Après la défaite de Zemmour : Macron, ennemi mortel de la France
Pourquoi il faudra, dimanche 24 avril, voter sans hésiter et massivement pour Marine Le Pen.Texte
La défaite d’Eric Zemmour est une catastrophe. Une catastrophe pour la France. Car avec Zemmour, nous avions la garantie, autant que garantie est possible, d’un gouvernement français libre.
Libre d’abord des Etats-Unis, dont nous sommes devenu le jouet. Macron livre aux Etats-Unis, dont il est un agent, son propre pays, la France. A ce stade, Macron agit-il bénévolement, par simple avidité de ce pouvoir qui lui est livré à grands coups de mensonges et de manipulation permanente, notamment médiatique ? Ou bien, autre hypothèse, Macron est-il corrompu ? Possède-t-il, à l’heure qu’il est, de colossaux comptes secrets, sur lesquels se déversent des centaines de millions, des milliards de dollars ?
Les millions disparus de l’agent états-unien Macron
Le patrimoine déclaré de Macron laisse envisager des plus sérieusement l’existence de comptes cachés, sur lesquels auraient disparu les millions gagnés comme associé chez Rothschild. D’après l’enquête Patrimoine de Macron, où sont passés les millions ?, tout semble indiquer qu’une partie des millions gagnés dans la banque, dont le montant lui-même semble nettement sous-évalué ou sous-déclaré ou soustrait à la déclaration, se sont envolés pour une destination inconnue. Ces mêmes comptes sont-ils alimentés à l’heure actuelle par BlackRock, Pfizer, Moderna et bien d’autres colosses financiers et industriels en échange des hautes trahisons aussi macroniennes que cyclopéennes ?
Macron serait-il le plus grand escroc de tous les temps, dont le gogo serait le peuple français, et finalement la France elle-même ?
Macron rêverait-il, après l’opération de pillage et de destruction de la France qu’il a entreprise il y a cinq ans dans le sillage de son rôle délétère en tant que ministre des Finances de Hollande (voir en particulier l’effarante affaire Alstom), de pousser l’anéantissement à son terme, de broyer complètement son propre pays et son propre peuple, pour ensuite, riche de dizaines voire de centaines de milliards d’euros, poursuivre sa noire carrière parmi les cerveaux de la conjuration de Davos ? Laquelle, autour de l’inquiétant Klaus Schwab, tâchera de réaliser son plan luciférien : réduire l’Occident en esclavage, entre injections régulières obligatoires, confinement au moindre prétexte (en janvier 2022, le variant Omicron, notoirement bénin, a suffi pour « justifier » le glissement vers le très liberticide passe vaccinal…) et QRCodes, la marque de la Bête qui semble tant plaire à Macron puisqu’il en sème le chiffre derrière lui comme le Petit Poucet, sur fond de Notre-Dame en flammes, objet si esthétique, si beau qu’il orne, dans un cadre doré, couleur spirituelle entre toutes, son bureau dans sa vidéo de lancement de campagne 2022. Vade retro…
Ayant dénoncé, dès mars 2020, le confinement comme mesure inadaptée et ruineuse, et interrogé à la même époque la réelle létalité du virus, Eric Zemmour était le plus crédible pour mettre un terme à cette escroquerie ténébreuse du Covid-19, dont la France est victime comme bien d’autre pays, et dont il est à craindre que le premier quinquennat macronien ne fut que l’amuse-gueule. Pour cette raison sans doute le Z serait-il mort avant d’avoir pu accéder au pouvoir. Si elle est vraiment l’adversaire du Système et une patriote décidée à défendre bec et ongles tous les intérêts supérieurs de la France, Marine Le Pen entrerait-elle aussi « dans la zone des balles dans la tête » ?
Des centaines, des milliers de milliards sont en jeu dans l’escroquerie majuscule actuellement en cours. Cette escroquerie dont le Covid-19 est le prétexte, n’est elle-même qu’une facette d’une escroquerie plus vaste qui s’amplifie depuis une dizaine d’années. Les Etats-Unis en sont les principaux organisateurs et bénéficiaires, il en tirent les ficelles pour se remplir les poches. La méthode est simple : elle consiste à placer à la tête de l’Etat français des agents à leur solde pour conduire le pillage du Pays.
