Aix-en-Provence : une manifestation en « hommage aux victimes de l’injection » désertée par les médias mainstream

Cette mère de famille est vraiment déterminée. Le 18 novembre 2023, Michèle Musso, avec l’aide du collectif No pass Aix et de Dominique Baudinaud, père endeuillé comme elle, a organisé à Aix-en-Provence une manifestation « en hommage aux victimes de l’injection » dont fait partie sa fille, Eva, âgée de 30 ans. Rappelons que pour la première fois en France, un lien de causalité a été établi par un rapport d’expertise médicale d’anapath entre l’injection Pfizer et le décès de la jeune femme. Pourtant, aucun média dit « officiel » ne s’est déplacé le jour de l’évènement et n’a contacté Michèle pour l’interviewer à ce sujet.

◆ L’occasion de se rassemblerParents de victimes, victimes elles-mêmes comme Laure Mazeas ou Mélanie Maupas, et intervenants se sont rassemblés non seulement pour rendre hommage aux victimes, mais aussi pour parler de la question majeure des effets secondaires post-vaccinaux indésirables graves et notamment de la difficulté à les faire reconnaître en tant que tels.

◆ Des médias « officiels » aux abonnés absents

S’il est difficile de faire reconnaître officiellement leur existence, il est également difficile d’en entendre parler dans les médias dits « mainstream », alors que ces derniers sont plus que les bienvenus. D’après Michèle Musso, le journal local La Provence avait dit qu’ils viendraient le 18 novembre, mais il n’en a rien été. « Seuls les médias indépendants se sont déplacés », nous explique-t-elle. Pourquoi une telle omerta médiatique ? Un tel désintérêt pour ce sujet crucial de la part des médias « mainstream » ? L’obéissance servile aux ordres de la direction ? La peur d’être catalogués comme « complotistes » ? La conviction que les effets secondaires post-vaccinaux aussi graves n’existent pas ? L’indifférence à leur existence ? Un évènement jugé plus important à couvrir ?

◆ Des indépendants motivés

Concentrons-nous sur celles et ceux qui ont la volonté et la possibilité de se rendre sur place et grâce à qui nous pouvons avoir une idée de ce qui s’est dit ce jour-là, journalistes ou pas, comme Vécu, Chloé Frammery, L’âme Guerrière, Matthieu Mustica, ou encore Denis Agret.

👉 Voir l’évènement sur la page de Vécu :

Vidéo à voir sur ce lien : Facebook

◆ Un chemin qui ne fait que commencer

Michèle Musso a lancé sa première plainte en 2022. Depuis, rien ne l’a arrêtée pour faire reconnaître le lien entre le décès de sa fille Eva et le vaccin Pfizer, ce qui a enfin été le cas en septembre 2023. Alors, médias officiels ou pas, elle continuera à porter le flambeau désormais en tant que présidente de l’association « Les parents désenfantés », avec Dominique Baudinaud, qui a également perdu sa fille, après l’injection du vaccin Moderna cette fois, et qui en sera le vice-président.


Photo Mélanie Maupas et Dominique Baudinaud par Laure Mazeas

◆ « Prenez soin de vos enfants »

Michèle Musso a clôturé l’évènement du 18 novembre en lançant un appel à toutes les mamans comme elle, afin qu’elles évitent de faire vacciner leurs enfants dès qu’elles le peuvent : « On peut me traiter d’antivax, je m’en fous. […] J’irai jusqu’au bout pour vos enfants, vos petits-enfants. Moi, je n’ai pas de petits-enfants. Mon combat, aujourd’hui, je le mènerai jusqu’à la mort. […] Moi, je ne travaille pas en sous-marin, je suis un électron libre et je tiens à le rester, et si je dois partir, je veillerai sur vous comme ma fille veille sur vous. […] Aujourd’hui, je travaille 17 heures par jour pour la cause. Je suis fatiguée, épuisée, mais je continuerai. Je continuerai parce que, sur mon chemin, on m’a mis vraiment de belles personnes : le Dr Agret, mes avocats, parce que, sans eux, je ne suis rien. »

« Le 29 septembre, lorsque j’ai obtenu mon dernier rapport de l’anapath, je peux vous dire que c’était ma première victoire. Alors, je n’ai pas gagné la guerre encore, j’ai gagné une bataille et je dois continuer pour vous, pour vos enfants, pour vos petits-enfants. […] Dans mes veines coule le sang de plusieurs races, et je pense que c’est ce mélange qui fait que je suis humaine. Je vous demande, à toutes les mamans, encore une fois, prenez soin de vos enfants. Moi, j’ai essayé, mais je n’y suis pas arrivée. Quelque part, je me sens aussi coupable, de ne pas avoir pu protéger mon enfant. Mais je pense qu’aujourd’hui, elle vit, elle vit en moi. […] Cette force, c’est à elle que je la dois. »

Article par Estelle Brattesani

Source : Nexus

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