Brigade Animale Bénévole : Ils luttent contre la maltraitance animale et ont besoin d’aide

L’association la Brigade Animale Bénévole lutte contre la maltraitance faite aux animaux, sa particularité, elle dispose d’un collectif de policiers et gendarmes. Elle les invite d’ailleurs toujours à venir les rejoindre.

L’association aide les forces de l’ordre dans les procédures particulières lors de signalements, l’atout est que ses membres savent avant de déposer plainte s’il y a quelque chose à faire ou si l’infraction est insuffisamment caractérisée.

Les modérateurs montent eux-même leurs dossiers de maltraitance et une fois tous les éléments rassemblés ils prennent attache avec les forces de l’ordre du secteur pour qu’ils gèrent la procédure.

Des OPJ et APJ formés se tiennent bénévolement à disposition des membres de l’association pour répondre à toute question relative à la procédure.
C’est pourquoi l’association invite les gendarmes intéressés à leur envoyer un message, afin de savoir qui contacter si un cas de maltraitance est découvert sur la circonscription.

Il faut savoir que l’association a pas mal de référents en zone police, le territoire est donc couvert à 72%, contre 14% du territoire couvert en zone gendarmerie. Pour certains départements, elle n’a que très très peu de contacts. Pour d’autres départements, elle n’a AUCUN référent ( 05, 08, 09, 19, 36, 43, 52, 53, 55, 81 et 85 ).

Donc si vous êtes sensibles à la cause animale et que cela ne vous dérange pas de gérer des interventions ou procédures comme celles-là, ils seraient très heureux de vous compter parmi leurs membres (en fait : ils ont vraiment besoin de vous !!).

Voici le lien de la page si vous voulez plus d’infos sur l’association : https://www.facebook.com/4brigadeanimalebenevole/?ref=page_internal « .

Si vous êtes OK pour les aider ou si vous voulez plus de renseignements, contactez Cindy ( policière ) ou Mathilde ( gendarme adjointe ) sur ce compte dédié : https://www.facebook.com/cindy.bab.944
Ils ne vous remercieront jamais assez…

Source : Actu Pénitentiaire