Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994

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Dans son livre Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’Humanité, Serge Monast écrivait notamment :

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Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait :

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant :

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances financières qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

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[…] “L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale”. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront cette condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs !

(Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 1980 à février 1994. C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années.

L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, — l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un Micro Chip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international.

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi

(Page 22 : )
cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux. Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts ) rembourser, les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU, à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera fini en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales ! L’objectif étant, bien sûr ! d’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement, les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIe siècle.

Source : Nouveau monde.ca

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