BONNE RENTRÉE SANITAIRE : VERS UN MONDE D’APRÈS TOTALITAIRE

Le 12 juillet dernier, Emmanuel Macron annonçait l’extension du passe sanitaire, autrement dit une vaccination (presque obligatoire) pour celles et ceux qui souhaitent conserver un mode de vie normal.

Cette annonce présidentielle du début de l’été a fait l’effet d’un choc pour la partie (encore consciente) de la population, qui a vu ses doutes se transformer définitivement en réalité. En effet,  l’instauration d’un régime totalitaire ayant pour prétexte une fausse crise sanitaire, s’accélère de semaine en semaine depuis le mois de mars 2020.

Et désormais on peut le dire sans honte, ce ne sont pas les 114 000 morts officiels du Covid-19 (30 aout 2021) en déjà presque deux années, qui peuvent légitimer ce basculement dans cet autre paradigme.

Bien sûr, le Golem Macron dans un entretien au Financial Times avait déjà annoncé cette fameuse « Bête de l’Évènement », mais peu nombreux était ceux qui pensaient que la France allait basculer aussi vite dans ce régime de manipulations et d’hystérie sanitaire, prélude d’un cataclysme mondial.

Cette obligation du passe sanitaire (avant peut-être la future vaccination obligatoire), a d’ailleurs été validée sans suspens par le conseil constitutionnel du président Laurent Fabius (l’homme de l’affaire du sang contaminé) et élaborée en haut lieu avec la supervision du cabinet Mc Kinsey dont l’un des responsables n’est autre que Fabius fils (Victor et non Thomas, le joueur de Casino).

Pour celles et ceux qui croyaient encore aux institutions de la Ve République et en l’État de Droit, cela a au moins permis à certains de commencer à faire leur deuil.

L’État de Droit n’existe pas et l’illusion qui maintient certains avocats dans des recours en justices inutiles s’est fracassée à l’occasion de cet épisode d’extension du passe sanitaire.

En vérité, il n’y aura jamais de procès d’envergure, d’emprisonnements, de condamnations tant que les peuples n’auront pas repris le pouvoir par la force. Seules quelques maigres victoires symboliques devant les juridictions administratives entretiendront l’illusion que la victoire peut se faire par le droit. Ce qui dans l’Histoire, lors des périodes de grands troubles, n’a jamais été le cas.

D’ailleurs, si le rapport ne s’inverse pas d’ici peu, dans quelques petites semaines lorsque l’automne et l’hiver vont progressivement s’approcher de nous et que les lits d’hôpitaux vont à nouveau naturellement manquer, non pas à cause du Covid, mais en raison des politiques absurdes de suppression et de destruction des services publics (notamment le service public hospitalier en continu depuis plus de 15 ans), ce débat sur la vaccination obligatoire reviendra alors sur la table, à l’heure où ces mêmes hôpitaux, Ehpad et cliniques embauchent des vigiles plutôt que des infirmières, aides soignantes, et médecins, pour contrôler ce fameux passe…

Ainsi, les crispations, divisions, manipulations, vont s’exacerber et reviendront plus forts avec ce débat crucial de la vaccination obligatoire (en vérité du contrôle social permanent et de la mise à mort de certains) dont les enjeux dépassent la simple politique politicienne.

Oui, le projet de vacciner toute la population existe et l’inefficacité des pseudos vaccins ARNm ne sera pas totalement proclamée avant que les peuples y soient tous passés.

Non, plus rien ne sera comme avant

Car comme dans un mauvais film, qui essaie de maintenir le suspens pour cacher la piètre qualité du scénario, le jeu des acteurs, et la mauvaise mise en scène, et n’en déplaise aux vaccinés militants, le Monde d’Avant ne reviendra jamais.

Et cela malgré les déclarations du président du conseil d’administration de la fondation Rothschild, le professeur d’immunologie et coordonnateur la stratégie vaccinale de l’État contre la pandémie de Covid-19 en France Alain Fisher, une ère nouvelle a bel et bien été inaugurée en 2020 et par de multiples facteurs, comme nous l’avons déjà indiqué sur Géopolitique Profonde, le Monde d’Après, annoncé par Macron est déjà là.

Au-delà du masque, du passe et de la folle couverture médiatique du virus, d’un point de vue économique il s’est véritablement passé quelque chose ces derniers mois. En effet, l’économie mondiale est totalement sous contrôle grâce notamment au politique de soutien et à l’action des banques centrales. Elle est désormais prête pour une démolition en profondeur et en règle. Et cela même si l’illusion financière de la dette exponentielle et perpétuelle entretient encore « miraculeusement » et honteusement le statu quo pour le grand public.

