personne n’admet qu’il y a une hausse exponentielle du nombre de morts et que cela a commencé lors des campagnes massives de vaccination.
Ne pourrait on pas regarder ce qui se passe du côté des EHPAD et faire des statistiques sur les dix dernières années ?« 02 septembre 2021 »Un petit camarade de la classe de mon fils (12 ans) viens se faire piquer, puis passe en réanimation car vomissements, fièvres très fort qq jours après l’injection. Le petit était en délire totale. Aujourd’hui il est sorti de la réanimation(3 jours) mais toujours hospitalisé. Sa maman vient de dire, je cite « se vaxx.. sont tellement dangereux »… Elle a pensé que son fils va mourir Je suis choqué, en colère..« 03 septembre 2021 »J’ai reçu une dose fin mai de Pfizer. J’ai 38 ans en bonne santé sans antécédents médicaux spécifiques. Je n’ai plus mes règles depuis 2 mois, et atteinte de dysgueusie depuis plus d’un mois (goût métallique dans la bouche quand je mange des aliments sucrés: fruits, biscuits, viennoiseries et certains légumes un peu sucrés: carottes, tomates…).C’est vraiment handicapant au quotidien -4kg sur la balance ! Et j’attends toujours mes règles.« 03 septembre 2021 »Ambulancier depuis 8 ans , et volontaire à la 1ere vague, je me suis occupé de quelques patient suspicion COV.
Pendant la 1ere et 2eme vague , je n’avais presque plus d’urgence SAMU AVC , AIT ou infection en tout genre. Mais depuis que la « vaccination » , je vois un peu trop de patients ayant des problèmes cardio pulmonaire. Beaucoup trop de thromboses.
Ce que je remarque aussi , ce sont des pneumonies de personnes « vaccinées » 2 doses. Le SAMU nous demande de prendre en charge en ce moment des patients suspicion COVID , hyperthermie, difficultée respiratoire. Et quand vous lisez le courrier du médecin passé 1h avant , il est écrit sur le courrier :
– patient BPCO
– température à 37.8 (où est l’hyperthermie décrite par le 15)
– pneumonie poumon gauche
– test covid négatif
Donc rien à voir avec suspicion COVID.
J’amène un peu trop d’AVC , problème cardio peu de temps après la vaccination. À un niveau inquiétant.« 03 septembre 2021 »Je suis aide soignante dans un service de cardiologie. Actuellement nous avons un adolescent de 17 ans en soins intensifs qui a fait une myocardite 4 jours après le vaccin. Après un doute, comme d’habitude, le cardiologue a confirmé qu’il s’agissait d’un effet du vaccin, enfin !!!
Et nous recevons régulièrement des personnes plus ou moins jeunes (20, 30, 40, 50, 60 ans) pour ce genre de pathologies après vaccin. Et des personnes qui n’ont pas forcément de vulnérabilités.
Je ne suis pas vaccinee, et je serai donc, dans quelques jours, mise à pied , sans salaire, comme une malpropre, moi qui fais partie de ces soignants qu’on applaudissait des balcons il y a quelques mois !« 04 septembre 2021 »Un homme de 48 ans de mes connaissances , auquel j’ai pris un rendez vous pour être vacciné sur ***** le 4 aout a vu son bras vacciné enfler .Il est resté enflé 3 jours et le 8 au matin il est décédé dans sa salle de bain d’un AVC . Malheureusement personne ne lui a dit d aller consulter.« 05 septembre 2021 »1er injection de pfzz le 25 mai :
Symptome « classique » fatigue, maux de têtes, veine qui gonfle sous le pieds, jusqu’à la ça va. 2eme injection de pzff le 20 juillet à 11h:
5mn après leger vertige mais ça va .
17h :39,7 de température, mes yeux se ferment, je tiens plus debout, tout est flou, je m’endors. 23h réveillée par mon cœur qui s’emballe, mais ça passe.
Le lendemain maux de tête mais ca va.
