ACLIENNE NUMÉRO 3 bis

PRENONS EXEMPLE

Nous avons tous dans notre collimateur personnel des groupuscules de haut vol en compétition qui nous gouvernent. Eux-mêmes se tirent dans les pattes pour acquérir le pouvoir suprême. De ce fait, ils nous offrent malgré eux des portes dérobées. A nous de profiter de ces opportunités.

Quel que soit leur titre, leur influence, leur réseau, ils nous donnent tous l’exemple de solidarité dans leur groupe. Là réside leur point fort qui fait leur force à travers l’histoire. En leur sein, nul n’est abandonné même si un membre s’avère grandement fautif dans l’espace public. Il sera protégé, secouru, extirpé de sa mélasse.

Nous, qui sommes plus malins que les autres, nous sommes incapables de calquer cette vision du monde, cette solidarité, cet esprit de corps entre nous. C’est la raison essentielle de notre faiblesse patente. Si ces groupes d’influence ont fait leur credo à partir de l’adage « L’union fait la force » ce n’est pas pour rien. Ils ont bien compris que seul on ne va pas loin. Ils ont abandonné depuis des lustres l’individualisme, mère de toutes les dérives contre-productives.

Arrêtons de nous cabrer, se prétendre « droit dans nos bottes » alors que nous y sommes à côté. Il nous faut focaliser sur le bien commun, l’intérêt général, pas sur des détails de secondes zones chronophages qui débouchent fatalement sur le renoncement, la désillusion, l’abattement. Il nous faut sûrement relire « Le Prince » de Machiavel ou « L’art de la guerre » de Sun Tzu pour appréhender correctement les luttes actuelles et futures. Se tromper d’ennemis ou de champ de bataille est une faute très grave. Elle explique sans doute en partie notre peu d’influence dans la société.

DdG

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