Nous sommes en contact avec l’association Italienne « Operatori Sicurezza Associati »

Cette association est composée de membres de la police, des forces armées et de toutes les catégories qui contribuent à la sécurité et à l’ordre public (Police d’État, Carabinieri, Guardia di Finanza, Brigade des pompiers, Police pénitentiaire, Armée de terre, Armée de l’air, Marine, Corps forestier, Police locale)

L’Union faisant notre Force, nous espérons que cette franche collaboration nous permettra ensemble de vaincre cette « PLANDÉMIE », voulue et mise en place par l’oligarchie du monde entier, et que la VÉRITÉ finira par émerger et que « Pour le bonheur de TOUS, solidaire de la vie de chaque UN… »

Membres de l’Association : 1.660
(mis à jour périodiquement)

L’association Operatori di Sicurezza Associati (O.S.A.) est composée de membres de la police, des forces armées et de toutes les catégories qui contribuent à la sécurité et à l’ordre public.

Police d’État, Carabinieri, Guardia di Finanza, Brigade des pompiers, Police pénitentiaire, Armée de terre, Armée de l’air, Marine, Corps forestier, Police locale, …

Promouvoir et diffuser la culture de la légalité, de la sécurité et de la justice dans toutes les sphères culturelles et sociales.

Notre devise est :

Nous nous engageons à défendre les valeurs, les dictats et les principes de la Constitution de la République italienne. 🇮🇹

STATUTS

Pour consulter l’acte constitutif et les statuts de l’association, cliquez ICI.


ORGANIGRAM

Président : SALVATORI GIANLUCA (DRAGO)
Vice-président adjoint : BIANCHI REMO

Vice-président : LEOPIZZI LEONARDO
Vice-président : CELLAMARE LUCA

Trésorier : BALDAZZI SIMONETTA

Conseiller : PASCARELLA RAFFAELE
Directeur : PINNA LEANDRA
Directeur : RANZETTI MORENO
Directeur : BARILLARI BRUNO
Directeur : LADISA GENNARO

RECHERCHE D’EFFETS INDÉSIRABLES SUR : WWW.EUROMOMO.EU
27 novembre 2021 OSA Italie

      Soyons réalistes, ce qui pousse certaines personnes à rejeter ces thérapies géniques préventives expérimentales (car les vaccins n'en sont pas.

Avouons-le, ce qui pousse certains à rejeter ces thérapies géniques préventives expérimentales (car ce ne sont pas des vaccins), c’est la crainte, plus que légitimée par une partie absolument autorisée du monde scientifique, d’effets secondaires graves, dont on ignore encore absolument tout, en particulier ceux à moyen et long terme. La censure de toute opinion négative sur la « campagne de vaccination » acclamée est cependant telle que le courant dominant a effacé les mots « effets indésirables » même de la bouche des no-vax, qui sont ainsi décrits avec une attitude antiscientifique superficielle et idiote, à la limite du handicap mental, ne méritant même pas de faire partie de la société. Après plus de 90 millions de doses injectées en Italie, existe-t-il un moyen de vérifier si des effets indésirables aussi graves existent réellement ? Au moins à court terme ?

La pharmacovigilance des « vaccins » pour le covid19 étant de type passif, bien qu’ayant déjà montré un nombre inquiétant de décès et d’effets indésirables, elle se caractérise par une très forte tendance à sous-estimer les effets indésirables (sans parler de celui de l’Italie, l’un des plus sous-estimés d’Europe [ii], et pour lequel il faut s’attendre à peu de transparence [iii]). En effet, combien de ceux qui perdent un proche après une vaccination prennent la peine de signaler le cas à l’AIFA, ou d’exiger que le médecin le fasse, même lorsque celui-ci objecte que le signalement est inutile ou infondé, et combien sont convaincus que le décès serait survenu de toute façon, surtout dans le cas de personnes âgées atteintes d’autres maladies ?

Un autre problème de la médecine de surveillance passive est également que, même si le rapport est effectivement établi, il n’atteste qu’une corrélation temporelle entre le vaccin et le décès (comme l’a déclaré le virologue Bassetti pour défendre le vaccin AstraZeneca immédiatement après la mort de Camilla Canepa [iv]) et non une corrélation causale, qui, d’un point de vue médico-légal, devra émerger d’un bourbier sans fin d’opinions et de contre-opinions d’experts. C’est encore pire pour les effets indésirables non mortels, car une lésion non mortelle mais irréparable d’un organe causée par l’un de ces « vaccins » pourrait en fait rester latente et ne se révéler que lorsqu’une deuxième cause de lésion s’ajoute plusieurs années plus tard ; et même si cette lésion non mortelle se manifestait immédiatement, par exemple par une crise cardiaque non mortelle, il serait difficile de procéder à des autopsies pour rechercher des infiltrations lymphocytaires microscopiques multi-organes chez des personnes encore en vie !

Une considération ici est utile. Même si la plupart des effets indésirables causés par les vaccins échappent à l’œil négligent de la vigilance pharmaceutique, ils finissent forcément par se retrouver dans le décompte général. Les statistiques I.S.T.A.T. sur les infarctus, les accidents vasculaires cérébraux, les paralysies, les cécités, les maladies auto-immunes (y compris la sclérose en plaques), etc. etc., dont on peut déduire indirectement les effets indésirables, viendront dans des années, mais sur le site www.euromomo.eu maintenu au Danemark, on peut trouver la situation actualisée des décès signalés chaque semaine par plusieurs pays européens, dont l’Italie. Ceux-ci contiennent donc, évidemment, aussi les décès dus au vaccin, et il est clair que si ces derniers sont nombreux, la différence avec le nombre général de décès dans la période pré-vaccinale et pré-covidale pourrait aussi être remarquée.
En regardant la page des graphiques et des cartes du site www.euromomo.ue [v], on a l’impression de voir pour la première fois la vérité toute nue sur la pandémie, débarrassée des titres des journaux, du bavardage des politiciens et des télé-virologues ; aussi sec et essentiel qu’un électrocardiogramme, comme la trace inquiétante d’un sismographe. Dans un certain sens, nous sommes aussi devant l’histoire, devant les données qui seront écrites dans les livres d’histoire des écoles, et dont on continuera à parler dans le futur, qui sait combien de temps.

En faisant défiler la page, de nombreux graphiques relatifs à la tranche d’âge « 15-44 ans » montrent une tendance des décès en 2020 en ligne avec les années précédentes. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est que dans certains pays, tout semble être régulier, même dans la tranche d’âge des « 65 ans et plus ». Je ne connais pas les situations dans les autres pays et je ne m’en mêle pas, je ne suis là que pour trouver des preuves éventuelles des effets mortels de la vaccination, donc je reviens à la tranche d’âge 15-44 ans (car on sait que l’âge moyen des effets indésirables du vaccin est bien inférieur à celui des décès avec covid19 [vi] qui est plutôt du début des années 80/81) et je me concentre sur l’année 2021. A première vue, tout semble normal, mais je constate alors que la baisse concave de mortalité des périodes estivales 2019, 2020, et tout compte fait 2018, n’est pas là en 2021 !

Contact

pour nous contacter voici toutes les références de l’Association.
Opérateurs de sécurité associés APS
(également abrégé OSA APS)

Courriel : in**@os*******.org
Siège social : ROME
C.F. 96502550583

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