Le 3 août (13 jours après la deuxième dose)Je suis en voiture, je conduis, j’allais très bien, d’un coup, je ne contrôle plus rien, mon cœur s’emballe, mon corps me lâche, je sens que je perd connaissance, mon côté gauche ne répond plus (bras, jambe, visage) pouls à 190, tension à 7.
Verdict :AIT et troponine positive à 16 (marqueur cardiaque)
Bref pour faire court, pdt 1 mois, je suis restée assise à ne rien pouvoir faire de normal.
Tension qui passe de 7 à 18.
Pouls de 46 à 150.
J’ai été réglée 3 fois en 1 mois (je suis réglée comme une horloge)
Aujourd’hui 1 mois après, me sentant mieux j’ai voulu faire la rentrée de mes enfants, donc essayé de reprendre une vie normal.
Hier soir tension à 8, le cœur qui s’emballe, et je suis incapable de vous dire ce qu’il s’est passé cette nuit, trou noir complet !!« 05 septembre 2021 »Désolé pour mon français!
J’ai 34 ans et je été obligé de me faire vacciner en février pour ne pas perdre mon travail. immédiatement après la première injection, j’ai eu une douleur intense au bras, après environ 13 heures vers 22 heures, j’étais au lit, j’avais des douleurs à la poitrine et au bras et cela a grandi jusqu’à mon sein gauche, le lendemain et pendant les 10 jours suivants, j’étais très fatigué, toujours avec des douleurs au bras et mon sein, avec peu de force dans mon bras gauche, je ne pouvais pas tenir ou soulever des choses.le 23 mars j’ai pris la deuxième dose dans la nuit j’ai eu une très forte fièvre, je suis passé de tremblement de froid (j’ai mis 7 couvertures) ou je mourais de chaleur. Nausées, vomissements et dysenterie toute la nuit, je n’ai jamais été aussi mal, j’ai pris 3 tachipirine pour faire baisser la fièvre ! le lendemain, j’étais très fatigué, sans force avec des douleurs dans tout le corps qui ont duré environ deux semaines.
Ma soeur n’était pas si chancheuse.
Elle a 37 ans, le lendemain du vaccin elle a commencé à avoir des douleurs à la poitrine et au milieu du dos, elle se sentait très fatiguée, et elle était essoufflée, elle est allée à l’hôpital au bout de quelques jours, péricardite avec épanchement du péricarde ! commencé un traitement pour faire résorber l’épanchement.
il y a quelques semaines,elle a eu une crise cardiaque. heureusement pas d’arrêt cardiaque ! 3 cardiologues le ont dit que la péricardite était causée par le vaccin ! a maintenant l’exemption de vaccin. mais les dommages au cœur demeurent.« 06 septembre 2021 »J’ai 28 ans et j’ai toujours été en très bonne santé. Je n’ai pas d’antécédents médicaux et je mange le plus sainement possible. Il y a un mois j’ai eu ma deuxième dose avec le vaccin Pfizer car je n’avais pas d’autres solutions pour pouvoir travailler. Après l’injection j’ai fait un malaise dans ma voiture et je me suis cognée la tête contre la vitre. J’ai vu tout tourner pendant plusieurs minutes. Durant la semaine j’ai eu des migraines très douloureuses ainsi que des vomissements matin et soir. J’ai pris beaucoup de Doliprane pour que ça passe.
10 jours plus tard j’ai commencé à cracher du sang et mon rythme cardiaque s’est emballé. Le moindre effort me fatiguait et j’étais essoufflée tout le temps.
Le 17 août j’ai eu mes règles qui ont duré 12 jours alors qu’habituellement elles ne durent qu’environ 5 jours. Le sang coulait abondamment. Mon copain m’a emmené chez le médecin et celui-ci n’a jamais voulu me dire qu’il y avait un lien avec le vaccin… hallucinant.
En revenant chez moi et en me démaquillant je me suis aperçue que j’avais des problèmes de peau alors que je n’en avais jamais eu auparavant. Quelques plaques rouges dans le cou et des boutons sur les joues étaient apparus. Mes lèvres sont devenues très sèches et je ne peux plus porter de lentilles car j’ai les yeux qui sont devenus secs également.
Mon copain est en déplacement et je ne peux pas rester seule à la maison donc je suis actuellement chez ma mère. Je me sens encore faible et j’ai du mal à me remettre de tous ces effets secondaires. Je vais mieux certes mais j’ai besoin de beaucoup de repos.« 07 septembre 2021 »Bonjour à vous tous! Je travaille en ostéopathie et plusieurs de mes clients ont eu des effets sérieux.
Un homme 45 ans, Astra Zeneca première dose, atrophie de plusieurs muscles du bras injecté (Deltoïde, biceps, fléchisseurs de la main) avec perte de force importante. Ses sensations ont commencé instantanément après l’injection.
Homme de 50 ans, convulsions sévères le jour même de sa première dose Pfizer. Il n’est pas épileptique! Je ne sais pas s’il a séquelles ou non.
Femme de 62 ans, première dose de Pfizer, choc anaphylactique dans l’heure suivant l’injection…Dame en bonne santé sans allergies connues, ne prenant aucun médicament. Homme 70 ans, deux doses avec le délai d’attente pour une « protection optimale », tout de même attrapé la covid + 2 jours dans le coma…« 07 septembre 2021 » Mon père, deuxième doses Pfizer le 15 août, entre à l’urgence le 31 août, intubé le 1er septembre. Dans un coma artificiel depuis…« 07 septembre 2021 »Bonjour à tous. Je poste ce message complètement impuissante et désemparée de la situation.
Un couple d’amis proche qui attendent un enfant se sont fait vac**ner malgré nos mises en gardes (nombreuses et justifiées) des deux doses (Pf***) alors qu’ils ont 33ans et sont en bonne santé. Suite à la première d*se notre amie enceinte de 4mois et demi à faillit perdre son bébé, mais hospitalisée en urgence ils s’en sont sorti avec un alitement pendant 11 semaines. Vient ensuite la deuxième d*se (cela ne les a pas dissuadés) il y a 3 semaines. Depuis hier notre ami est admis au urgences suite à 40 de fièvre et vomissements, il perd connaissance. La cause un calcul dans la vésicule biliaire se transformant en péritonite.. il devait se faire opérer l’après-midi même. Aujourd’hui il est en réanimation car il fait une septicémie.
Sa femme alitée n’ayant pas d’autres choix que de se débrouiller seule et le stresse n’arrangeant rien vient de rentrer aux urgences car son col s’est ouvert. Elle risque de perdre son bébé (elle est à peine à 7 mois de grossesse.)« 08 septembre 2021 »Je fait la 1ère dose de Pfizer le 15 mai et je me suis sentie très fatiguée, palpitations ,frissons et dans le brouillard pendant environ 3 semaines (fièvre et état grippal pdt 1 semaine). La 2ème dose m’a fait ressentir les mêmes effets le 15 juin, sauf qu’après quelques jours, je ne parvenais plus à bouger mon bras droit (vaccinée à gauche). Je suis allée faire une radio et il ont détecté une tendinite de l’épaule, plutôt étrange car je n’avais pas fait d’effort avec ce bras. J’ai fait de la kiné, une infiltration et j’ai toujours des douleurs. Je viens de revenir du Maroc ou j’ai contracté le Covid malgré toutes mes précautions et j’ai presque une forme sévère qui s’est abattue sur moi, tel un tsunami. Je suis encore en plein dedans et dois mesurer mon taux d’oxygène car il est limite. J’avais les bronches en feu pendant 2 jours, je ne pouvais même plus parler.« 08 septembre 2021 »J’ai été vaccinée le 26 mai et le 26 juin 2021, doses Moderna. Depuis le 7 juin 2021 je n’ai plus eu de règles, date à la quelle ses dernières étaient sensée arrivé étant sous traitement de la pilule contraceptive Classique. J’ai vécu 3 mois sans règles et deouis j’ai eu un retour de règles et mon trouble hormonal persiste car maintenant j’Ai mes règles toutes les 2 semaines malgrès la prise de ma pilule habituelle.
Ses troubles ont étés diagnostiqués par le médecin généraliste et Gynechologue comme un effet secondaire dû au vaccin et ils ne savent pas jusqu’à quand cela va persister. Ils ont dit que je souffrais d’un dérèglement hormonal. A savoir qu’au paravant je n’avais jamais eu ce souci.
J’ai stoppé ma pilule contraceptive hier pour une durée de 3 mois sous recommandation du Gynechologue pour observation.« 09 septembre 2021 »Mon amie va@@@@v 1dose avec pfi……….le20aout……pdt 2semaines apres l injection n est pas bien du tout…..le4septembre elle est hospitalisee…..Fievre. mal dans les reins. prise de sang et catastrophe .globules en chute… systeme immunitaire la cata. Elle est tjrs hospitalisee en chambre isolee;. et a developpee une infection ;ce qui a donne aux medecins qui ont sautes sur l occasion qui se presentait et qui bien sur ne veulent pas reconnaitre que c est du au va@ààà,@;que si son systeme immunitaire c est casse la figure c est a cause de l infection.et on eu le culot de lui dire qu elle avais cette infection avant.. elle n a pas eue le choix car vivant seule avec 2enfants et travaillant aupres de personnes agee elle n a cede a la pression.« 09 septembre 2021 »Le fils d’un copain, 22 ans, jeune homme très dynamique qui a bossé dur pour se payer sa formation et faire le job de ses rêves: moniteur de plongée sous-marine…
A du se faire vacciner pour le faire .
Décollement de la plèvre (la peau des poumons), il lui est maintenant interdit de plonger car cela est dangereux pour lui…« 10 septembre 2021 »J’ai eu une réaction allergique à la deuxième injection du vaccin Pfizer qui s’est caractérisée par une réaction inflammatoire 2 h après l’injection à l’endroit où j’avais eu un strap un semaine avant. Brûlure au second degré de la peau, réaction d’urticaire sur les deux chevilles, les avants bras, le torse et le cuir chevelu. Je suis suivi et la déclaration a été faite à l’ansm. « 10 septembre 2021 »Ma soeur c’est fait vacciner 1er dose le 26juillet, elle est décédé le 7aout d’une embolie pulmonaire dans la nuit.
46ans, 4enfants en parfaite santé.« 10 septembre 2021 »Ma fille de 16 a eu sa deuxième dose de vaccin covid hier à midi …
13h elle part faire la sieste …
Pas possible de la réveillé à 17h elle était dans un état comateux
L’ambulance arrive…après plusieurs essais et une tension a 7 **** ne se réveille pas ..
Arrivée aux urgences.. elle ouvre enfin les yeux
Elle n’arrive pas à me parler..je vois les larmes coulés sur les joues de ma princesse…
Vers 20h elle arrive enfin chuchoter…mais pas possible de bouger sa jambe droite…
A l’heure actuelle **** est toujours hospitalisée ..sa jambe droite ne fonctionne toujours pas…
Notre princesse a peur car elle s’est fait vacciner pour sa passion , la gym , Et là elle a l’impression que son rêve s’envole …
On espère que tout va rentre dans l’ordre….« 10 septembre 2021 »Bonjour, j’ai reçu la première dose pfizer le 15 août. Douleur bras +++ pendant 3 jours. Ensuite nausées et maux de tête pendant 1 semaine. Plus tard douleur cuisse et mollet. Après début douleur nuque cervicales !!! Après ça va un peu mieux.
2 eme dose le 5 septembre et l’enfer !!!! Douleur atroce bras fièvre 40 frissons sueurs douleurs tous les os fatigue nuque cervicales tremblements maux de tête violents comme un casque. Restez alitée 2 jours à souffrir le martyre!!! Mnt douleurs nuque persistante !!! Je regrette énormément !!!« 11 septembre 2021 » Bonjour à tous, aujourd’hui j’apporte mon témoignage, je ne suis ni complotiste, ni anti vaccin mais mon entourage sait ce que je pense de celui ci qui soit dit en passant n’en est pas un. Malgré tout, je n’ai pas imposé mon opinion ni mon choix de ne pas faire cette injection à mon fils de 19 ans car la vraie liberté est de pouvoir choisir. Il n’était pas pour se faire « vacciner » mais il l’a tout de même fait suite à l’influence de son père…2 ème dose reçue le 31 août . Hier, donc 9 jours après, il se retrouve aux urgences…douleur poitrine et coeur à 145 au repos… évidemment petite myocardite détectée…je ne comprendrai jamais comment on peut imposer aux peuples des « vaccins » qui sont si nocifs pour la santé …histoire de gros sous!!! Encore et toujours
Si tout ces effets étaient réellement recensés, les statistiques exploseraient des records…« 12 septembre 2021 »Bonsoir. Infirmière liberale en région toulousaine, c’était vax ou changer de job…
1ere dose : asthénie majeure, douleurs au ventre, perturbation du cycle menstruel , nausée. 2eme injection lundi dernier (moderna je n’avais pas précisé) : hyperthermie 38.5 sous doliprane, douleurs articulaires +++, nausées, fourmis visage et extrémités, rush cutané sur le torse, joues en feu même sans fièvre, asthénie ++++. Bref , j’ai cru mourir! C’est bien flippant!« 13 septembre 2021 » Alors cela fait 3 semaines que j’ai eu ma seconde injection, Pfizer , et ça fait 3 semaines que je suis pas bien. Douleur dans tout le dos , des maux de tête , une extrême fatigue et des épisodes où j’ai des symptômes grippaux.
Je ne peux plus faire grand chose , moi qui suis hyperactive je ne me reconnais plus.« 13 septembre 2021 »31 ans. 12/08/2021. Pfizer 1ère dose. Je sors du centre de vaccination au bout des 15 min de surveillance. Je me sens un peu bizarre mais sans plus. Je marche 5 minutes, je me stoppe net, je fais une crise de tachycardie, je sens que mon rythme cardiaque augmente de façon anormale, je sens que je fais de l’arythmie cardiaque. Je suis obligée de ralentir mon pas pour réussir à rentrer chez moi (1km). J’arrive chez moi, je suis épuisée, besoin impérieux de surélever mes jambes (douleurs +++++ dans les mollets). Egalement, douleurs pelviennes +++. Sensations de vertiges/étourdissement (un seul épisode de 10 secondes). Je dois fractionner une petite tâche de la vie quotidienne en petits morceaux entrecoupées de moments où je m’allonge pour parvenir à la finaliser (préparer un sac avec quelques affaires). Le lendemain jusqu’au 4ème jour post-injection, épuisement et douleurs cardiaques associées à l’arythmie, du mal à faire même de petits efforts et toujours un besoin impérieux de surélever les jambes. Dans la journée de J4, l’après-midi, je suis assise avec les jambes surélevées et je discute avec ma mère et mes cousines quand soudainement, j’ai une sensation de mal à la tête (douleurs localisées à l’arrière du crâne sur la gauche), j’ai du mal à parler, du mal à mettre les syllabes dans l’ordre pour dire des mots (l’épisode dure quelques minutes), je choisis d’aller me reposer (m’allonger seule dans ma chambre). Toujours des douleurs à la tête (surtout à l’arrière du crâne) durant la soirée, mais plus de difficulté de langage. Durant la nuit, je fais une crise de tachycardie, douleurs extrêmement importantes au niveau du crâne, douleurs dans le coeur, sensations de serrement, et douleurs extrêmement importantes dans les jambes, j’ai cru que j’allais mourir. Durant les jours suivants, toujours de l’arythmie jusqu’à J10-J12, des douleurs dans les mollets ++++, très grande fatigue. Assez étonnamment, de J10 à J20, des sensations de fourmillements dans les mains, douleurs musculaires diffuses alors que pas ou très peu d’efforts. Quelques sensations de piques au niveau thoracique vers J15 à J20. Aujourd’hui, je me sens globalement guérie (les examens paracliniques réalisés chez le cardiologue attestent de ma guérison), mais je me sens plus fatiguée qu’auparavant et plus fragile. J’ai fait une déclaration au centre de pharmaco-vigilance.« 13 septembre 2021 »Bonjour, voici mon témoignage: Début Mai j’ai essayé de rassurer ma mère (70 ans) de se faire vacciner pour qu’elle soit protégée de ce COVID. Elle n’était vraiment pas partante, mais j’ai trouvé les mots pour la persuader. Le matin arrive pour son injection Pfizer.. l’après midi des douleurs au ventre, hospitalisation le soir même avec un caillot qui monte au cerveau.
