Au pilori ! L’abbé Pierre trahi par les siens !

18 juillet 2024 Jacques Martinez Manipulations médiatiques

Allez, c’est parti ! Voilà que l’on s’attaque à une figure iconique de la bienfaisance du monde catholique français ! Figure s’étant fait connaître de toute la planète durant l’hiver 1954 après la mort d’un enfant dans le froid à Paris et son intervention sur Radio-Luxembourg, à savoir le très célèbre abbé Pierre (1912-2007) ! Et qui crient à l’hallali ? Naturellement avant tout des… cathos !!!

Et les premiers sont mes confrères journalistes de La Croix qui, sans hésitation, y ont cloué l’abbé Pierre ! Cela sur une simple information fournie par les responsables d’Emmaüs et de la Fondation Abbé Pierre eux-mêmes informés par une personne bien connue du monde féministe Caroline de Haas ! On n’est trahi que par les siens !!!

La Croix reprend sans hésitation et comme une vérité incontestable des accusations contre l’abbé Pierre, celui qui incarne la figure du bienveillant soldat du Christ auprès des plus pauvres d’entre nous ! Et cela sans émettre le moindre doute sur les quelques témoignages qu’a recueillis en un dossier une personne dont ils auraient dû se montrer interrogatif puisqu’il s’agit donc de la féministe bien connue Caroline de Haas !

Voilà donc que l’abbé Pierre est accusé…
-et donc coupable, dans l’esprit de « féministes » telle que la « vaillante » militante Caroline de Haas qui a permis à ce prétendu rapport d’être établi pour deux associations devant pourtant tout à celui qu’elles clouent non sur une croix mais au pilori, cette roue sur un poteau où était exposé à la vindicte populaire le condamné !
Si ce Pierre n’avait pas été catho mais bouddhiste, juif, ou musulman et surtout, si au lieu de Pierre, cela avait été une Pierrette, Mme de Haas n’aurait même pas passé voire perdu 2 minutes à écouter l’accusatrice ou l’accusateur… Cela ne l’aurait pas intéressé mais, là, une icône catho, même sans aucune preuve, une petite accusation suffit à détruire toute la vie d’un homme qui a apporté plus, beaucoup plus, énormément plus à la France voire à l’humanité que Mme de Haas et son esprit de nuisance à notre France. 
Oui, là, sur de simples accusations mineures…
-mais relevant, si du moins elles ont bien eu lieu, de la qualification de « viol » puisqu’il s’agit d’un, pas de deux ou de trois, d’un seul prétendu… baiser intrusif !-

…sur le simple dossier établi par la féministe -naturellement parfaitement impartiale !-, des cathos dépositaires du renom de l’abbé Pierre, ont enrobé sans aucune retenue, du vêtement de l’infamie, le souvenir de toute l’action bénéfique que l’Abbé Pierre a apportée durant toute sa vie aux plus pauvres d’entre nous !
En particulier depuis sa célèbre intervention, suite à la mort d’un bébé durant l’hiver de 1954, intervention sur les ondes de Radio-Luxembourg…

-station devenue RTL en 1967, coïncidence année de mon arrivée dans cette station de radio-


…Son association Emmaüs connaît dès lors un engouement d’une importance jamais vue à travers le monde !
Regardez les 6 minutes de cette vidéo qui résume ce qu’a été la vie de bonté de l’abbé Pierre :

Ce qui me fait sortir de mes gonds dans cette affaire, c’est que ceux qui devraient défendre sa mémoire tant à Emmaüs qu’à la Fondation Abbé Pierre en passant par La Croix, c’est qu’ils n’émettent aucun soupçon sur les dires de femmes qui se souviennent 50 ans après de certaines paroles ou gestes qu’aurait fait à leur adresse l’abbé Pierre. Et la plus grave des accusations est émise par une femme, alors qu’elle était ado dans les années 70, l’abbé l’a embrassée sur la bouche « en y mettant la langue » !!!

Que ce soit la vérité ou non, ce que je n’admets pas c’est que parce que l’abbé Pierre était catholique, blanc, de plus de 50 ans, d’autres cathos, se sentant une fibre de gauche et donc estimant que la parole -même à retardement d’un demi siècle !- d’une femme soit prise comme la « vérité pure et sans aucun doute » !

Ces prétendument catholiques ne peuvent penser que cette femme s’est peut-être trompée et que celui qui l’a embrassée, dans la pénombre, n’était peut-être pas l’abbé Pierre. Non, puisque cette personne le dit 50 ans après, c’est qu’elle a raison !

