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Anatomie des fausses nouvelles

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Depuis que je gère ce site je l’ai toujours dit, « Personne n’est à l’abri de fausses nouvelles ». Il appartient donc à chacun de se faire sa propre opinion et si il y a doute de rechercher sur le web la vérité, mais aussi d’en faire profiter les autres.

« La critique est aisée, mais l’art est difficile… » Merci d’y réfléchir avant de commenter.

Ronald, webmaster de Profession-Gendarme

Savoir média 4,91 k abonnés Si 81% des Canadiens s’estiment capables de distinguer les fausses nouvelles sur le web, la réalité est tout autre. Des expériences menées par des chercheurs ont permis de déterminer que seuls 37% sont en mesure de le faire. Et ce n’est pas une question d’âge…

Sources : Youtube. & Savoir.média

Voir aussi :

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1457695746447364100?t=uHUjYIxwQTiWYpP3loYOmw&s=08

64 Réponse(s) à "Anatomie des fausses nouvelles"

lia dit :

9 novembre 2021 à 21 h 13 min

Quelqu’un a t-il relevé la date du discours de Macron ?
9/11…

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lia dit :

9 novembre 2021 à 20 h 10 min

Avez-vous relevé la date de l’intervention de Macron ? 9/11…

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Minus Habens dit :

9 novembre 2021 à 19 h 53 min

Comme annoncé plus haut, voici un extrait de « L’intoxication » de Pierre Nord (pp. 59 sqq.)

