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Ariège. Un gendarme en patrouille décède dans un accident de la route

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J’apprends avec une grande tristesse le décès d’un gendarme dans un accident de la route à l’Herm, en Ariège, alors qu’il patrouillait.

À sa famille, ses proches et à ses camarades de la @Gendarmerie, j’adresse mes sincères condoléances.
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) May 13, 2022

L’article de La Voix du gendarme ici

Source : Police & Réalités

Lire également La Dépêche : Ariège : en patrouille, un gendarme de 37 ans meurt en chutant de sa moto dans le village de L’Herm

L’Association Professionnelle Gendarmerie (APG) présente à sa famille et à ses camarades ses sincères condoléances.

4 Réponse(s) à "Ariège. Un gendarme en patrouille décède dans un accident de la route"

Canastra dit :

15 mai 2022 à 15 h 19 min

Etonnant, mais les gendarmes ont eu l’obligation de se faire injecter « contre le covid » mais pas les policiers : quelle pourrait être officiellement la raison d’une telle différence de traitement ? On demande à savoir et à comprendre.
Les premiers désignés cobayes d’office, à l’insu de leur plein gré en l’absence de réelle information sur « les essais vaccinaux covid19 en France » (dixit l’ANSM), les seconds laissés libres de leur propre décision ? Bizarre.

S’agit-il de mettre en danger la santé des gendarmes français (il n’est jamais anodin d’être cobayes d’expérimentations chimiques) pour les remplacer plus facilement par des gendarmes de nationalité étrangère, des Ukrainiens (nazis ?) par exemple, puisque leur recrutement a déjà débuté. Des « gendarmes » étrangers qui n’auraient aucun état d’âme pour placer en camps de concentration les Français non injectés ou opposants au N.O.M ?
https://www.profession-gendarme.com/le-gouvernement-francais-recrute-dans-la-garde-nationale-ukrainienne-pour-les-futurs-gendarmes-en-france/

C’est si vite arrivé de glisser sur du gravier ou dans sa salle de bains après deux ou trois injections de perlimpinpin ?

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Ultrak dit :

14 mai 2022 à 8 h 50 min

Selon les articles en source, ce gendarme s’appelait Jean-Jacques Bloy, et était un sous-officier de la brigade motorisée de Saint-Girons. Il avait 37 ans, était marié et père de deux enfants. Condoléances les plus sincères à son épouse, à ses enfants, à ses proches et à ses collègues.

Jean-Jacques Bloy aurait glissé sur des graviers dans le village de l’Herm en Ariège. Nulle mention d’un obstacle que le gendarme aurait heurté dans sa chute, une vitesse qui ne peut être que modérée dans un village ou sur les routes alentour. Une glissade à moto, pas d’autre explication. Cela restera la version officielle. Je n’y crois que très modérément. Complotisme ? Non, simple doute légitime qu’aurait tout enquêteur disposant de ces seuls éléments.

Adieu Jean-Jacques, ton engagement était au service du bien public. Le monde qui s’ouvre désormais à toi est l’aboutissement de tes efforts passés. Puisses-tu y trouver le repos et la joie.

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1. david jefferson dit :
  
  14 mai 2022 à 21 h 52 min
  
  ou peut-etre un malaise du a la pic pic…..
  
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  1. Ultrak dit :
    
    15 mai 2022 à 8 h 12 min
    
    Oui, c’est bien l’explication alternative la plus plausible, celle qui se heurte à un mur de silence.
    
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