Washington, vampire de ses amis
L’escroquerie, l’opération de pillage de la France, Washington la conduit en personne. Washington ou plutôt l’État profond, ce mélange de services secrets, de grandes familles et de complexe militaro-industriel, si puissant qu’il peut se contenter d’une statue de cire en guise de président : le cacochyme Biden.
Ce pays complètement décadent qui ressemble à une URSS obèse en fin de vie, n’a prospéré, tout au long de son histoire, que sur le pillage et sur la guerre. Or, ayant échoué dans toutes les guerres et tentatives de déstabilisation qu’il a fomentées depuis vingt ans autour du monde, cet homme malade de l’Amérique se voit inexorablement supplanté par la Chine et le bloc énorme qu’elle forme avec la Russie et d’autres pays qui refusent le joug mortifère états-unien. Faute de mieux, il ne reste plus à l’oncle Sam qu’à vampiriser ses alliés.
Zelenski a livré ainsi son pays, l’Ukraine, à la prédation anglo-saxonne, avant d’être précipité dans la guerre, pays sacrifié sur l’autel de la vraie-fausse guerre opposant l’Occident à la Russie, vraie-fausse guerre qui permet, in fine, de siphonner l’Europe au profit des Etats-Unis. Sur le même modèle, comme une grande Ukraine, la France est ainsi dévorée, avec l’aide du faiseur Macron, aidé par les réseaux liés à la CIA qui quadrillent le Tout-Paris politique, médiatique et économique. On compte même quelques militaires parmi ces réseaux, dont le plus emblématique est celui des Young Leaders de la French-American Foundation.
Orwellien Young Leader de la French-American Foundation
La plupart des Français ignorent l’existence de cette puissante organisation, dont la presse se garde bien de faire ses choux gras.
Il n’est jamais venu à l’idée d’aucun magazine d’en faire sa couverture, à aucun quotidien d’en faire sa Une. Pourtant, cette organisation créée par le très américanophile Giscard d’Estaing et son homologue Gerald Ford, notoirement liée à la CIA, jouit d’une influence exorbitante en France, quand on sait qu’en font partie, pour ne citer que quelques noms, Emmanuel Macron, Edouard Philippe, François Hollande, Valérie Pécresse et bien d’autres. On le voit, les deux derniers présidents sont des Young Leaders de la FAF et l’un d’entre eux pourrait être reconduit pour un nouveau mandat. La FAF totaliserait ainsi quinze ans au pouvoir en France. Quinze années de désastre absolu dont les cinq à venir pourraient se révéler les pires, voire fatales.
Car si Macron est réélu dimanche, alors la France connaîtra une descente aux enfers.
Déjà ruiné dans des proportions inouïes au cours du premier quinquennat macronien, l’Etat s’effondrera sous le poids écrasant de sa dette, permettant la liquidation totale du modèle social français et la vente à l’encan de tout le patrimoine national. Un énorme gâteau à se partager entre géants de la finance, les grands amis de Macron, sur le dos du bon peuple et du Pays qui n’y entend rien. Assujettie aux confinements, aux couvre-feux, aux injections obligatoires et au passe vaccinal récurrent ou permanent, et peut-être même aux tickets de rationnement sous prétexte de pénurie causée par la vraie-fausse guerre perpétuelle avec la Russie, la population connaîtra un destin orwellien. Car chez Orwell, dans 1984, on l’oublie souvent, la vraie-fausse guerre sert de toile de fond et d’outil suprême de l’embrigadement des esprits.
Eric Zemmour nous aurait garantis contre pareilles perspectives, lui qui a dès mars 2020 contesté l’opportunité du confinement et interrogé sa cause, la mortalité prétendûment terrible du virus (en réalité, 0,1%, soit celle d’une grosse grippe).
Marine Le Pen, a appelé au confinement, à son renforcement, et n’a très longtemps émis aucune réserve sur l’escroquerie covidienne pourtant énorme. Heureusement, elle s’est finalement opposée au passe vaccinal. Au vu de ces différents éléments, est-elle aussi fiable que Zemmour sur le chapitre de l’escroquerie covidienne ? On voit que non. Mais Marine est infiniment plus fiable que Macron, qui recommencera, si par malheur il est réélu, son plan de domestication du peuple français et de destruction du Pays par le biais de la ruine de l’État et de l’économie au profit, en fin de compte, des Etats-Unis.