« L’incendie du Reichstag
L’incendie du Reichstag, modèle de l’opération d’intoxication politique intérieure.
Tout le monde parle d’intoxication, mais, autant que je sache, personne n’a marqué avec force que l’incendie du Reichstag, le parlement allemand, dépassant de haut et de loin la ruse politique, était une vaste et profonde intoxication parfaitement réussie de l’ensemble du peuple allemand. La question n’est pas de vocabulaire. Ce n’est pas un vain jeu avec des mots. C’est discussion d’idées.
Les faits. Hitler devient chancelier le 30 janvier 1933. Son premier ennemi à abattre est le Puissant parti communiste : six millions d’électeurs ; une centaine de députés au Reichstag, manœuvrant comme un commando aux ordres de leur chef de groupe Törgler ; des bagarreurs qui se montrent encore au coin des rues dans les quartiers populeux.
Vingt-huit jours plus tard, le temps d’une période de réserve militaire, cette opposition sera liquidée, et pour plusieurs décennies. On serait tenté de dire que c’est la seule œuvre durable de l’hitlérisme. Notons qu’en 1971, les communistes restent à l’état sporadique ou clandestin outre-Rhin.
Le 27 février 1933, à l’heure du dîner, le Reichstag, qui est pourtant un assez colossal morceau d’architecture germanique, flambe comme une simple grange. Le vieux renard non enragé (pour le distinguer de Heydrich), von Papen, vice-chancelier adjoint et au besoin opposé à Hitler, reçoit par hasard à dîner le président von Hindenburg au Herrenklub des fenêtres duquel on voit le Reichstag. Il fait remarquer à son vieux chef que « la coupole semblait illuminée par des projecteurs ». Ce n’est évidemment pas l’œuvre de pyromanes amateurs.
Branle-bas de combat. Toutes les nouvelles autorités du Reich, y-compris Hitler, Göbbels, von Papen un peu en retard parce qu’il est allé mettre le vieux président au lit, et tutti quanti rallient le lieu du sinistre. Ils y trouvent le maître de maison, l’ex-chat-tigre devenu gros matou Göring, alors président du Reichstag, en train de haranguer virilement les hauts policiers. Pas de reproches, non, mais une vigoureuse exhortation à l’action : c’est le commencement de la révolution communiste attendue et annoncée depuis longtemps ; il faut être impitoyable, abattre tous les criminels rouges là où on les trouvera et sauver l’Allemagne, Göring ne sort pas sur-le-champ les listes noires de sa poche ; mais elles sont prêtes, car elles seront distribuées à l’aube.
C’est, bien entendu, qu’il est l’instigateur, l’auteur, l’incendiaire. Il s’en vantera plus tard à tous ceux qui voudront l’entendre, sauf à ses juges de Nüremberg, toutefois. Mais les preuves sont écrasantes, absolues.
Un détachement des Sturmabteilungen, les sections d’assaut, la milice nazie de choc, a passé de la résidence de fonction de Göring, par des souterrains, à l’intérieur du Reichstag. Ces sbires y ont mis le feu aux quatre coins, avec tout ce que l’on faisait de mieux à l’époque comme produits incendiaires. Certitude.
Dans le même temps, des policiers arrêtaient un fou hollandais, fou à lier, Marinus van der Lübbe, qui, venant de la rue, lui et lui seul, se glissait dans le bâtiment et y déposait quelques pétards à faire peur aux moineaux, avec sa propre chemise pour tout cordeau d’allumage. Ils le prenaient en flagrant délit, sans autre mérite policier (mais cela compte, c’est du beau travail), que de l’avoir eux-mêmes mis dans cette posture fâcheuse pour lui. Évidence, car ils venaient justement de le relâcher, l’avant-veille, après l’avoir coffré parce qu’il tenait des discours communistes virulents dans les bistrots et menaçait de f… le feu à l’Allemagne. Ce que le pauvre diable avait de plus incendiaire, beaucoup plus que ses velléités pyromaniaques et son matériel, c’étaient ses divagations.
Le lendemain 28 février sont arrêtés et accusés, en plus, de van der Lubbe, le chef du groupe parlementaire communiste, Törgler, le futur premier ministre de la Bulgarie communiste et gros agent du Komintern, Dimitrof, et deux comparses bulgares. Ils seront jugés plus tard par la Cour suprême de Leipzig. Elle acquittera les Bulgares. Peut-être parce que Hitler doit encore tenir compte de l’opinion mondiale — et accessoirement pour faire croire qu’elle est toujours vraie, la célèbre vieille fable germanique où le paysan du Danube affirmait qu’ « il y a encore des juges à Berlin ». Et puis, l’on relâche les innocents, n’est-ce pas ? Donc, si Törgler l’était, on ne le jetterait pas dans ce camp de concentration où il mourra.
Pendant les débats, Törgler embarrassera et ridiculisera Göring ; il le mettra un instant en position de suspect et d’accusé. Seul Hitler tirera la leçon de l’incident : désormais, il n’y aura plus de procès public ; on tuera. Les puissances démocratiques, elles, ne semblent pas avoir compris qu’aussi longtemps que cet homme sera au pouvoir, l’Europe politique ressemblera, toutes proportions gardées, à Chicago au temps des gangsters.
Quand la sentence fut prononcée, le mal était fait depuis longtemps. La semence empoisonnée avait déjà germé, et Hitler avait moissonné et engrangé.
Le 28 février, le gouvernement prussien avait officiellement annoncé que l’incendie du Reichstag devait être, dans l’esprit des instigateurs, le coup de départ d’une guerre civile, du massacre des citoyens paisibles par les rouges, de la fin de la propriété privée et de l’instauration du communisme moscoutaire. Il avait promis de le prouver, ce qu’il ne prendra même pas la peine de faire ; annoncé qu’il présenterait des documents et des preuves, qu’il ne perdra pas de temps à forger. C’était inutile. L’Allemagne l’avait cru.
Dès ce jour-là, 28 février, Hindenburg avait signé une sorte de décret de salut public qui donnait pratiquement les pleins pouvoirs policiers et judiciaires à Hitler, lui permettait d’enfermer et d’exécuter qui il voulait et de régner par la terreur. Hitler avait aussitôt coffré cinq mille chefs communistes et l’on ne sait combien de socialistes, « tant qu’à faire ! ».
La hâte, la précipitation de ce monument de calme, dûment immobile, qu’était le « vieux seigneur » qui n’aimait pas le « caporal autrichien », m’a toujours un peu étonné. Je me demande encore si le renard Papen ne l’avait pas invité à dîner au Herrenklub la veille pour lui offrir le spectacle de l’incendie du Reichstag et, sous le coup de l’émotion, forcer sa signature. Göbbels, ainsi que de moindres nazis qui seront deux mois plus tard le premier cadre de la Gestapo, étaient de mèche avec Göring dans cette superbe provocation qu’est l’incendie. Papen ne devait logiquement pas être de ce complot ; il ne s’était pas encore rallié, inféodé à Hitler ; l’année suivante les nazis le bousculeront et décimeront ses collaborateurs, à l’occasion de la grande purge du 30 juin 1934. Non, il ne devait pas être « dans le coup ».
Pourtant, sa ligne politique a été si longtemps louvoyante et présente de tels rebroussements — une erreur d’alliance provisoire étant toujours possible dans les fantastiques remous d’une Allemagne mystifiée — et Papen ayant constamment eu l’oreille de Hindenburg —, oui, je me demanderai toujours si ce n’est pas lui qui a mis le Porte-plume dans la tremblante main présidentielle… et de là à imaginer qu’il le « conditionna », comme l’on parle maintenant, par un divertissement après souper…
Mais ce n’est qu’une supposition, et revenons aux solides certitudes.
Je disais que lorsqu’on jugeait à Leipzig des innocents sans importance, Hitler avait gagné et que la nazification de l’Allemagne était assurée. Certes pour des raisons de fond : « Hitler était le destin de l’Allemagne », dira le maréchal von Brauchitsch, et rarement jugement aussi pauvrement motivé (c’est la faute à la fatalité, Chéri-Bibi dixit), n’a été aussi juste. Mais le détonateur de cette explosion avait été l’incendie provocateur du Reichstag.
Sa date, 27 février 1933, avait été judicieusement calculée : pas trop tôt, pour que l’effet ne soit pas émoussé quand on voterait, pas trop tard, pour laisser le temps nécessaire à l’exploitation. Des élections générales étaient prévues et elles eurent lieu le 5 mars 1933. Elles prouvèrent que l’Allemagne « gobait » la manœuvre d’intoxication de Göring et que cette dernière, psychologiquement parfaitement adaptée à l’opinion publique allemande de l’époque, avait pleinement réussi. Il est donc inutile de s’attarder à faire remarquer qu’elle était grossière et cousue de fil blanc — d’autant plus inutile qu’après ce coup d’essai les intoxicateurs allemands feront de remarquables progrès techniques.
L’électorat nazi passa de moins de douze millions de voix à plus de dix-sept millions. Environ trois cents députés hitlériens, auxquels s’alliaient un quarteron de nationalistes en voie de conversion, donnaient à Hitler une majorité suffisante pour gouverner légitimement. Aux paysans, aux bourgeois et autres pauvres bougres qui ne l’avaient jusqu’alors que partiellement suivi, il apparaissait comme le vengeur et le sauveur. Il pouvait étendre le pouvoir central aux Länder, les provinces et, moralement aussi, unifier l’Allemagne dans la foi, la religion nazie, comme elle ne l’avait jamais été par quoi que ce fût dans l’histoire.
Un succès politique aussi complet fut rarement obtenu à si bas prix.
N’hésitons pas à nous répéter. De tels phénomènes appellent, exigent une dénomination particulière. L’incendie du Reichstag est une opération d’intoxication, parce que son arme n’est en soi qu’un simple mensonge utile, et sa tactique, le placement adroit de ce mensonge dans la bonne oreille, celle du peuple allemand.
Ne craignons pas d’enfoncer quelques portes entrouvertes. L’épisode n’est que le premier d’une longue série de réussites d’une bande de criminels de guerre qui exerceront leurs méfaits au plan supérieur de la politique internationale, mondiale. Mais l’incident suffit déjà, ou presque, à dégager quelques enseignements instructifs que je préfère formuler dès maintenant ; prématurément peut-être ; mais l’avantage sera que les lecteurs en auront l’idée présente à l’esprit dans ce qui suit, et pourront la discuter eux-mêmes à la lumière des événements rapportés.
1° C’est évidemment le chef politique en place qui peut obtenir de l’intoxication publique son rendement maximum et qui devrait donc, dans tous les cas, la diriger de haut. S’il détient le pouvoir absolu, il lui devient possible d’en tirer des victoires qu’aucun autre moyen ne lui permettrait d’espérer aussi rapides et économiques.
Le cas limite, c’est Hitler. Potentat qui sait ce qu’il veut et où il va, il est le premier, sinon le seul, à pouvoir calculer exactement ce qu’il faudrait faire croire à l’ennemi. Ayant l’initiative politique, il peut de plus prévoir « à qui », « quand », « où » et « comment » il serait payant de mentir. Détenant l’offensive, il manie magistralement l’arme offensive par excellence qu’est l’intoxication. (Une comparaison baroque fera comprendre la vertu que nous attribuons à l’arme offensive : dans un corps à corps, un poignard vaut mieux qu’un mortier de 420 mm.)
Ajoutons pour mémoire qu’il n’aura jamais l’ombre la plus fugitive des hésitations de conscience qui pourraient troubler l’honnête homme moyen, y compris ses propres généraux, et les empêcher de pratiquer l’intoxication mit Rücksichtlosigkeit. Il est au-dessus de cela, lui. Il accomplit une mission germanique divine. Que cela plaise ou non, quelle force !
2° La seconde condition du succès est que le chef dispose d’exécutants qui aient encore moins de scrupules que lui, car ce sont eux qui risquent d’avoir, par réflexes, les nausées physiques, plus irrépressibles et en tout cas plus visibles que les morales.
Hitler les trouva. Il trouva les meilleurs hommes. Le chat sauvage châtré et domestiqué, Göring. Le charognard Himmler. Le renard enragé Heydrich. Le sage renard Papen, qu’il récupérera. Le gorille Kaltenbrunner. Et leurs suites. Suffisamment intelligents, audacieux, aventureux, jouant le tout pour le tout comme ceux qui n’ont rien à perdre (à part Papen, ils étaient tous des traîne-savates), ils ont longtemps parfaitement orchestré les thèmes d’intoxication de leur Führer. »

