Affaire Brigitte Macron : plainte pénale pour usurpation d’identité ! (3 vidéos + Plainte )
Jean-Dominique Michel (Anthropo-logiques)
18 déc. 2024 La vindicte de Brigitte, épouse Macron, contre ceux qui expriment les doutes sérieux qu’il y a lieu d’avoir sur son identité et le détournement de mineur évident auquel elle s’est livrée sur la personne du « chef de l’État » est intéressante. Si elle peut actuellement faire délivrer des « lettres de cachet » à sa guise, l’intéressée attire l’attention sur ce qu’elle cherche à cacher par ses outrances aussi bien que ses manœuvres dilatoires. La « presse » lèche et bêle (comme Hanouna), mais des citoyens courageux n’en restent pas là : plainte pénale vient d’être déposée pour, entre autres, usurpation d’identité, faux et crime de faux par représentant de l’État, atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité, et crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation. Intéressant, non ?! Émission du 18 décembre 2024. Lien vers la page de M. Christian Cotten : https://x.com/CottenPolvie/status/186…
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FIN DE PARTIE POUR JEAN MICHEL -13 12 24- Plainte avec CPC devant le Doyen des Juges d’Instruction.
15 déc. 2024 PARIS Plainte contre X avec constitution de partie civile devant Mme ou M. le Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris. Paris, le vendredi 13 décembre 2024 Nous avons besoin de votre soutien et de votre participation : https://www.helloasso.com/association… Aux motifs de : 1. Usurpation d’identité. 2. Crime de faux par représentant de l’État. 3. Usage de faux. 4. Atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité. 5. Mariage illégal. 6. Usurpation de fonctions. 7. Escroquerie au jugement. 8. Crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation. Partie civile M. Christian Cotten, psychosociologue retraité, 75020 PARIS, ch**************@pr********.com, 06 17 40 38 05.
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Dépôt de plainte dans l’affaire Brichel, la justice devra établir la vérité sur Jean-Michel Trogneux
16 déc. 2024 Les plaintes s’accumulent contre Macron.
Affaire Brichel : Les chercheurs de vérité contre-attaquent sur le terrain judiciaire. En préambule à la présente vidéo, cette information très importante, qui émane de Christian Cotten : il a déposé plainte contre X, à propos de « l’affaire » Jean-Michel Trogneux, et demande à la justice de se prononcer sur les allégations qui le concernent. Les motifs de la plainte figurent dans le descriptif de la vidéo de Christian Cotten. Lien : • FIN DE PARTIE POUR JEAN MICHEL -13 12…
En perdition, Macron, probablement irrité d’avoir dû nommer Bayrou, sous la menace ou le chantage (c’est ce qui se dit), a déclenché une vague d’arrestations, entre les 12 et 13 décembre, contre trente personnes, dont les propos ont déplu à… Brigitte Macron. Quatre d’entre elles, dont le « dérangeant » (pour le pouvoir) ‘écrivain Zoé Sagan, sont visées par une plainte. Une campagne de répression et d’intimidation contre les réfractaires à son emprise, qui trahit l’extrême fébrilité de Macron, assis sur un siège éjectable, avec la certitude de lourdes procédures judicaires qui l’attendent. Lequel Macron s’en est également pris indirectement ou directement à deux avocats : Régis de Castelnau et le « perturbant » (pour Macron) Juan Branco, qui l’insupporte au plus haut point !
Génocide et crimes contre l’humanité : Macron, qui est visé par, notamment, deux lourdes plaintes pénales, n’est pas protégé par son immunité présidentielle. Le premier alinéa de l’article 67 de la Constitution consacre le principe de l’irresponsabilité du Président de la République pour les actes accomplis dans l’exercice de ses fonctions. Deux exceptions sont cependant prévues par le même alinéa : 1) La condamnation du chef de l’État par la Cour pénale internationale (art. 53-2 de la Constitution) en cas de crimes de génocide, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre ou d’agression ; 2) La destitution du chef de l’État par le Parlement constitué en Haute Cour en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat (art. 68 de la Constitution).
« Rien ne s’oppose et tout contraint à poursuivre un chef d’Etat en exercice s’il est reconnu auteur ou complice de crimes internationaux, parmi lesquels les actes de terrorisme. Ces faits ne sauraient être couverts par les immunités ou privilèges traditionnellement accordés aux dirigeants d’Etat et de gouvernement, leur responsabilité pénale individuelle pouvant alors être engagée. Tel est le sens de l’arrêt de la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Paris du 20 octobre 2000 qui se fonde, à bon droit, sur l’absolu respect des droits de la personne (jus cogens) et sur le fait que l’immunité juridictionnelle ne résulte d’aucun texte écrit. Avec cette décision capitale, c’est un nouveau pas qui est franchi contre l’impunité. » Source : La responsabilité pénale des dirigeants en exercice, par Ghislaine Doucet, docteur en contentieux. http://www.ridi.org/adi/200101a2.htm
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