Ce « miracle alchimique » de la dette abyssale (politiques d’assouplissements quantitatifs) et des taux d’intérêt bas (voire négatifs avec l’inflation) permet également aux grands groupes financiers internationaux de concentrer toujours un peu plus les richesses dans leurs mains et d’asseoir leurs pouvoirs.

Les Vanguard Group, BlackRock et cie, en profitent pour racheter les richesses importantes dans le « Monde de Demain de la surveillance généralisée ». La monopolisation totalitaire de quelques uns au détriment de la majorité est en marche.

D’un point de vue global néanmoins, il est vrai que la réalité économique pointe quand même, doucement mais surement, le bout de son nez.

Et l’un des signes de ce « vent nouveau » peut être illustré par les spectaculaires hausses de l’inflation constatées depuis la fin du premier trimestre 2021. Cette inflation camouflée, malgré les premières déclarations « rassurantes » des responsables des grandes banques centrales, s’accélère et ce phénomène ne fait à coup sûr que commencer.

Évidemment, l’inflation va servir à détruire les grandes monnaies fiats (dollar, euro, …) que nous connaissons actuellement pour enfin abolir (entre autres) l’argent liquide et donc le peu de liberté financière qui reste aux peuples.

Mais le spectaculaire retour de l’inflation signifie surtout que l’on s’approche de la fin du film…

Nous l’avons déjà dit, après le vaccin, les monnaies fiat sont ainsi amenées à disparaitre dans un grand éclat dans quelques mois seulement, pour laisser la place à leurs « petites sœurs » (CBDC/ Monnaies Numériques de Banques Centrales) évidemment, elles aussi, toujours dans les mains des grands financiers internationaux.

La déclaration de Lagarde du 5 septembre appelant « à vacciner tout le monde », conforte cette analyse…

Le crypto-euro, yuan, dollar (ou les autres noms des monnaies numériques qui prendront leur place) seront de toute façon plus en adéquation avec le monde numérique et « écologique » que l’establishment transnational nous prépare.

Évidemment comme pour le vaccin et le passe sanitaire qui ont été élaborés « pour notre bien » l’ensemble de ces outils numériques à venir  (en l’occurrence ici les CBDC) vont avoir pour effet notamment de solutionner le problème monstrueux de l’inflation qui commence déjà à dévorer les « richesses ».

La hausse (post Covid-19) des matières premières et de l’énergie en particulier, couplée à la folie financière autour des actifs phares que sont les actions et l’immobilier, ne sont que les conséquences de cette folle musique de planche à billets illimitée, et elle ne va pas tarder à s’arrêter, malgré les records battus de semaine en semaine, alors que l’économie mondiale et en particulier l’économie occidentale sont amorphes.

Les banques centrales pourraient même déclencher ce mouvement en organisant une contraction de la masse monétaire mondiale. Les marchés financiers le savent et ils suivent le moindre petit mouvement de la Réserve Fédérale américaine (chef d’orchestre de l’économie mondiale).

Pour certains le vaccin et pour d’autres la faim

De toute façon, les chantres du Great Reset ont enclenché une vitesse supérieure dans la phase de décroissance que nous connaissons en Occident depuis 2008. L’objectif à long terme est de continuer à saigner les peuples, mais de passer néanmoins à une autre dimension dans la mise en servitude et de liquidation des nations.

Les saignées ont désormais étaient remplacées par les injections, mais la logique reste la même. Ainsi la question de la vaccination est en train de devenir la question centrale dans nos sociétés orwelliennes. C’est quoiqu’il advienne dans le futur (effets indésirables, décès ou non), l’outil principal de domestication des peuples.

Panacée, soulagement, pour les uns, consternation, frustration et sidération pour d’autres, le vaccin (davantage que le virus) joue un rôle psychologique fondamental pour l’establishment.

Comme l’illustrent les déclarations du porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, et contrairement à ce qu’avait affirmé le Président lors de la fin de l’année 2020 : la France (l’exécutif) n’exclut rien… Et si l’on est logique, la vaccination des enfants amenant à la vaccination pour tous, nous allons donc forcément tous y avoir droit.

Et la Blockchain dont on a parlé plus haut avec les cryptomonnaies va également servir à enchainer l’humanité et à la transfigurer (fusion des identités biologiques et numériques) dans ce processus de domestication.

Un énième saut qualitatif pourrait être franchi avec cette histoire de vaccination obligatoire. Et il est clair que le contrôle social total des populations (du bétail humain) est au programme, comme le prouve le document de l’Organisation Mondiale de la Santé établissant un certificat de vaccination numérique basé sur la technologie blockchain.

Cette initiative financées par les célèbres philanthropes Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Rockefeller, pourraient être l’une des principales conclusions de la crise covidienne.

Évidemment certains brillants esprits, anti-complotistes et pro-passe militants nous posent cette question très juste : si le « vaccin » sert à dépeupler en quantité le Monde, quid de l’Afrique et de l’Asie ?

Car pour l’instant, il est vrai, on ne peut pas dire que la couverture vaccinale dans les deux continents les plus peuplés du globe soit à son plus haut.

Et bien, a priori, pour nos amis africains et asiatiques qui sont quand même bien plus nombreux que nous Européens (et même occidentaux), la solution choisie par l’oligarchie financière internationale semble encore bien plus drastique pour éliminer des portions importantes de la population mondiale : à savoir la faim.

Cyber attaques et rupture des chaînes d’approvisionnement

Ainsi, la nouvelle transmutation du monde de demain, après les effets du virus-vaccin sur les sociétés industrialisées, pourrait bien se faire autour d’éléments tangibles et concrets à  savoir : les matières premières ultimes, c’est-à-dire la nourriture et l’énergie !

Et vous l’imaginez, un continent comme l’Afrique, dont une grande partie de la population survie grâce aux multiples importations de denrées alimentaires, ne supporterait pas un « black-out » même temporaire et une rupture importante des flux.

Bien sûr, nous aussi en Europe, après le « vaccin », nous aurons peut-être le droit de goûter aux pénuries alimentaires et aux émeutes, mais sur certains continents l’impact sera réellement dévastateur.

À l’heure ou partout dans le monde, nos villes, nos systèmes de santé, d’informations, financiers/paiement, etc. sont tous les jours un peu plus dépendants de l’électricité et d’internet, une panne totale serait terrible. Mais malheureusement, « débrancher la prise » pourrait être la solution parfaite pour réinitialiser notre monde. Et ce Grand Reset via les infrastructures qui devrait se faire d’ici peu, s’organisera autour de trois concepts bien connus de l’histoire de l’humanité : la pénurie, la famine et la misère.

En effet, comme je l’ai déjà exposé, l’oligarchie qui nous dirige n’hésitera certainement pas à provoquer des famines pour parvenir à remodeler ce nouveau monde. Et il ne serait pas étonnant qu’en cette année 2021, nous soyons devant un changement de paradigme semblable et même plus important que celui qui s’est opéré au cours de l’année 1914 (massacre industriel de la population européenne).

Il n’est pas du tout impossible qu’après avoir terrorisé les populations avec un inoffensif virus et une vaccination forcée, les peuples (ce qui en restera) se réveillent un jour avec le triptyque apocalyptique qu’attendent certains pour nous faire vivre dans leur nouveau monde (guerres, misères, servitudes) pour nous imposer un monde de contrôle et de surveillance totale.

La simulation d’une Cyber attaque massive (Cyber Polygon) qui s’est déroulée une nouvelle fois le 9 juillet dernier et qui vise à mesurer les conséquences de celle-ci sur les chaînes d’approvisionnement mondiale, n’est pas anodine. Cet évènement qui ressemble étrangement à l’Event 201 (automne 2019) organisé par le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, était un exercice du même ordre qui visait à simuler une pandémie mondiale tuant des millions de personnes et entrainant la fermeture de la plupart des économies dans le monde.

À la lecture du livre de Klaus Schwab (The Great Reset), il n’est tout de même pas idiot de penser que ce genre de coïncidence pourrait encore une fois se répéter dans les mois à venir. Schwab nous l’a déjà indiqué : la prochaine catastrophe qui guette l’humanité sera une  « cyber pandémie » dont l’ampleur destructrice serait bien pire que celle du gentil SARS-COV-2.

D’ailleurs, des « incidents » nous préparent mentalement à cette éventualité : l’attaque du Colonial Pipeline aux États-Unis, en juin le bug de la société Fastly qui a entraîné la fermeture de grandes parties du web, notamment un certain nombre de sites d’information grand public, Amazon, eBay, Twitch, Reddit ou encore des sites étatiques (notamment celui des demandes de visa en France).

Imaginez quelques instants une Cyberattaque mondiale capable de mettre à mal les fondations structurantes de l’internet. Imaginez un monde sans internet pendant quelques semaines, mois, etc…

Nos économies déjà en fin de vie, ne supporteraient pas cette privation d’oxygène et des milliers de secteurs seraient impactés, voire détruits : transports, communication, système bancaire, service public d’eaux et d’électricité…

Depuis quelques mois, dans les milieux de la véritable information, cette éventualité est explicitement débattue. D’ailleurs quand on s’intéresse sérieusement à la question des infrastructures, il apparaît clairement que nos politiques (comme pour notre industrie) ont pour projet de liquider les secteurs de l’énergie en France (nucléaire, électricité, gaz, filière bois), mais aussi la gestion de l’eau potable.