Remarque. Personnellement, je pense que le plus grand agent d’intoxication (agent, car financé par Wall Street, tout comme Hitler, voir Antony Sutton pour les deux), fut Karl Marx. Il réussi à intoxiquer le monde entier, l’amenant à devenir communiste – sans le savoir la plupart du temps -, c’est-à-dire esclave et damné puisque matérialiste athée. Pas mal non ?

M. H.

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1. lia dit :
  
  9 novembre 2021 à 20 h 23 min
  
  Il n’y a que des opérations sous faux drapeaux, ce qui est logique puisque ce système parasite ne peut prospérer que par la mort des autres: crises et guerres autrement dit, ordo ab chaos.
  C’est la vieille marotte de ces facistes: crises, guerres et réinitialisation…au détriment et au profit de toujours les mêmes.
  Le great reset du syndicat international du crime organisé dont le Vatican est la pièce maîtresse de l’Empire romain est la dernière étape de la conquête mondiale menée par les suppôts de Satan.
  
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2. lia dit :
  
  9 novembre 2021 à 20 h 30 min
  
  Staline, un des pires criminels du XXème siècle et l’URSS fut une abomination.
  « Dans un journal internet, Simon Sebag Montefiore a souligné un chapitre très spécial de son livre qui se déroule à cette époque et qui lui tient apparemment particulièrement à cœur. Il avait déterré de vieux documents à Tbilissi qui prouvent qu’en décembre 1901, Staline est même devenu employé à Batoumi de la famille bancaire Rothschild, qui, avec la famille Nobel, dominait le port de la mer Noire à l’époque : « Staline et les Rothschild est l’un des liens les plus étranges que j’ai découvert lorsque j’ai écrit le livre sur les débuts de la vie du dictateur. » A Batumi, Staline a brûlé une raffinerie peu après son embauche. En 1907, dans le Bakou des riches barons du pétrole, les gangsters de Staline se livrent à « la collecte d’argent pour la protection, la piraterie, l’extorsion et les enlèvements ». Les Rothschild, selon Montefiore, ont même payé une fois Staline pour briser une grève. Cet argent est également allé dans les coffres de la révolution de Lénine. « Les Rothschild n’ont jamais appris qu’ils avaient engagé le futur pape suprême du marxisme-léninisme et que celui-ci avait mis le feu à leur raffinerie. » Jusqu’au jour, en tout cas, où Montefiore a envoyé une carte postale à Jacob Rothschild représentant le jeune Staline. »
  
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  1. Canastra dit :
    
    9 novembre 2021 à 22 h 26 min
    
    Le communisme a été créé par les Illuminati, les oligarques mondialistes, comme l’a révélé en 1955 William Carr, ex-Commodore de la Marine Royale Canadienne, dans »Des pions sur l’échiquier ».
    Karl Marx était leur employé de propagande (tout comme Theodor Herzl a ensuite été chargé de promouvoir le sionisme pour leur compte, lui non plus n’a rien créé).
    
