Affaire CHASSARD : une garde à vue pour intimider ?
Les 24 et 25 février 2025, Jocelyne Chassard a été gardée à vue pendant 24 heures dans une gendarmerie de la Marne, avant d’être déférée devant le Parquet du tribunal judiciaire de Reims. Elle nous fait le récit de cette nouvelle péripétie et propose son interprétation.
- Le jour de la convocation : vendredi 21 février 2025
Ce vendredi 21 février 2025 à 12h., la sonnette de mon appartement retentit. J’ouvre la porte et manque d’éclater de rire : deux gendarmes sont face à moi et l’un d’eux, que je connais depuis ma garde à vue du 6 octobre 2021 – provoquée par mon slogan historico-politique du 12 septembre 2020 : « Macron Destitution, Macron Décapitation, Macron Explosion ! » – tient à la main une feuille imprimée. Ce gendarme A. sourit lui aussi car nous comprenons tous les deux que la feuille qu’il tient est une convocation et que je vais de nouveau passer quelques heures à répondre à des questions suite à une nouvelle plainte de mes adversaires…
Effectivement, j’apprends que je vais devoir me rendre, le lundi 24 février 2025 à 8h.30, à la gendarmerie de Mourmelon-le-Grand, pour être gardée à vue (possiblement 24 heures) et répondre de quatre infractions. Je signe la convocation à 12h.10, après avoir parié avec le gendarme A. que c’est le juge administratif prévaricateur Olivier Nizet qui est à l’origine de cette plainte : mais je devrai attendre encore 1 jour et demi pour en avoir confirmation.
Dans les heures suivantes, j’envoie quelques courriels pour tenter d’obtenir une ou un avocat de permanence pour m’assister lors de l’audition le 24 février : je n’aurai pas de réponse, mais j’apprendrai que la procureure du tribunal judiciaire (ou TJ) de Châlons-en-Champagne, Mme Annick Browne, se serait dessaisie de cette plainte au profit du procureur du tribunal judiciaire de Reims, M. François Schneider. Je pense que ce »passage de relais » n’est pas simplement dû au désir de Mme Browne d’apparaître comme »impartiale » vis-à-vis de moi…

Et je décide de publier une capsule vidéo sur mon compte Tiktok pour garder une trace de ce que je considère être une nouvelle attaque de mes »adversaires », les quatre juges administratifs dont je dénonce la partialité, la prévarication et le Déni de justice depuis 2021 : Olivier Nizet et Antoine Deschamps (tribunal administratif, ou TA, de Châlons-en-Champagne) ainsi que Eric Meisse et Christophe Wurtz (cour administrative d’appel, ou CAA, de Nancy).
- L’arrivée à la gendarmerie le 24 février 2025.

Le lundi 24 février 2025, j’arrive à 8h.30 à Mourmelon-le-Grand et je suis accueillie par le gendarme A. et la gendarme B. : je ne la connais pas et apprends que c’est elle qui va mener mon audition. Elle téléphone au barreau des avocats de Châlons-en-Champagne pour demander un.e avocat.e de permanence : personne ne répond et finalement, au bout de 10 minutes, je décide de commencer l’audition car je me sens en confiance avec les gendarmes A. et B. et je sais que je ne dirai que la vérité.
Cette audition va durer de 9h. à 16h.30 environ, entrecoupée de quatre temps de repos de quelques minutes. À un moment, l’audition est suspendue car un médecin psychiatre est arrivé : le gendarme A. savait que j’allais refuser cette expertise psychiatrique mais je dois quand même saluer ce médecin et confirmer officiellement mon refus. Plus tard, les gendarmes me proposeront de me restaurer mais je n’ai pas du tout faim : je veux rester concentrée pour répondre aux questions le plus précisément et clairement possible et j’accepterai seulement deux tasses de thé.
Sans faire le récit détaillé de ces six heures, voici les points marquants de mon audition :
- les quatre infractions qui me sont reprochées sont : outrage à magistrat, atteinte à l’autorité judiciaire par discrédit jeté sur une décision de justice, dénonciation calomnieuse et harcèlement moral ayant causé une dégradation des conditions de vie.
- Il y a trois plaignant.es, dont deux qui ne m’étonnent pas : Olivier Nizet et Eric Meisse ont déjà porté contre moi une plainte en Diffamation publique le 19 septembre 2023 et cette procédure fera l’objet d’une audience de jugement au tribunal judiciaire de Paris le 9 janvier 2026.

