Attentat incendie Notre-Dame
Février 2018, un an avant l’incendie : la société AUBRIAT répand un gel sur toute la charpente. Le gel qui a été utilisé contenait nécessairement un accélérateur thermite 7. La fumée épaisse jaune et la rapidité de propagation (2h) sont deux preuves absolument irréfutables d’un accélérateur.
Stupéfaction et absurdité: aucun traitement antifongique est nécessaire sur des poutres en chêne qui ont plusieurs siècles!
Mode opératoire:
1. Mandater une société qui n’a aucune expérience dans le traitement de poutres sur des monuments
historiques et inventer la présence de champignons type mérule
2.Mandater une société qui est affamée, manipulable au niveau de la technique et du protocole
3. Payer cette entreprise généreusement pour qu’elle fasse ce qu’on lui dit de faire sans poser de questions
4. Lui fournir un produit, une formulation différente de ce que la société Aubriat pense utiliser
5. Complicités dans le service de sécurité de Notre-Dame, aux monuments historiques et totale implication au plus haut niveau de l’Etat avec les services de renseignements.
« Après analyse, nous avons pu écarter le risque de mérule », note le chef d’entreprise Édouard Aubriat. Qui a toutefois été sollicité par le conservateur des monuments historiques de l’édifice et son architecte spécifique, pour assurer son traitement. Un travail délicat en raison de sa composition. « Le chêne qui compose généralement les toitures est un bois dur. Il empêche d’utiliser le traitement par infiltration », note l’entrepreneur. Qui a dû opter pour un traitement par pulvérisation d’un gel…
300 m2 de charpente
« Il a fallu faire quelques essais avec différents produits pour ne pas nuire au site classé et au public nombreux qui le fréquente », explique Édouard Aubriat
Conclusion: Une première plainte pénale s’impose contre le conservateur de Notre-Dame, son architecte et remonter vers les commanditaires.
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https://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2019/01/29/la-societe-aubriat-d-epinal-au-chevet-de-notre-dame-de-paris
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La société Aubriat d’Épinal au chevet de Notre-Dame de Paris
L’entreprise Aubriat a accumulé cette année des chantiers d’exception. Dont le traitement antifongique de la charpente de la mythique cathédrale Notre-Dame de Paris. Une belle carte de visite pour la société spinalienne.
Sabine LESUR – 29 janv. 2019 à 05:07
Ce chantier d’exception de deux semaines a permis à la société spinalienne de traiter les champignons apparus sur la charpente de Notre-Dame de Paris, monument emblématique. Photo Matthieu AVEAUX
Les années 2018 et 2019 risquent fort d’être marquées d’une pierre blanche pour la société spinalienne Aubriat. Cette petite entreprise familiale de traitement de charpente, connue pour ses traitements contre la mérule (surnommé « champignon des maisons »), a assuré l’hiver dernier, un très beau chantier. Elle a été contactée pour effectuer un traitement antifongique sur la charpente de la mythique cathédrale Notre-Dame de Paris, dont la construction a débuté en 1163 et s’est achevée en 1345. L’un des monuments les plus emblématiques de la capitale a révélé la présence de champignons sur sa charpente après des travaux effectués par un entrepreneur verdunois sur sa toiture de plomb. « Après analyse, nous avons pu écarter le risque de mérule », note le chef d’entreprise Édouard Aubriat. Qui a toutefois été sollicité par le conservateur des monuments historiques de l’édifice et son architecte spécifique, pour assurer son traitement. Un travail délicat en raison de sa composition. « Le chêne qui compose généralement les toitures est un bois dur. Il empêche d’utiliser le traitement par infiltration », note l’entrepreneur. Qui a dû opter pour un traitement par pulvérisation d’un gel qui a coûté au total 15 000 €.
300 m² de charpente
« Il a fallu faire quelques essais avec différents produits pour ne pas nuire au site classé et au public nombreux qui le fréquente », explique Édouard Aubriat, encore sous le charme de l’édifice. « J’ai toujours dit que je n’irais pas travailler à Paris… sauf pour Notre-Dame. » Bingo, le jeune dirigeant, membre du club vosgien du même nom, a remporté le chantier. Où il a œuvré avec trois employés en février 2018 pendant deux semaines. « Ce chantier était en soi intéressant. Mais ce qui est le plus important, c’est le sentiment de participer à la préservation du patrimoine français. Et puis s’y promener librement, en avoir les clefs, j’avoue que je me suis pris un temps pour Quasimodo », s’amuse le Spinalien, en référence au chef-d’œuvre de Victor Hugo. L’homme n’a pas dévoilé s’il a pu croiser la belle Esmeralda…
La flèche de 125 m de haut
Mais il espère renouveler cette fabuleuse collaboration, puisqu’un devis est en cours pour le traitement de la flèche de l’édifice, star de l’île Saint-Louis, qui draine chaque année des millions de visiteurs du monde entier. Et possède même un gardien dédié pour surveiller tout feu qui se déclarerait dans ses combles. Cette même flèche que l’on aperçoit au centre du transept entre les deux tours et qui mesure 125 mètres de haut. Elle cache sous ses habits de zinc, du bois à préserver également. Un nouveau défi pour l’entreprise Aubriat, qui ne recule devant rien pour l’amour et la sauvegarde des monuments historiques !
J’ai toujours dit que je n’irais pas travailler à Paris… sauf pour Notre-Dame.
Édouard Aubriat
Source : Vosges matin
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