Charles-Victor Bailly renforce l’effectif à la gendarmerie
La gendarmerie de Plélan-le-Grand fait partie de la communauté de brigade de Montfort-sur-Meu. Six sous-officiers sont habituellement en poste. Mais avec les changements récents, seulement cinq sont présents, ponctuellement, en attendant la rentrée.
L’ensemble du territoire couvert par la communauté de brigade est composé de dix-huit communes, dont sept pour Plélan, 550 km2, deux routes à fort potentiel de circulation, la RN12 et plus près de Plélan, 22 km de RN24.
La présence des gendarmes rassure la population, pour laquelle elle assure protection des personnes et des biens. « En cette période estivale, confie l’adjudant-chef Névo, nous constatons encore des cambriolages, avec une délinquance itinérante. Nous aimons être au contact de la population. »
« Nos domaines d’investigation sont très variés, poursuit-il. De la prévention, avec les opérations tranquillité vacances et seniors ; sécurité routière ; protection des consommateurs en collaboration avec d’autres services de l’État ; sécurité civile, travail administratif. Très présente sur le territoire, la gendarmerie assure une permanence de tous les instants. »
Charles-Victor Bailly, gendarme-adjoint, fait partie des effectifs depuis le 17 juillet. Ce jeune volontaire de 19 ans a passé brillamment les tests à l’issue du stage de trois mois, effectué à Montluçon. Il a obtenu son affectation en Bretagne, près du pays vannetais qu’il aime rejoindre. « J’ai toujours voulu faire ce métier. Je suis à Plélan pour, au minimum, un an. Je dois bien prendre connaissance du territoire. J’ai le goût de l’effort, donc pas de problème d’intégration. »
Le contrat de gendarme auxiliaire peut durer cinq ans, sans avoir tout à fait les mêmes prérogatives que les sous-officiers, il remplit à leur côté de nombreuses missions. D’ailleurs, une seconde gendarme auxiliaire volontaire arrive prochainement. Cette expérience est un bon tremplin pour tenter l’entrée en école de sous-officiers et faire carrière dans la gendarmerie.
Source : Ouest-France
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