Vous êtes ici: Accueil › Faits divers › Attentat de la gendarmerie d’Ajaccio, le militant nationaliste Franck Paoli arrêté ← Disparition de Maëlys : le suspect filmé en train de nettoyer sa voiture à une station de lavage pendant 1h30 Pas de lit de camp à Saint-Martin pour Macron, mais un vrai matelas à la gendarmerie → Attentat de la gendarmerie d’Ajaccio, le militant nationaliste Franck Paoli arrêté Vue(s) : 697 Le 5 décembre 2013, deux des plus importantes casernes de gendarmerie de Corse ont été attaquées à la roquette à Ajaccio (photo) et Bastia, sans faire de blessés. / © PASCAL POCHARD CASABIANCA / AFP Recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé en décembre 2013 la caserne de gendarmerie Battesti à Ajaccio, le militant nationaliste Franck Paoli a été interpellé mardi par la police judiciaire. Franck Paoli, qui a toujours nié les faits qui lui sont reprochés, pourrait être rapidement transféré à Paris pour être présenté au juge d’instruction du parquet anti-terroriste en charge de ce dossier.Un rassemblement de soutien a été organisé par l’Associu Sulidarità devant le commissariat d’Ajaccio. En fuite depuis 2014, le militant nationaliste était recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé en 2013 la caserne de gendarmerie Battesti à Ajaccio, siège de la région de gendarmerie en Corse. Dans cette affaire, un autre militant nationaliste, Antoine Pesse, a été mis en examen en octobre 2015, pour acquisition, détention d’armes, détention d’un dépôt d’armes en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste, destruction et dégradation en relation avec une entreprise terroriste. Le 5 décembre 2013, deux des plus importantes casernes de gendarmerie de Corse avaient été attaquées à la roquette à Ajaccio et Bastia, sans faire de blessés. A Ajaccio, la roquette avait endommagé un véhicule tout près du bâtiment abritant les familles. A Bastia, l’ogive à tête inerte avait frappé la façade aux vitres blindées du groupement de gendarmerie, juste au dessus du mur d’enceinte, sans toutefois parvenir à percer le blindage. Reportage de Marie-Françoise Stefani et Stéphane Agostini Attentat de la gendarmerie d’Ajaccio, le militant nationaliste Franck Paoli arrêté Source : France TV Info Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Le 5 décembre 2013, deux des plus importantes casernes de gendarmerie de Corse ont été attaquées à la roquette à Ajaccio (photo) et Bastia, sans faire de blessés. / © PASCAL POCHARD CASABIANCA / AFP Recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé en décembre 2013 la caserne de gendarmerie Battesti à Ajaccio, le militant nationaliste Franck Paoli a été interpellé mardi par la police judiciaire. Franck Paoli, qui a toujours nié les faits qui lui sont reprochés, pourrait être rapidement transféré à Paris pour être présenté au juge d’instruction du parquet anti-terroriste en charge de ce dossier.Un rassemblement de soutien a été organisé par l’Associu Sulidarità devant le commissariat d’Ajaccio. En fuite depuis 2014, le militant nationaliste était recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé en 2013 la caserne de gendarmerie Battesti à Ajaccio, siège de la région de gendarmerie en Corse. Dans cette affaire, un autre militant nationaliste, Antoine Pesse, a été mis en examen en octobre 2015, pour acquisition, détention d’armes, détention d’un dépôt d’armes en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste, destruction et dégradation en relation avec une entreprise terroriste. Le 5 décembre 2013, deux des plus importantes casernes de gendarmerie de Corse avaient été attaquées à la roquette à Ajaccio et Bastia, sans faire de blessés. A Ajaccio, la roquette avait endommagé un véhicule tout près du bâtiment abritant les familles. A Bastia, l’ogive à tête inerte avait frappé la façade aux vitres blindées du groupement de gendarmerie, juste au dessus du mur d’enceinte, sans toutefois parvenir à percer le blindage. Reportage de Marie-Françoise Stefani et Stéphane Agostini
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