J’essaye de rassurer mon père en lui disant qu’elle est dans de bonnes mains, et heureusement qu’elle est à l’hopital …
le lendemain matin mon père me téléphone en larme effondré me disant que maman est en train de mourir ! je quitte mon travail sur le champ pour chercher mon père et foncer sur Toulon, l’hopital gardait ma mère sous respirateur…
arrivé sur place , tous les médecins nous reçoivent dans un salon, pour nous expliquer ce qui c’était passé, thrombose générale et ils ne pouvaient rien faire …
ma question envers eux a été « voyez vous un rapport de tout ce qui c’était passé avec le vaccin de la veille » réponse non …
En regardant mon père qui était effondré sur sa chaise, je n’ai pas voulu aller plus loin.
j’ai été donné la main à mère tout en lui caressant le front…en attendant que son coeur s’arrête ….« 13 septembre 2021 »J’ai 28 ans , Vacciner au Pfizer le Dimanche 29 Août, les premiers effets indésirables apparaît dans les 2h suivant la vaccination :
Sensation d’engourdissements dans la jambe droite je marche en boitant en premier lieu suivi le soir de fourmillements ,
le lundi vu médecin traitant et le mardi pas d’amélioration,
Mardi soir tout bascule , je suis dans mon lit et mes deux jambes sont paralysée, impossible de les bouger .
A ce jour je suis hospitalisé maintenant depuis 2 semaines avec un diagnostic « trouble neuro moteur » en attente d’une place en centre de rééducation.
Les médecins ne veulent pas admettre le miens avec le vaccin . « 13 septembre 2021 »Bonjour, j’ai 27 ans je suis infirmière. En parfaite santé avant la première vaccination par astrazeneca (avant que celle ci ne soit interdite pour les personnes de moins de 50 ans). Conséquence fièvre importantes, fatigue, maux de tête… 10 jours après sensation de jambes lourdes et faiblesse musculaire puis douleurs. La douleur s’accentue avec des sensations d’élancement dans les deux jambes, faiblesses musculaire, perte de la sensibilité. Aux urgences IRM pour éliminer un syndrome de la queue de cheval. Retour à domicile avec des antalgiques qui ne me soulage pas du tout. Les jours passent et la marche devient de plus en plus difficile, à cela s’ajoute des troubles de la déglutition et une faiblesse au niveau des bras. Nouvelle hospitalisation en mai dans un service de neurologie qui suspecte un syndrome de guillain barré, au vu de la dégradation de mon état et les résultats de la ponction lombaire les médecins décident de commencer le traitement par immunoglobuline. Suite au traitement on m’annonce qu’on ne sait pas si j’ai réellement fait ce syndrome étant donné que je « ne rentre pas dans toutes les cases ». On me laisse sortir car mon état s’améliore en me disant que ça ira de mieux en mieux. Mais pas de diagnostic posé donc aucune prise en charge et les neurologues refusent de se positionner face à un éventuel lien avec le vaccin. Je marche de nouveau, je n’ai plus de trouble de la déglutition mais les douleurs sont toujours présentes et ne s’atténue pas. Cela fait 6 mois que je souffre au quotidien, les douleurs sont constamment présentes et s’accentuent au fur et à mesure de la journée. J’ai du changer toutes mes habitudes de vie, je ne peux plus faire de sport, de randonnée, faire mes journées de travail devient de plus en plus difficile, mon corps ne récupère pas et je suis épuisée. Je ne sais toujours pas de quoi je souffre, je n’ai toujours pas de traitement adapté…« 14 septembre 2021 »Bonjour
Je suis infirmière et donc soumise à l’obligation vaccinale.