La France par delà les races
En revanche, Marine Le Pen a sur Eric Zemmour un avantage, aussi bien idéologique qu’électoral. Elle est en phase avec la France, en cela qu’elle n’entretient aucune équivoque sur le chapitre racialiste.
Marine Le Pen ne met jamais en avant la race, qu’elle semble tenir pour sans importance, au point qu’elle paraît l’avoir définitivement exclue de sa vision républicaine. Au contraire de Zemmour, qui n’hésitait pas à se réclamer d’une citation gaullienne
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »
déjà indicible en son temps, au point qu’elle ne fut jamais prononcée ni même assumée, ni telle quelle ni dans l’esprit, publiquement par son auteur.
Ce positionnement peu ou prou racialiste est sans doute l’une des causes fondamentales de l’échec de Z à la présidentielle. En effet, de longue date, l’écrasante majorité des Français a en horreur ou estime stupide qu’on réduise une personne à son origine ethnique ou raciale. Jusqu’à Zemmour lui-même ! Ce qui conduisit ce dernier à un étrange « en même temps » : dire que les non-Européens qui aiment la France et font corps avec sa civilisation sont « nos frères » (Discours de Villepinte, 5 décembre 2021), mais « en même temps » qu’ils doivent rester une petite minorité sans quoi la France ne serait plus la France (Les Incorrectibles, 6 avril 2022).
Un « en même temps » d’autant plus stupéfiant que la plupart des territoires d’outre-mer de la France, auxquels Zemmour se dit très attaché, ne sont pas majoritairement de peuplement européen. Or que devient au juste la France suivant une définition blanciste, pardon, gaullienne ?
De suicide gaullien en suicide macronien : les Etats-Unis
La réponse est simple : elle meurt comme elle est déjà morte une première fois en abandonnant l’Afrique subsaharienne (1958-1960) et l’Algérie (1962), après l’Indochine (1954) et les comptoirs des Indes (1949-1962). Un largage qui fut chaque fois orchestré sous la houlette des Etats-Unis, depuis la IVe République, arrosée par le plan Marshall et ses à-côtés (1946-1958), jusqu’à la première Ve République (1958-1962), dont le coup d’Etat fondateur fut orchestré en liaison avec Washington et Langley.
Derrière le De Gaulle blanciste que cite Zemmour comme sa source d’inspiration majeure, il y a le De Gaulle instrumentalisé par les frères John Foster (Secrétaire d’Etat) et Allen Dulles (directeur de la CIA) au nom de cette « qualité », le blancisme, et de la promesse qui en découlait : larguer ce qu’il restait de l’Empire, y compris l’Algérie.
Bien entendu, De Gaulle « vendit » exactement le contraire à l’Armée et au peuple français, en particulier à ses rameaux algériens et africains. Il promit l’unité dans l’égalité et la fraternité, fut triomphalement porté, sur ce programme, au pouvoir par le coup d’Etat de mai 1958, puis reçut, toujours sur ce programme, l’approbation également triomphale du peuple pour la nouvelle Constitution. La plus extraordinaire nouveauté de cette Constitution, tout le monde ou presque l’a oublié aujourd’hui, était qu’elle faisait des Arabo-Berbères d’Algérie, mais aussi possiblement de tous les Subsahariens, des Français à part entière. Ce grand saut égalitaire de la nouvelle Ve République, proposé par Charles de Gaulle alors qu’il y était farouchement hostile, les Français, peuple qui ne connaît pas les races, l’approuvèrent à 80 %.
Evidemment, ensuite, une fois élu, De Gaulle fit exactement l’inverse de ce qu’il avait promis : il détruisit tout ce qu’il avait prétendu bâtir, en démembrant méthodiquement, par maint stratagème, l’ensemble franco-africain. Ou plutôt en le faisant exploser, suivant un scénario machiavélique téléguidé, répétons-le, par Washington et Langley. Au profit d’un programme totalement opposé à celui qui lui avait permis d’obtenir l’appui de l’Armée (qui ne croit pas davantage en la race que les Français) puis l’approbation massive du peuple !
