Balance bénéfice-risque. Deux cas concrets.
Introduction
Chers lecteurs, sachez que je ne cherche pas à vous faire peur, mais simplement à vous préparer. C’est en connaissant les choses que vous pourrez mieux les gérer. Est-ce du pessimiste ? Non, simplement un travail de lanceur d’alerte réaliste. Depuis 2012 sur ce blog, j’ai pour ambition de vous aider à éveiller votre pleine conscience des choses, avec amour et bienveillance.
Ne croyez personne sur une simple déclaration ou un écrit, les miens y compris. VÉ RI FIEZ. Soyez curieux, doutez, lisez les positions contraires afin d’avoir un avis largement éclairé. Vous pourrez alors agir au mieux sur votre patrimoine, avant tout humain, mais aussi matériel.
Ce blog traitant l’écume des choses, si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour traverser avec profit la période compliquée actuelle, ce sera votre manière de m’aider très concrètement, à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.
Sujet du jour : Le courage de dénoncer une situation illégale.
Dans la série « Mathématique pour les nuls », nous allons aujourd’hui aborder la balance-bénéfice/risque. Pour le ministère des Solidarités et de la Santé, la définition de la cette balance est lapidaire :
« Évaluation des effets bénéfiques thérapeutiques en comparaison aux risques liés à la sécurité d’emploi d’un médicament (mesurés pour un utilisateur donné ou estimés pour une population) ».
L’encyclopédie du vocabulaire de la médecine est plus loquace. Elle développe dans ce cadre, les notions d’information, de consentement et de principe de précaution, rappelant qu’il est inscrit dans le préambule de notre constitution.
Le docteur Toby ROGERS, qui n’est pas n’importe qui, avait déjà en octobre dernier, rédigé un article titré :
« Par où commencer avec l’analyse risque-bénéfice grotesque de la FDA concernant le « vaccin » à ARNm COVID-19 de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans ? ».
En novembre, il récidive : « On tue 117 enfants à cause du vaccin pour sauver un enfant du coronavirus. Ce n’est pas une surprise pour moi ».
Les résultats de « l’ami Toby » sont cohérents avec la littérature scientifique évaluée par ses pairs. Plus de 22 000 personnes ont lu son travail et personne n’a proposé une meilleure analyse ou détecté une erreur. Il n’y a eu que des compliments sur la qualité de son travail. En particulier, aucune personne du Center for Disease Control (CDC) ou de la Food and Drug Administration (FDA) n’a signalé d’erreur.
Comme à leur habitude, nos psychopathes de dirigeants naviguent en eaux troubles entre le principe de précaution et la balance bénéfice-risque. Ils nous annoncent, sans rire (un psychopathe ne sait pas rire) :
« La vaccination générale des enfants de 5 à 11 ans n’est pas obligatoire. Elle doit se faire de façon volontaire et ne pas conditionner l’obtention d’un « pass sanitaire ».
En Espagne, devant le même phénomène d’inoculation des enfants… Sonia VESCOVACCI, officier de police, mère de deux enfants, fondatrice de l’association « Policiers pour la liberté » que les abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert » connaissent déjà… fait interrompre « une vaccination non obligatoire » que se préparait à réaliser le directeur d’un collège local.
« L’amie Sonia » demande l’aide d’une patrouille de la Guardia civil (équivalent de notre gendarmerie) et porte plainte contre le directeur et le personnel médical de l’école.
Voici la vidéo originale de son intervention et ici la vidéo traduite en français pour les non hispanophones. Merci qui ?
Ce document exceptionnel est le seul billet de cette semaine. En effet, je vous prépare quelques belles surprises… que vous découvrirez, dès lundi prochain, 3 janvier 2022.
Chers lecteurs, passez un festif réveillon du Nouvel An. Je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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