« C’est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur. »
Un petit garçon demande à son papa
« Pourquoi pleures-tu papa ? »
« Parce que je suis militaire, je pleure comme pleurent les gendarmes, les policiers ou les pompiers . »
« Je ne comprends pas.»
« Et jamais tu ne réussiras à comprendre si tu ne fais pas un de ces métiers. »
Plus tard le petit garçon demanda à sa mère
« Pourquoi papa pleure-t-il? Je ne comprends pas ! »
« Tous les militaires, les gendarmes, les policiers et les pompiers pleurent mais pas sans raison. » fût tout ce que sa mère pût lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
« Seigneur, pourquoi les militaires les gendarmes, les policiers et les pompiers pleurent-ils aussi facilement ? »
Et Dieu répondit :
« Quand j’ai fait les militaires, les gendarmes, les policiers et les pompiers, ils devaient être spéciaux.
J’ai fait leurs épaules assez fortes pour porter le poids du monde, et assez douces pour être confortables.
Je leur ai donné la force de sauver des vies et celle d’accepter la mort.
La force pour leur permettre de continuer quand tout le monde abandonne.
La force de prendre soin de leur prochain en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je leur ai donné la sensibilité pour aimer leur métier d’un amour inconditionnel, même quand ce dernier les a blessé durement.
Je leur ai donné la force de supporter le monde dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je leur ai donné des larmes à verser quand ils en ressentent le besoin.
Tu vois mon fils, la beauté d’un policier, d’un gendarme, d’un militaire ou d’un pompier, n’est pas dans sa tenue qu’il porte, ni dans son visage, ou dans sa façon de parler.
La beauté d’un militaire, d’un gendarme, d’un policier ou d’un pompier, réside dans ses yeux.
C’est la porte d’entrée de son cœur, la place où l’amour réside.
Et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur. »
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