Conséquence directe de ces choix insensés en forme de tête-à-queue antidémocratique, antirépublicain et anticonstitutionnel, aujourd’hui et depuis des décennies, la France est soumise à la déferlante migratoire africaine. Personne ne souligne jamais que cette vague est venue et vient toujours en grande majorité de ses anciennes provinces d’Afrique du Nord, d’Afrique occidentale et d’Afrique équatoriale, jadis abandonnées et livrées, pour ainsi dire du jour au lendemain, à la misère, voire à la tyrannie et à la guerre, à la suite des prétendues indépendances qui furent en réalité imposées par le Général.
L’histoire de la fallacieuse « décolonisation » franco-africaine est celle d’une tragédie dont il faudrait beaucoup pleurer. Une sublime histoire d’amour certes non sans nuages, mais une histoire d’amour bien réelle et tellement puissante, brisée finalement dans le sang, puis piétinée, enfin effacée des mémoires de la jeunesse. Un véritable lavage de cerveau où tout fut mis en œuvre pour insinuer dans la psyché collective un souvenir artificiel, exclusivement hideux de l’histoire franco-africaine, et par conséquent foncièrement faux, grand pourvoyeur de haines. Afin de rayer définitivement de la carte la France comme puissance mondiale de tout premier plan, rang qu’elle occupait depuis de nombreux siècles.
Au fond, les historiens retiendront sans doute qu’à la fin de la Ve République, le laminoir dont Macron est l’orchestrateur en France répondit au laminoir dont De Gaulle fut l’artisan à la naissance de cette même Ve République. Deux trahisons majuscules, l’une au commencement, l’autre à la fin, accomplies contre le Pays et contre la volonté du peuple, abusé par des manipulations de grande envergure, par des mots vides et des mensonges, avec les Etats-Unis tirant les ficelles dans les deux cas, animés des pires intentions à l’égard de leur « alliée ».
L’immigration, la haine et la race comme outils de destruction
La submersion migratoire en provenance des anciens territoires français d’Afrique, mêlée, à force de désespoir et de propagande, d’aversion, cette submersion n’est pas qu’humaine mais devient, par le nombre, civilisationnelle. Et civilisationnelle trop souvent dans le pire sens du terme, car la culture parallèle qui s’est constituée dans les banlieues françaises, culture parallèle de plus en plus fréquemment hostile à la France et aux Français, n’entretient souvent qu’un rapport lointain avec les cultures d’origine. Elle est d’ailleurs perçue par beaucoup, en Afrique du Nord et en Afrique subsaharienne, comme détestable. La plupart des Maghrébins et des Subsahariens restés au pays portent un regard sévère sur l’image qu’ils se sont faite de leurs compatriotes de France.
L’immigration de masse couplée à la désintégration et au rejet de la France, l’agressivité à fleur de peau cultivée dans de nombreuses banlieues, la violence voire l’ultraviolence pour un oui ou pour un non, ne sont pas un péril qu’à l’esprit des Subsahariens et des Maghrébins. Il apparaît de plus en plus clairement aux yeux d’un nombre croissant de Français, quelle que soit leur couleur de peau ou leur religion. Parmi eux, certains, suivant une tendance humaine facilement compréhensible, cèdent à l’amalgame racialiste. Or si les immigrés s’assimilaient comme jadis, en devenant en une génération des Français impossibles à distinguer d’autres Français si ce n’est par leur couleur de peau, la question de la race se poserait-elle ?
Evidemment, si cette immigration s’assimilait parfaitement – mais pour cela encore faudrait-il ou bien qu’elle soit moins nombreuse, ou bien qu’elle soit d’un meilleur niveau socio-culturel –, personne ou presque ne s’en soucierait. Mais hélas, dans bien des cas, ce n’est pas du tout ce qui se passe.
Depuis de nombreuses années, une partie importante de l’immigration venue d’Afrique pâtit souvent d’un faible niveau d’instruction et d’éducation, ce qui complique évidemment son insertion et son assimilation à la communauté nationale. D’autant que le nombre aidant, elle s’en trouve coupée, séparée, dans l’impossibilité de s’assimiler par le simple commerce quotidien avec les autochtones. En outre, de plus en plus, le laxisme général a attiré de nombreux aventuriers pas toujours très bien intentionnés, pour lesquels l’intégration à la société française prend trop souvent la forme de l’incivilité, parfois du délit ou du crime. Leur image désastreuse déteint, comme celle des délinquants, par amalgame, sur toute la communauté. Ceci explique que les « immigrés » sont, comme on l’a dit, globalement très mal vus dans leurs pays d’origine, où pareils comportements ne sont ni dans la tradition ni dans la norme. Ce regard porté par les Africains et les Maghrébins sur ce qu’il appellent les « immigrés » est une triste réalité révélatrice de l’aberrante situation actuelle.