Nous allons donc très certainement enfin assister à cet effondrement économique mondial presque immédiat, que beaucoup prédisent depuis tant d’années.

Mais contrairement à ce que nous pensions pour la plupart, cet effondrement ne viendra pas de la prise des consciences des peuples et de l’écroulement du système financier mondial alchimique (faillite totale à cause de la dette mondiale).

Non, cet effondrement va être concrètement provoqué, accompagné et contrôlé de A à Z. La cause sera évidemment fausse (attaques de pirates numériques) et nos maîtres (banquiers et les grands détenteurs de capitaux) ne pourront, en plus, pas être accusés, à l’inverse de la crise des Subprimes de 2007-2008.

Cette fois, comme avec le virus invisible, les terribles et obscures hackeurs russes, chinois, iraniens ou encore les brouteurs d’Abidjan seront responsables des malheurs de notre monde.

Évidemment les monnaies numériques de banques centrales (CBDC) et la blockchain (technologies réputées fiables) viendront ensuite nous sauver et serviront de socle au « Monde d’Après » réputé infaillible.

Le crime sera donc PARFAIT !

D’ailleurs de manière similaire à la fausse pandémie du coronavirus, qui a servi à aggraver la situation des économies et la santé mentale des populations (confinement, couvre-feu, domestication, ennemi invisible, culpabilisation, etc…), cette cyber pandémie programmée va aussi permettre de mettre un terme à l’internet libre, c’est-à-dire à la transmission de l’information et du savoir non hiérarchisé, comme l’a si bien dit l’oracle Jacques Attali :

« L’Internet représente une menace pour ceux qui savent et qui décident. Parce qu’il donne accès au savoir autrement que par le cursus hiérarchique« .

Rajoutons à cela un discours écologique hystérique à la Greta Thunberg qui nous répétera que le monde s’écroule à cause du comportement des peuples surconsommateurs (et pas du capitalisme financier nomade et apatride) et la culpabilisation fera le reste…

11 Septembre : peur et manipulations, il est temps de passer à l’action

Mais ne nous résignons pas tout de suite ! Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.

Et le plan au lieu de s’accomplir, pourrait tout aussi bien échouer. Car le réveil au sein des populations a déjà eu lieu.

Partout la révolte gronde et couve , en Italie, en Australie, etc. La minorité n’est certes pas la majorité, et les marches pacifiques ne sont pas des révoltes et énervements légitimes. Mais le temps fait son travail et la question des enfants qui arrive risque de réveiller certains instincts de bon sens…

Cependant, pour mettre un terme à cette folie collective, il va nous falloir agir justement collectivement. Et à l’heure des réseaux (a)sociaux et de l’inaction provoquée par ce monde parallèle (de l’isolement) qui nous fait croire que nous agissons en likant, tweetant, postant dans notre coin…, il est temps de véritablement descendre « marcher » dans les rues, de constituer des réseaux (du genre RéinfoCovid) et de montrer notre opposition concrètement.

L’éternel retour au concret (par l’intermédiaire de centaine de milliers/millions de gens énervés dans la capitale ou une grève générale/semaine de blocage, etc.) pourrait mettre fin à ce silence assourdissant et aller un peu plus loin que les gesticulations sympathiques du samedi contre le passe sanitaire (utiles médiatiquement mais peu efficaces politiquement).

Bien sûr pour l’instant, c’est la seule chose que nous avons, et c’est déjà pas si mal, mais il nous faudra forcément aller bien plus loin. Notre histoire nous le démontre, une seule journée peut parvenir à tout changer, surtout si les cibles attaquées sont justes et si l’on se pose les bonnes questions…

Pour éviter l’ultime catastrophe (la chute finale de notre nation et la fin de nos libertés), nous devons impérativement parvenir à entendre Cassandre avant qu’il ne soit trop tard…

Le 11 septembre 2021, pourrait être un jour de libération.  À l’heure où la nébuleuse terroriste réapparait comme à chaque automne, ce jour d’anniversaire symbolique de l’avancement du Nouvel Ordre Mondial par la peur, pourrait être l’occasion pour le peuple d’enfin faire en sorte que cette « peur » change définitivement de camp…

Marc Gabriel Draghi

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Source : Géopolitique-profonde

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