Je suis en arrêt car j’ai fait une réaction allergique avec oedème du visage et de la trachée dans un premier temps et phlébite du bras gauche avec probable AIT.
Du coup céphalées en permanence et perte de sensibilité joue droite.« 15 septembre 2021 »Bonjour je fais suite à mon expérience, 24 juillet première inj cominarty biontech fosun , ensuite l’horreur : vertiges, nausées, sensation de désorientation, malaises X3, beug, vision trouble, pb neurologiques,fourmillements bras jambes, douleur poitrine , tachycardie, paralysie faciale ponctuelle, paralysie bras et jambes ponctuelles, plaques rouges , gonflement, l’impression d’être empoisonné. Cauchemar… Idées noires.
Après 5 prises de sang, rdv neurologue, IRM cérébrale et médullaire , et ECG : multiples petit avc. Petits caillots sanguins, rien aux autres examens.
Les différents médecins que j’ai vu m’ont dit : on est débordé de gens avec des effets secondaires graves« 15 septembre 2021 »Mon gendre 31 ans,reçois sa 2eme dose de Moderna la semaine dernière. 2 jours après l’injection, il se sent fatigué, le lendemain n’étant vraiment pas bien, il décide de se rendre à l ‘hôpital, après bilan sanguin et electro cardiogramme, il le transfère au Chr service soins intensifs cardiologie, IRM verdict Myocardite. A l’ heure actuelle il est toujours hospitalisé, avec interdiction de se lever. Lui ont dit que la convalescence sera longue. Je précise qu ‘il était auparavant en pleine santé, ne fume pas ne boit pas.« 16 septembre 2021 »4 fois mes règles en 1 mois, fatigue extrême, tachycardie.
Maintenant à la selle du sang qui pisse.
Et pas d hémorroïdes pourtant.« 17 septembre 2021 »****** 29 ans, mon adjoint direct, pleine santé, péricardite 10 jours après sa 1 ère injection pfizer. Hosto et à la maison depuis 3 mois…« 17 septembre 2021 »J’ai 2 grandes filles de 24 et 22 ans, nous avons reçu le Pfizer. La première a des règles très abondantes depuis 4 semaines, elle est épuisée et anémiée. Pour ma part j’en suis à 3 semaines non-stop. Ma deuxième fille, c’est l’inverse, alors qu’elle est d’habitude très régulière.
Et toutes les 2 ont ressenti le jour des injections, des vertiges, des absences, et même un « trou noir » pour l’une.
Bien sûr ce n’est pas aussi dramatique que beaucoup de vos témoignages, mais ça nous interroge quand même… d’autant que nous l’avons fait « malgré nous »…« 18 septembre 2021 »Bonjour,
J’ai 43 ans. J’ai toujours été en bonne forme physique. J’ai toujours marchė beaucoup avec une bonne endurance. J’ai fait ma deuxième dose Pfizer le 12/7. Trois semaines après, j’ai commencé à avoir des douleurs articulaires sur toutes les articulations (chevilles, genoux, hanches, coudes, poignets, phalanges,…). J’ai aussi de fortes douleurs musculaires. Cela s’est empiré de semaine en semaine. Je suis allée voir mon médecin généraliste qui m’a fait deux prises de sang globales, mais aucune information utile n’en sort. Il a donc décidé de m’envoyer en médecine interne (RV fin octobre). En attendant, j’ai de plus en plus de crises. La douleur est toujours latente, mais l’intensité et les points de douleurs vont et viennent par vagues.« 19 septembre 2021 »Garçon de 16 ans pleine forme normale sans antécédents et sportif, reçu sa deuxième dose pf il y a 12 jours, 24h difficiles cloué au lit, respi/tête etc depuis fatigue et il s’est réveillé aujourd’hui saignement de nez, sang dans la bouche, ça ne lui est jamais arrivé, à l’hosto aucune recherche, aucun lien possible avec le vaccin ont-ils précisé car la maman leur a clairement demandé: c’est qu’ »il doit être enrhumé », ce qui n’est pas le cas.