On comprend, à ce stade, le réflexe identitaire et la tentation racialiste chez certains Français qu’ils soient d’ailleurs ou non de souche, tandis que se constituent des zones, des cités, des villes, des pans entiers du territoire en état de sécession civilisationnelle voire politique plus ou moins marquée. Mais quelle que soit leur ampleur, et pour aussi inquiétants qu’ils soient, ces phénomènes vont chercher leur origine bien loin des races. Ils s’enracinent notamment dans la force des idéologies obscurantistes et conquérantes encouragées, financées depuis des décennies à grand renfort de pétrodollars. Mais aussi dans le dénigrement permanent de la France et des Français par les médias et le gouvernement de la Ve République blanciste, si soucieuse de masquer ses turpitudes en s’acharnant sur des boucs-émissaires : la France et les Français, perpétuellement présentés comme criminels et racistes, contre toute réalité historique.
Encore une fois, au rebours des calomnies médiatiques, il faut bien que chacun se mette en tête que jamais le peuple français n’a cru en la race. L’écrasante majorité des Français sont incapables d’exclure qui que ce soit du corps national sous prétexte de couleur de peau ou de type de cheveux. De longue date, aux yeux des Français, si les races existent, elles n’ont guère d’importance, et surtout pas quand il est question d’hommes, de femmes et d’enfants, ou d’appartenance à la France.
Le « en même temps » de Mélenchon et de la gauche
Evidemment, si les transferts de populations avaient été à double sens, là encore les choses auraient été perçues de façon différente. Nous voici devant un nouvel « en même temps » des plus amusants.
L’ensemble de la gauche nous explique que la France n’avait rien à faire en Afrique mais « en même temps » que l’Afrique a tout à faire en France, et plus généralement en Europe. On peut rire, là encore, d’une flagrante et effarante contradiction, qu’aucune argutie, au point où nous en sommes de l’impérialisme ouvertement affiché par certains porte-parole de la cause « indigéniste », ne permettra de sauver.
C’est la contradiction d’un Mélenchon qui, au demeurant, en collectionne pas mal d’autres.
Comme celle, sidérante et relevant de la trahison de sa propre cause, qui a conduit Méluche à faire pour la deuxième fois le jeu de Macron. Et cette fois du Macron incontestablement destructeur du modèle social français, artisan de la ruine du petit peuple et fossoyeur de la France…
Marine contre le péril mortel
Faire de l’immigration, de la haine et de la désintégration conjuguées un moyen de détruire la France : tel est le piège que Macron et le Système sont en train, en plus du désastre économique, de refermer sur nous. Tout ce qui précède permet de comprendre que si l’Afrique est instrumentalisée pour détruire la France, c’est à son corps défendant et, souvent, en tant que victime elle-même.
Penser que l’immigration doit cesser et faire place à l’assimilation, cela n’a strictement rien de raciste. C’est même le contraire. Car c’est vouloir, précisément, ne pas courir à la catastrophe que nous fabrique le Système, celle de la fracturation notamment raciale ou « racisée » de la société, à la sauce wokiste. Une fracturation déjà bien entamée, tellement que s’ajoutant aux autres dynamitages et ruines, ce maëlstrom pourrait conduire à la disparition de la France, victime d’un engrenage en forme de machination.
Aujourd’hui dans les griffes des Etats-Unis qui, comme il y a soixante ans, nous vampirisent, nous détruisent, avec Macron marionnettisé via McKinsey qu’il paie à prix d’or comme dans un conte faustien, il faut de toute urgence nous en sortir.
Le dimanche 24 avril, quels que soient les doutes qu’on puisse avoir sur elle, il faut absolument, sans hésiter, voter massivement pour Marine Le Pen.
Si elle se révèle pire que Macron, nous aurons tous la même excuse : Macron était, sans aucun doute possible, un ennemi acharné du peuple français, l’ennemi mortel de la France. Il fallait à tout prix nous en débarrasser.
Or face à ce monstre, Marine était l’espoir que le peuple avait préféré à Méluche et à Z.
Alors ce fut elle.
Alexandre Gerbi
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