Encore une fois, cette femme est peut-être persuadée qu’ado, elle a vécu ce « viol »…

-viol en terme juridique puisque toute introduction dans le corps d’autrui de n’importe quelle partie du corps ou d’un objet sans consentement de la personne est un viol : une langue dans la bouche en est donc un.
 Sauf que là, cela remonte à 50 ans et que le prétendu coupable est décédé il y a… 17 ans ! Sans laisser de traces de ce supposé baiser…


Les autres accusations portent sur des paroles ou des caresses éphémères, de passages !
Et les cathos de gauche, ceux qui pensent que toute information qui va contre le monde catholique -leur monde !- doit être prise comme argent comptant, ne doit surtout pas être mise en doute. Et qu’il faut donc tout faire même si cela abaisse leur monde !

Le fait qu’ils donnent eux-mêmes l’info sans émettre le moindre doute alors que cette info salit, sans aucune certitude qu’elle soit vraie, la mémoire de celui ayant permis que, par Emmaüs et la Fondation portant son nom, des millions de gens parmi les plus miséreux d’entre nous aient une vie un peu moins misérable ! Mais également leurs vies à eux, qui travaillent dans ces deux organismes !
En rendant public sans aucune retenue de leur part, que risquent-t-ils ? Tout simplement de voir les dons versés par nombre de Français se tarir… Leur « honorable » révélation en l’absence de l’accusé risque fort de coûter cher à nombre de familles dans le besoin et de faire perdre de nombreux emplois dans les relais Emmaüs…

Mais ces irresponsables croiront qu’ils ne pouvaient mettre en doute la parole d’une femme prétendant que l’abbé Pierre un soir l’a embrassée un soir et lui a… etc… etc… !

Et toute la vie et la réputation mondiale de l’abbé Pierre seront réduites à néant…
Mais la militante Caroline de Haas aura la conscience pure d’avoir aidé cette femme à révéler ce souvenir qui lui reste d’un « baiser volé ». Baiser qui, s’il s’est réellement passé, ne peut être confirmé par aucun témoin, ni aucune preuve (même pas un écrit qu’aurait pu laisser par la suite l’abbé Pierre).


Et sur de tels dires…
-dont cette femme est certainement persuadée que cela s’est effectivement passé tel jour, à telle heure et à tel endroit-

…oui, sur les simples dires d’une seule personne, Mme de! Haas a rédigé un rapport qu’ont avalé sans aucune retenue, ni restriction, les (ir)responsables des associations étant là, pourtant, pour perpétuer le souvenir de bonté de l’Abbé Pierre ! On n’est jamais trahi que par les siens ! Comme ils le pensent, Dieu reconnaîtra les siens 

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

Source : Résistance Républicaine

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

Merci à Jacques MARTINEZ, Journaliste, de remettre l’Église au centre du village par son article ci-dessus et Haro aux prétendus « journaleux » qui sans scrupule ont étalé cette rumeur dans toute la presse mainstream.

Honte à eux de s’attaquer à un homme décédé depuis 2007 qui ne pourra jamais se défendre de telles ignominies.

Mais voyons déjà qui est cette femme, pour ne pas dire cette S…..e, qui aura attendu plus de 20 ans pour salir la mémoire de ce Saint Homme :

En savoir davantage sur Caroline de HAAS : Wikipédia

Au vu de cet extrait de la fiche Wikipédia, Caroline de HAAS n’en est pas à son coup d’essai…

Chez l’hebdomadaire Télérama, l’« enquête » menée par Egaé aboutit au licenciement d’un journaliste, accusé dans leur rapport de harcèlement sexuel ; cependant une véritable enquête de justice, menée par le conseil des prud’hommes de Paris, a abouti à la réintégration du journaliste et à la condamnation de l’hebdomadaire pour licenciement abusif68. Des faits similaires se sont déroulés dans plusieurs autres institutions, notamment le Conservatoire national de musique et de danse de Paris68.

Elle semble au contraire être une habituée de ce genre d’accusation :

Début 2022, elle vend ses services au Conseil d’État pour la formation de ses cadres à l’égalité hommes-femmes, Conseil d’État qui est par ailleurs l’autorité de tutelle du tribunal administratif chargé de juger Egaé pour « manque d’impartialité » dans plusieurs de ses « enquêtes » ayant mené à des licenciements abusifs de boucs émissaires dans des entreprises ayant fait appel à ses services68.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *