Ces idées qu’il devient totalement interdit d’exprimer
Chère Madame, cher Monsieur,
Est-ce qu’il sera encore possible, demain, de critiquer l’immigration de masse, la théorie du genre et tous les dogmes de la bien-pensance qu’on veut absolument vous inculquer ?
Regardez comment a été traitée cette jeune femme qui a brandi, le 7 avril, en marge du carnaval de Besançon, une pancarte demandant l’expulsion des violeurs étrangers : il lui a été infligé 10 heures de garde-à-vue, la perquisition de son domicile, et la confiscation de son ordinateur dans l’attente d’un procès.
Tout ça pour une simple pancarte !
Une réaction folle, totalement disproportionnée, applaudie par des censeurs voulant sans doute vous cacher qu’à Paris, par exemple, 77 % des violeurs de rue interpellés en 2023 étaient étrangers, comme nous le faisions savoir dernièrement sur Boulevard Voltaire.
Si rien n’est fait pour stopper le rouleau compresseur de la bien-pensance, si nous n’agissons pas avec vous, il deviendra quasiment interdit d’exprimer la moindre indignation face à un tel scandale : signez notre MANIFESTE POUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION !
De même, il est déjà de plus en plus difficile et risqué d’émettre une réserve sur les dérives effarantes de l’idéologie transgenre, et les dommages irrémédiables qu’elle inflige même à des enfants.
Un exemple tout récent là aussi : le 16 avril, dès qu’elle a vu des affiches publicitaires signalant la parution d’un livre sur ces dérives, la mairie de Paris a tout mis en œuvre pour les interdire et les faire retirer aussi vite que possible.
Jour après jour, de nouvelles pressions s’exercent pour restreindre le champ des idées encore autorisées, et celui des informations qu’il est toujours possible de partager.
Et la censure resserre peu à peu son étau sur toutes les idées contraires à la bien-pensance.
C’est ce qui se dessine avec la nouvelle loi d’encadrement d’Internet (dite loi SREN) adoptée le 10 avril à l’Assemblée nationale.
En dehors de Boulevard Voltaire, peu de médias l’ont signalé : sous le prétexte, à première vue légitime, d’endiguer l' »outrage en ligne« , ce texte vise plus généralement toute publication créant vis-à-vis de quiconque « une situation intimidante, hostile ou offensante« .
Une formulation suffisamment floue pour donner de nouvelles munitions aux censeurs, qui tenteront par exemple, n’en doutons pas, de faire assimiler à une offense aux immigrés toute mention des statistiques sur le poids des étrangers parmi les délinquants.
Vous qui mesurez la gravité de toutes ces attaques sur la liberté d’expression, s’il vous plaît, réagissez, aidez Boulevard Voltaire à résister !
Comment préserver notre pays des méfaits d’une immigration incontrôlée, défendre sa culture, protéger nos enfants de l’activisme transgenre…
… s’il n’est même plus possible de critiquer les dogmes de la bien-pensance ?
Le Manifeste pour la liberté d’expression lancé par Boulevard Voltaire rassemble déjà plus de 200 000 signatures.
C’est déjà un nombre important, porteur d’espoir.
Mais ce n’est pas suffisant, étant donné la virulence et la répétition des attaques dirigées contre la liberté d’expression dans notre pays.
Avec votre aide, nous devons viser les 500 000 signatures pour envoyer un signal très fort au pays, en rejetant massivement la censure et son diktat bien-pensant.
C’est pourquoi nous vous le demandons :
• Signez dès à présent le Manifeste pour la liberté d’expression, si vous ne l’avez pas déjà fait.
• Et ensuite, transférez le message à vos amis, pour les alerter sur la situation et leur permettre de signer eux aussi.
L’action de chacun sera décisive pour défendre la liberté d’expression et conserver le droit de défendre la France que nous aimons.
Un grand merci pour votre engagement !
L’équipe de Boulevard Voltaire
Lire également :
- France TV Info – Besançon. La garde à vue d’une militante du collectif identitaire Némésis levée, son matériel informatique saisi
Laisser un commentaire