« 19 septembre 2021 »Depuis le 2 août, après 1ère injection, aussitôt joue à moitié paralysée , à suivre, tension à 20, démangeaisons et brûlures, traitement mis depuis, pas encore assez, toujours par moment tension 20, malgré traitement faut augmenter sans savoir pourquoi ni combien de temps ni pourquoi alors que j’en avais pas avant, démangeaisons pareil traitement 6 mois!! sans savoir quand ni comment ça finira, Et fatigue, vitamin D, descendu de moitié !! médecins font mine de pas entendre, déclarer Pharmacovigilance mais pas de réponse.« 20 septembre 2021 »Ma grand-mère de 87 ans a recommencé à avoir ses règles et plusieurs autres dans le centre de personnes âgées après 2e doses de vaxx …ce sont des hémorragies… je crois« 21 septembre 2021 »Bonjour ma fille de 22 ans c est faite vacciné pfizer le 20 août première injection deux jours après vomissement oedeme fasciale, palpitations … elle est en arrêt depuis car son cœur se met a palpiter sans raisons et d un coup il bat pas assez… urgence qui lui ont dit que c est le stress d avoir du se faire vacciné, mais qu’il faut consulter un cardiologue et ordonnance d un relaxant quelle ne prendra pas . Rdv cardiologue qui lui a dit c est normal vous faites pas de sport lol elle en faisait pas avant le vaccin et tous allez bien. Mais si dans 15 jours trois semaines ça va pas mieux revenez vers moi. Mon médecin traitant lui dit bien que ces des effets du vaccin car il en voit beaucoup avec les mm symptômes, heureusement pour d autres ca part sous 1 semaine à 15 jours. Donc pour le moment pas de deuxième injection …. en arrêt… je dois faire aussi le vaccin pour garder mon emploi je suis pas sereine du tout.« 22 septembre 2021 »La fille d’un ami d’enfance est décédée lundi d’une crise cardiaque, suite à son vaccin Pfizer. Elle avait 17 ans.« 22 septembre 2021 »Bonjour, je vous contacte car je suis assez désespérée par mon état de santé (même si j’ai vu qu’il y a pire et je pense bien à toutes ces personnes).
J’ai été vaccinée début juin + 2eme dose mi juillet.
Mes symptômes ont commencé 3 semaines après la 1ere injection : vertiges, épuisement, impression d’avoir un problème au cerveau : ça ne tourne pas rond, parfois melange de mots, perte de mémoire immédiate, tête brûlante, légère sensation de manquer d’air parfois…
Après de très nombreuses analyses de sang qui ne montrent pas grand chose à part une inflammation, j’ai vraiment l’impression d’avoir un problème au cerveau, peut-être inflammation ? Ou attaque par le vaccin comme avec le virus ?…?
Je ne vois pas d’amélioration en 3 mois, je ne suis plus capable de travailler, je crains que mon état ne s’améliore pas, d’autant plus que je ne sais pas comment me faire accompagner par un médecin ou un spécialiste qui comprenne le sujet.« 23 septembre 2021 »Bonjour à tous,
1er septembre 1er injection avec Moderna 5 jours après j’ai commencé à avoir mal au veine et mal au jambes. Je pars à l’hôpital qui me dit que je fais une thrombose de type 1. Je rentre chez moi et ma tête commence à être paralysé je n’arrive plus à marcher. L’hôpital me découvre un kyste au niveau du cerveau suite à ça mon cœur a commencé à faire des siennes j’ai un BPM de 31 qui va jusqu’à 208. Comme ça alors que je dors.« 23 septembre 2021 »Mon frère, le jour de ses 40 ans, injection Pfizer, le lendemain, il tombe au travail, crise d épilepsie. Hospitalisé 5 jours, les médecins ne comprennent pas. Pas d antécédents, rien. Il va certainement faire sa deuxième dose.
Mon ami, Alain, mort à 57 ans d unne crise cardiaque, injecté 2 fois.« 24 septembre 2021 »Bonjour,
Je témoigne concernant l’oncle de ma compagne. Diabétique et doublement « vacciné » Pfizer.
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