    Sur https://latableronde.over-blog.com/2021/10/une-verite-historique-ahurissant.html : « La Chine rouge a été créée par les Rothschild et choisie pour être l’enfant-vedette et le modèle de la synthèse Illuminati Hégelienne du Communisme contre le Capitalisme. »
    « Le communisme est une forme de capitalisme d’Etat qui organise l’économie et la vie politique au profit d’une oligarchie monopolistique. Le communisme est la mise en commun de biens au profit de l’ensemble de la population. Dans le régime soviétique et chinois, c’est l’exact inverse, il y a appropriation des biens collectifs au profit d’une petite élite. »
    
    La dictature -nazie ou communiste- est toujours une coercition féroce contre les peuples, seule la couleur du drapeau est différente (noir et rouge, qu’est-ce-que cela évoque ?)
    D’ailleurs, les oligarques mondialistes revendiquent des théories nazies (eugénisme, diminution de la population par tous moyens, etc…) et veulent terminer l’esclavagisation du monde selon des principes communistes, c-à-d confisquer tous les biens publics et privés à leur seul profit. L’élite privée serait seule bénéficiaire mondiale, ne se cachant même plus derrière une élite étatique comme dans les pays communistes.
    « Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux » dit Klaus Schawb, quand les « élites » se partageraient tout.
    
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    1. Minus Habens dit :
      
      10 novembre 2021 à 8 h 44 min
      
      Oui, … Il y aurait beaucoup à dire, mais attention, si le site latableronde peut contenir un certain nombre de vérités utiles (« toujours mentir au plus près de la vérité », Volkoff, « Le Montage »), il est hautement toxique à de multiples égards. Sa doctrine sous-jacente est la gnose et son objectif est la perte des âmes. De plus, en mêlant des vérités à des délires sur les extra-terrestres et autres, il discrédite de facto les vérités qu’il contient.
      En dépit des apparences relatives à quelques développements et susceptibles de capter l’intérêt des lecteurs, il roule bel et bien pour ceux que nous combattons ici.
      Dans les milieux de la recherche sur la désinformation, Benjamin Fulford est connu comme étant un mythomane extrêmement dangereux apte à tromper les débutants, et il est incontournable sur latableronde.
      De plus, l’idée de « table ronde » est typique de la symbolique gnostique (roman arthurien, etc. Cf le Pr Lozac’hmeur). C’est en outre le nom d’une pépinière (et façade) de la FM, aux côtés du Lions Club et du Rotary.
      En toute bienveillance,
      M.H.
      
      Répondre
Marc dit :

9 novembre 2021 à 14 h 17 min

Commentaire qui vise à rétablir la réalité sur les coronavirus car ces derniers subissent une campagne de désinformation très curieuse de la part d’un certain CD:

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7125620/
(publié en 2008)

“les coronavirus…leur mode évolutif fait intervenir plusieurs paramètres : la génération de nombreux mutants lors de la réplication, responsable d’une distribution en quasi-espèces de la population virale, la capacité à établir des infections persistantes, la possibilité de délétions importantes, la grande flexibilité du génome due à un fort taux de recombinaisons homologues et hétérologues”

Répondre
1. Marc dit :
  
  9 novembre 2021 à 14 h 24 min
  
  Il faut aussi prendre en considération que l’on est exposé à un virus qui a vraisemblablement été optimisé en gain de fonctions en labo P4 et que cela fait quasiment l’unanimité aujourd’hui dans la sphère scientifique.
  
  Répondre
  1. Christophe Desmaris dit :
    
    9 novembre 2021 à 15 h 57 min
    
    Seriez-vous en train de dire que Didier Raoult est incapable de voir que la chaîne de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2 est artificielle ?
    
    Répondre
    1. Marc dit :
      
      9 novembre 2021 à 23 h 50 min
      
      Je suis convaincu que ce n’est pas une mince affaire d’en faire la démonstration et je sais surtout que son IHU n’a pas vocation à déterminer si un virus est naturel ou potentiellement artificiel. Pour cela, il faudrait d’une part disposer du brevet de cette arme biologique, ce qu’il n’a évidemment pas sous la main et d’autre part en être le complice de sa création sans quoi tu restes comme du monde entier maintenu dans l’ignorance de l’existence de ces chimeres.
      
      Bref, détecter les virus émergents en IHU ne se résumera jamais à du bricolage de virus comme le font les labos d’étude des pathogènes dangereux de classe 4, alors évitons les amalgames simplistes. Il n’existe personne de bien intentionné qui puisse prouver que ce virus est artificiel et ce n’est pas en jouant les neuneus que tu me feras croire que tu l’ignores.
      
      Raoult a par contre répété à plusieurs reprises qu’il n’avait jamais observé de toute sa carrière un coronavirus gagner en fonctions au fil du temps comme le fait le SARS-CoV-2.
      
      Répondre
  2. Christophe Desmaris dit :
    
    9 novembre 2021 à 15 h 59 min
    
    Et alors, ce n’est plus une zoonose, docteur Marc?
    Et alors, ce n’est plus un parasite à la place du virus, docteur Marc?
    
    Répondre
    1. Marc dit :
      
      9 novembre 2021 à 23 h 53 min
      
      Précise tes propos…je ne vois pas bien à quoi tu fais allusion.
      
      Répondre
      1. Marc dit :
        
        9 novembre 2021 à 23 h 56 min
        
        Si tu n’es pas complètement stupide tu ne comprendra évidemment pas, n’est-ce pas ?
      2. Marc dit :
        
        9 novembre 2021 à 23 h 59 min
        
        « tu ne répondras pas » .
        
        Faut absolument que je desactive le correcteur de mon navigateur.
      3. Christophe Desmaris dit :
        
        10 novembre 2021 à 10 h 58 min
        
        Citation, Marc, 28 septembre 2021, à 8h45:
        « De mon côté, je pense que le virus à proprement parler n’en est pas un. C’est probablement un parasite de type paludéen qui a volontairement été modifié… etc. »
Stéphan dit :

9 novembre 2021 à 13 h 50 min

La plus grande desinformation fut les attentats du 9/9/2001.
Avec un peu de jugeote, il est quasiment impossible que 2 avions de ligne detruisent les 2 tours..
Quand on veut casser un pilier de portail, si l’on tape fort avec une masse un seul coup ne sufira pas à le faire tomber, au mieux il se fissura et la partie haute pourrait éventuellement tomber.
Mais ils se sont écroulés comme une pile d’assiettes à l’aplomb sur leurs fondements…..!? C’est impossible il s’agit pour moi d’une démolition contrôlée d’autant plus que la tour n 7 s’est écroulée sur elle même ET NON PERCUTÉE PAR UN AVION:
C’EST UNE DÉMOLITION CONTRÔLÉE COMME L’AVAIT DEMONTRE JM BIGARD ET QUI A ÉTÉ DE SUITE MOQUE PAR CES SALAUDS QUI CONTROLENT LES MÉDIAS
FRANÇAIS.
PLUSIEURS HYPOTHESES:
DES MICROS BOMBES ATOMIQUES PLACÉS DANS DES POINTS PRECIS,OU PEUT ÊTRE UNE NOUVELLE ARME À ONDES HYPER PUISSANTE CAPABLE DE SECTIONNER DES POUTRES EN METAL.

20 ans après les Talibans ont repris le contrôle d’une grande partie de L’Afghanistan et les militaires us se retitent.
Clair que ce sont de faux attentats.
C’est l’une des plus grandes fakes news.
Nos representants politiques sont ils si aveugles et manipules.
C’est tres clair dans ma tete ce sont de faux attentats.
A chacun de se faire son propre jugement mais aujourd’hui je pense qu’il va y avoir une autre guerre provoqué par les Usa.

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1. L'Oeil du Chacal dit :
  
  9 novembre 2021 à 17 h 36 min
  
  « C’EST UNE DÉMOLITION CONTRÔLÉE COMME L’AVAIT DEMONTRE JM BIGARD »
  
  J. M. Bigard, qui, comme chacun le sait, est expert en démolition et génie civil.
  
  Répondre
2. miqueu dit :
  
  9 novembre 2021 à 18 h 26 min
  
  Exact c’est une démolition programmée , cela ne fait plus l’ombre d’un doute ! Tous les ingénieurs experts honnêtes sont unanimes .
  Pas de micro bombe ou arme a ondes ( ça c’est impossible ) , pour l’écroulement des tours ils ont utilisé de la thermite ou nanothermite aux bons endroits .
  La preuve c’est qu’il en a été retrouvé des traces .
  http://www.reopen911.info/News/2014/03/06/comment-discrediter-lhypothese-de-la-nanothermite-au-wtc/
  Quand à Bigard il est pas expert , mais pas dupe comme certains .
  Au fait personne n’a répondu à sa question : Ils sont passés OU ? les morts de la grippe saisonnière , hein … OU ?
  
  Répondre
  1. miqueu dit :
    
    9 novembre 2021 à 18 h 30 min
    
    Et là
    http://lougris.over-blog.com/article-la-thermite-84020584.html
    Vous l’expliquez comment la 3ème tour écroulée sans avoir été percutée ?
    
    Répondre
    1. Marion dit :
      
      9 novembre 2021 à 18 h 34 min
      
      Site au top pour le 11/09, assez connu du reste. Ouvert dès le début, juste après : http://www.reopen911.info/
      
      Répondre
    2. Martinet dit :
      
      9 novembre 2021 à 19 h 17 min
      
      Le vent, car j’ai vu des chapeaux s’envoler.
      
      Répondre
  2. N'guyen dit :
    
    9 novembre 2021 à 18 h 53 min
    
    Le chacal ça lui va bien …
    Finalement vu le niveau , le passage en CM2 lui à été refusé !
    
    Répondre
3. lia dit :
  
  9 novembre 2021 à 20 h 42 min
  
  Ce sont des armes à énergie scalaires qui ont été utilisées comme l’a d’ailleurs démontré le Dr Judy Wood dans son ouvrage Where did the towers go ?
  https://www.youtube.com/watch?v=xST4_S8Qmak
  
  Répondre
Minus Habens dit :

9 novembre 2021 à 13 h 41 min

Vladimir Volkoff, « Petite histoire de la désinformation », Éditions du Rocher, 1998, pp. 116-120.

« Opération Neptune [eut réellement lieu, ndlr]

En mai 1964, les services spéciaux tchécoslovaques, supervisés par un « conseiller technique » soviétique, jetèrent quatre grandes caisses goudronnées dans les eaux du lac Noir, en Bohême. Elles étaient censées contenir la fameuse liste des collaborateurs tchèques disparue à Stechovice. L’objectif était triple : gêner la prescription des crimes de guerre nazis en 1965 ; raviver de mauvais souvenirs et déclencher une campagne anti-allemande en Europe occidentale ; gêner les activités des services de renseignement occidentaux en Tchécoslovaquie. Le lac Noir avait été choisi parce qu’il se trouvait sur l’itinéraire qui relie Berlin à la forteresse alpine de Hitler et qu’une bonne route y donnait accès.
Les informations contenues dans les caisses avaient été soigneusement cuisinées par le département D [du KGB (ndlr)] à partir d’archives tchécoslovaques inconnues du public. Comme les Tchécoslovaques n’avaient pas assez de documents nazis, les Soviétiques leur en fournirent un assortiment. Il fallut exclure tous ceux qui étaient déjà annotés par les Russes, en alphabet cyrillique.
Le stratagème était celui-ci.
La télévision tchécoslovaque devait tourner un film sous les eaux du lac Noir, et ce serait à elle de découvrir innocemment les caisses, qui seraient ensuite repêchées par des plongeurs du ministère de l’Intérieur et transportées à Prague, où leur contenu serait révélé au public.
Il était important de noyer les caisses pas trop loin du bord, pour qu’elles pussent être facilement retrouvées, mais à un endroit où elles ne seraient pas submergées par la vase. Un tel endroit avait été repéré. Les caisses furent abandonnées à une profondeur de dix mètres environ et recouvertes d’une mince couche de vase pour donner l’impression qu’elles se trouvaient là depuis longtemps.
L’équipe de télévision arriva en juin et, par chance, commença par découvrir un lot d’explosifs bien réels qui créa déjà une sensation et prépara le terrain psychologique. Puis, les caisses furent trouvées à leur tour. Le major Klika, qui avait participé à leur envoi par le fond, interdit qu’on y touchât, sous prétexte qu’elles pouvaient contenir des explosifs. Et la fête commença !
Le 4 juillet, l’agence de presse tchécoslovaque publia un communiqué du ministère de l’Intérieur, préparé naturellement par les soins de département D. Le lac fut interdit au public et les caisses repêchées. Le 16 juillet, un nouveau communiqué annonçait qu’elles contenaient des boîtes métalliques scellées, à l’intérieur desquelles on avait trouvé des papiers nazis qui avaient été remis à des experts. Le lac Noir fut rendu au public le 18 juillet.
Le ministre Strougal tint une conférence de presse. Un document scientifique sur l’ouverture des caisses, plein d’isotopes de cobalt et de déflectoscopies diverses, pour faire scientifique, fut remis aux journalistes. Strougal s’autorisa des documents pour attaquer les criminels de guerre encore en liberté et pour dénoncer leur complicité avec les services de renseignement occidentaux. Il fit état entre autres du journal de la princesse de Hohenlohe, fille de Max de Hohenlohe, accusé d’avoir été nazi. « Je crois que la publication de ce journal en Occident aurait de quoi inquiéter certains personnages importants… », précisa le ministre d’un ton menaçant. À propos de chaque document, il tint à peu près le même langage. La presse tchécoslovaque d’abord, la presse mondiale ensuite s’empara de l’affaire. Dans le monde entier, mais surtout en Allemagne, beaucoup de rescapés du nazisme, qui avaient réussi à se faire oublier, tremblèrent.
L’opération Neptune avait été menée à bien, elle allait rebondir. L’Autriche demanda copie d’une partie des documents et les publia. Ravis, les Soviétiques envoyèrent aux Tchécoslovaques un document de plus : le chancelier autrichien Kurt von Schuschnigg y promettait une fidélité absolue au Führer, au Troisième Reich et au peuple allemand. Cette déclaration était datée du 11 juin 1938, date à laquelle il se trouvait captif des Allemands. Elle allait servir à discréditer l’Österreichische Volkspartei qui allait se présenter aux élections de mars 1966. Malheureusement pour les désinformateurs, ce projet-ci ne réussit pas parce que les Tchécoslovaques tardèrent à publier le document. Il ne fut rendu public qu’en 1968, et Schuschnigg affirma que le texte de sa déclaration n’était pas conforme à l’original.
Les Tchécoslovaques entrèrent alors en contact avec une organisation consacrée à la poursuite des criminels de guerre en Allemagne, die Naziverfolgten. Résultat : une promesse de collaboration entre Bonn, Prague et Varsovie. Bonn exprima le souhait que d’autres pays se joignissent à cette entreprise et retarda la prescription des crimes de guerre jusqu’au 31 décembre 1969. Treize mille suspects étaient visés. Un résultat de plus.
Certains des documents traitaient de la répression de la Résistance en France. Ceux-là, tout naturellement passionnèrent les Français. La presse italienne s’intéressa aux fascistes italiens mentionnés dans les documents et s’inquiéta de savoir si certains agents nazis ne travaillaient pas maintenant pour le renseignement ouest-allemand. Encore des résultats.
Dans le sillage de l’opération Neptune, d’autres documents, qui n’avaient pas encore fait leur effet, bien qu’ils fussent connus, purent être relancés. On réalisa un film sur les plongées dans le lac Noir, et ce film fut particulièrement remarqué au festival de Leipzig. Un membre de l’agence de presse tchécoslovaque, sans du tout savoir qu’il s’agissait d’une opération de désinformation, fut nommé pour superviser ce qui concernait le lac Noir. Certains documents furent vendus à des éditeurs allemands, autrichiens ou italiens. Ainsi, ces éditeurs, au même titre que la presse, devenaient, en toute innocence, des relais de l’opération. Des documents concernant le massacre des populations juives furent remis à des organisations juives, qui en firent bon usage. La Commission pour la poursuite des crimes de guerre, laquelle était en sommeil, reprit ses travaux.
Sans utiliser un seul agent, sans courir le moindre risque et avec des dépenses minimales, le département D avait réussi une opération en cascade aux conséquences incommensurables avec les efforts fournis. »

Eh bien, l’actualité est pavée d' »opérations Neptune ».

Dès que j’aurai le temps, je donnerai un extrait de « l’Intoxication » de Pierre Nord.

M. H.

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Minus Habens dit :

9 novembre 2021 à 12 h 02 min

Sujet clé en effet, et vaste sujet. Sujet délicat également qui nécessite une grande formation et, où l’on n’est jamais sûr à 100 %, où même un « pro » aguerri n’est jamais à l’abri d’une erreur.
J’ai déjà eu l’occasion de le dire sur le présent site, qui, soit dit en passant, se démarque progressivement (en bien) de tous les autres comparables, le public conscient doit se former. Sinon, on avale n’importe quoi, et on le répète, agissant ainsi « en caisse de résonance » (Volkoff).
Par l’étude de deux maîtres : Vladimir Volkoff et Pierre Nord (nom de plume de l’ancien colonel du renseignement militaire André Brouillard. C’est pourquoi, je considère comme incontournable la lecture attentive des ouvrages suivants (pour commencer) :
A. Volkoff :
– Petite histoire de la désinformation, Éditions du Rocher, 1998. (À lire le premier).
– La désinformation, arme de guerre, L’Âge d’homme, 2004.
– Désinformation, flagrant délit, 1999, Éditions du Rocher, 2007.
– La désinformation vue de l’Est, Éditions du Rocher, 2007. Très profond.
– Le Montage, L’Âge d’homme, 1982. Son chef-d’œuvre1.
– Le Retournement, L’Âge d’homme, 1979.
B. Pierre Nord
L’intoxication, Fayard, Le Livre de poche, 1971.

L’intoxication n’est nullement « l’intox » des conversations de comptoir (du temps jadis). Voici sa définition par le maître :
« L’intoxication consiste à faire croire à l’adversaire ce qu’il faudrait qu’il croie pour être toujours surpris par l’événement, de la réalité – pour avoir constamment une vue fausse de la situation -, afin qu’il mène sa guerre ou sa politique en aveugle, puis en paralytique. » (pp. 23-24)
On peut l’élargir selon moi ainsi :
« L’intoxication (politique) est une opération psychologique visant typiquement les masses. Elle consiste à amener la masse cible dans un état de sidération propre à en prendre le contrôle, puis à lui faire absorber elle-même un poison psychique qui lui paraîtra être une réponse satisfaisante à la situation, mais qui lui sera fatal. »
Pour P. N. le plus grand agent d’intoxication de la période post-biblique fut Hitler. En effet, ce sont les Allemands eux-mêmes qui le placèrent au pouvoir et il conduisit l’Allemagne à sa destruction complète en tous les sens possibles et peut-être définitive.

Je donnerai un extrait de Volkoff dans un autre message.

M. H.

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1. Michel dit :
  
  9 novembre 2021 à 12 h 09 min
  
  C’est plus compliqué que ça pour Hitler, les financiers avaient déjà passablement appauvri le peuple allemand et la République de Weimar avait transformé la capitale berlinoise en Sodome et Gomorrhe.
  
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  1. lia dit :
    
    9 novembre 2021 à 13 h 32 min
    
    La technique est toujours la même pour le génocide des populations. Appauvrissement et « sauvetage », exactement la même tactique avec le confinement qui doit fragiliser les structures économiques; l’obligation de l’injection -en plus de permettre l’eugénisme en parallèle-, doit fracturer les populations entre elles, cette fois ci et non plus contre un envahisseur armé comme précédemment entre pro « vaccin » et anti « vaccin » comme actuellement, sans même parler du fait qu’il ,ne s’agit pas d’un vaccin…S’ajoutent les pro-pass et anti-pass. La peur via la propagande quotidienne engendre la désunion, faisant les choux gras des propriétaires de Blackrock et Vanguard:le puçage et la digitalisation.
    
    Pfizer et sa « pillule miracle » qui « guérit le corona (en réalité une attaque bactériologique) sont déjà un prélude de ce « sauvetage ». L’ultime mesure « salvatrice » sera le revenu universel, imaginé par l’ordre nazi de Davos et la fin de l’argent liquide. Le QR code est une échéance de ce programme fasciste où tout sera digitalisé et sous le contrôle total des quelques-uns qui gouvernent déjà en coulisses depuis 1871 et la création de la corporation de Washington District of Columbia.
    
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    1. Michel dit :
      
      9 novembre 2021 à 14 h 01 min
      
      Non, dans le cas de l’Allemagne il y a eu appauvrissement et attaque extérieure du pays et l’Allemagne a été obligé de répondre, son premier objectif a été de protéger son peuple et de relever son économie mais ça on ne le dit jamais. C’est étrange. On répète en boucle ce que nous dit arte sur le sujet, alors qu’on a mille et une preuve que ces médias ne sont pas fiables.
      Qui a déclaré la guerre à l’Allemagne ?
      
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      1. lia dit :
        
        9 novembre 2021 à 19 h 57 min
        
        « Non, dans le cas de l’Allemagne il y a eu appauvrissement et attaque extérieure du pays et l’Allemagne a été obligé de répondre, son premier objectif a été de protéger son peuple et de relever son économie mais ça on ne le dit jamais. »
        
        C’est évident qu’il y a eu attaque extérieure dans le cas de l’Allemagne, de la France et de tous les autres participants au combat. Dans chaque guerre, c’est le cas et chaque attaqué se défend. C’est bien le but: dresser deux ou plusieurs les uns contre les autres pour que d’autres -toujours les mêmes, retirent les marrons du feu.
        
        Cette fois-ci la guerre est directement faite aux peuples qui n’ont plus besoin d’agresseur extérieur. Restent les religions pour exciter les passions…
        
        De toutes façons, l’Allemagne devait perdre pour permettre la conquête économique du territoire européen et assurer la présence militaire de l’US corporation dès 1945.Tous les autres pays ont perdu aussi…La meilleure preuve étant les racines nazies de l’UE de Bruxelles… et l’instauration mondiale du fascisme transhumain et digital, le plan de la synagogue de Satan.
      2. Michel dit :
        
        9 novembre 2021 à 20 h 15 min
        
        et ceux qui ont gagné ont réécrit l’Histoire mais vous êtes plusieurs là à la réciter tels qu’ils vous l’ont apprise
      3. Michel dit :
        
        9 novembre 2021 à 20 h 18 min
        
        Qui a déclaré la guerre à l’Allemagne ?
    2. Michel dit :
      
      9 novembre 2021 à 14 h 10 min
      
      En plus c’est la république de weimar qui avait déjà instauré un régime dictatorial…
      Pourquoi jamais aucun reportage sérieux à la tv sur cette république ?
      Cherchez « Babylone avant Hitler » bah c’était pas joli joli.
      On ne nous dit pas tout sur cette affaire !!
      Moi j’ai l’impression qu’elle sert surtout à nos médias et à ceux qui occupent notre pays à condamner toute attitude ou revendication nationaliste, ce qui pousse les peuples à trouver normal d’être gouvernés par des anti-nationaux ou par de faux nationaux (zemmour) et après on se plaint de plus avoir de pays ? Que le pouvoir est à Bruxelles ? Que des grands groupes décident de tout chez nous ?
      Faudrait être cohérent 5 minutes.
      
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      1. N'guyen dit :
        
        9 novembre 2021 à 19 h 07 min
        
        Vous avez tous les deux raison .
  2. Canastra dit :
    
    9 novembre 2021 à 17 h 12 min
    
    Bien avant la 2e guerre mondiale, les banquiers ont confisqué du jour au lendemain les coffres de leurs clients. Après 7 ans de procédures judiciaires, les propriétaires ont récupéré, à la place de lingots d’or très pur, de l’or de moindre titrage, à la place des montres de luxe, des montres ordinaires, etc… les biens d’origine avaient disparu.
    L’inflation était telle qu’il fallait « une brouette de deutchmarks pour acheter une baguette de pain ».
    Oui, tout cela les financiers l’ont déjà fait.
    
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    1. lia dit :
      
      9 novembre 2021 à 20 h 06 min
      
      Paul Valéry très bien résumé la situation.
      « La guerre, c’est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas ».
      
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      1. Minus Habens dit :
        
        9 novembre 2021 à 21 h 54 min
        
        A propos du film « Joyeux Noël » où l’on voit des scènes de fraternisation entre soldats alliés et allemands lors de la première guerre mondiale, il a été dit (j’ai oublié l’auteur) avec pertinence : « Ils étaient deux, mais en fait ils étaient trois ». Le troisième, invisible, étant celui qui faisait s’entre-tuer les deux autres.
        https://www.youtube.com/watch?v=pPk9-AD7h3M
        L’abbé Olivier Rioult (https://www.lasapiniere.info/archives/tag/abbe-rioult), dans ses livres, expose très clairement le but principal de cette guerre et comment ses commanditaires sont parvenus à intoxiquer des peuples pacifiques pour qu’ils se fassent la guerre en vue de produire une « synthèse » attendue. Et cela a marché.
2. Palice dit :
  
  9 novembre 2021 à 13 h 06 min
  
  Ces auteurs écrivent avant l’internet. Actuellement, quand la radio diffuse son poison, on l’éteint et on cherche par soi-même hors des sentiers battus, dans les maquis bien plus étendus que les sites ou sévit la racaille en col blanc.
  
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lia dit :

9 novembre 2021 à 11 h 16 min

La candidature d’Eric Fiorile aux présidentielles de 2022 va sans doute déclencher une avalanche de mensonges.. comme cela fut le cas en 2015 suite à ses nombreux appels, systématiquement discrédités…
https://www.youtube.com/watch?v=nFwKHbWEukE

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Dubois dit :

9 novembre 2021 à 11 h 15 min

Ce qui est remarquable dans le sujet des fausses nouvelles, c’est qu’en prenant conscience de leur mécanismes, on réalise qu’elles ont toujours existé depuis notre naissance ,et même avant, dans des domaines ou l’on s’y attendait le moins….

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1. wo****@al*******.fr " class="url" rel="ugc external nofollow">lia dit :
  
  9 novembre 2021 à 13 h 08 min
  
  Les journaux ne donnent que l’avis de leur propriétaire: la fameuse ligne éditoriale…
  
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