- Le nom de la 3ème plaignante me stupéfie : il s’agit de la rapporteure publique de la 3ème chambre du TA de Châlons-en-Champagne, Stéphanie Lambing. C’est elle qui, lors de l’audience du mardi 17 octobre 2023 pour examiner mon recours contre ma seconde révocation de 2021, avait refusé de proposer à la formation de jugement de prendre des mesures d’instruction auprès du rectorat de l’académie de Reims afin de vérifier mes allégations de Faux dans mon dossier administratif et afin d’obliger le rectorat à communiquer 14 documents administratifs, dont 5 directement liés à la procédure disciplinaire de 2019 dont je contestais la légalité.
Stéphanie Lambing avait cependant été contrainte quelques mois plus tard, le 20 février 2024, toujours lors d’une audience au TA de Châlons-en-Champagne, de reconnaître que le rectorat de Reims avait bien l’obligation légale de me communiquer ces documents… Mais elle avait néanmoins eu la bienveillance de proposer au rectorat un délai de deux mois pour faire cette communication, alors même que le rectorat me refusait illégalement ces documents depuis plus de 5 ans…
Apprendre que Stéphanie Lambing m’accuse de l’avoir outragée et calomniée me fait presque éclater de rire : je n’ai consacré à cette individue que deux capsules Tiktok et une vidéo sur ma chaîne Youtube, le 23 octobre 2024 : https://www.youtube.com/watch?v=1sZajw_XJxI ; et je n’ai envoyé à la Mission d’Inspection des Juridictions administratives (MIJA) qu’un seul courriel, le 24 octobre 2023, pour signaler soit l’ignorance de cette »magistrate » quant aux injonctions d’instruction, soit sa partialité manifeste envers le rectorat de Reims. ( Voir ce courriel sur le lien suivant : 2023-24 octobre )
- À chaque réponse que je donne à la gendarme B. pendant les 6 heures d’audition, j’insiste sur le fait que je ne cesse, depuis quatre années, d’exposer de quelle façon les 4 »Dalton de la justice administrative » ont délibérément refusé d’utiliser leurs pouvoirs d’instruction afin de vérifier la véracité des reproches du rectorat de Reims contre moi en 2019, afin de vérifier la légalité de la procédure disciplinaire engagée contre moi en 2019 et afin de vérifier mes allégations de Faux contre le directeur des ressources humaines du rectorat de Reims, Cyrille Bourgery, qui a commis ou fait commettre une manipulation frauduleuse dans mon dossier administratif en avril-mai 2019, avant mon conseil de discipline du 21 mai 2019. Et j’insiste sur le fait que, à ce jour et à ma connaissance, ni la procureure Annick Browne(TJ de Châlons-en-Champagne) ni le procureur François Schneider (TJ de Reims) ni le procureur François Capin-Dulhoste (TJ de Nancy) n’ont ouvert d’enquête suite à mes propres plaintes pour Déni de justice et pour Faux et n’ont convoqué Olivier Nizet, Antoine Deschamps, Cyrille Bourgery et Eric Meisse pour répondre à mes propres accusations.
- Fin de l’audition et Nuit en cellule du 24 au 25 février 2025.
Vers 16h.30, je signe de façon électronique la douzaine de pages du procès-verbal et les gendarmes A. et B. m’indiquent qu’ils vont téléphoner au Parquet de Reims pour savoir si je peux être déférée en fin d’après-midi : le Parquet est l’ensemble des magistrat.es qui s’occupent de poursuivre les auteur.es des infractions et de faire respecter la loi au nom de la société. Dans mon cas, il s’agit du procureur du TJ de Reims François Schneider. Vers 17h., j’apprends que mon déferrement (le fait d’être transportée au TJ de Reims et présentée devant le Parquet) est reporté au lendemain matin entre 9h. et 9h.30 : et je comprends que, puisque je suis en garde à vue, je vais devoir passer une nuit en cellule à la gendarmerie de Mourmelon-le-Grand, ce que je n’avais pas prévu !
Heureusement, la propreté des locaux de cette gendarmerie est au même niveau que la correction et le respect des gendarmes qui y travaillent ! Après une collation à 19h., j’ai passé une nuit convenable, mieux que sur une couchette dans un train de nuit, avec deux chaudes couvertures et extinction de la lumière, ce qui n’avait pas été le cas au commissariat de police de Reims le 15 décembre 2021…
- Déferrement au tribunal judiciaire de Reims le 25 février 2025.
Le transport en voiture accompagnée des deux gendarmes A. et C. Ils sont obligés, selon les règles de la garde à vue, de me passer les menottes aux poignets depuis la sortie de la gendarmerie jusqu’à l’arrivée au tribunal vers 9h. : nous entrons par une petite porte sur un côté du bâtiment, réservée aux prévenu.es, et nous attendons dans une petite pièce froide que l’avocat qui a été commis d’office pour m’assister arrive.

Lorsque Me G. se présente enfin, les menottes me sont enlevées pour que je puisse lui parler en privé dans une pièce trois fois plus petite avec juste deux chaises. J’explique à Me G. pourquoi j’ai refusé l’expertise psychiatrique et je lui confie que, selon moi, la plainte de O. Nizet, E. Meisse et S. Lambing est une tentative d’intimidation puisque j’accuse les deux premiers de Déni de justice, et que l’objectif de ces »magistrat.es » pourrait bien être de m’empêcher de publier des vidéos sur ma chaîne Canal JAC-K jusqu’à l’audience de jugement au tribunal judiciaire de Paris le 9 janvier 2026. Me G. me donne trois conseils, dont deux vont se révéler bons.
Une fois notre entretien fini, nous nous nous rendons, toujours escortés par les gendarmes A. et C., devant le bureau de la vice-procureure. Après quelques minutes d’attente, un homme aux cheveux gris sort de son bureau : c’est le procureur François Schneider, celui-là même qui a depuis l’été 2023 mes trois plaintes contre le rectorat de Reims (Harcèlement moral professionnel) et contre le DRH cyrille Bourgery (Faux et Dénonciation calomnieuse) et qui ne m’en a donné jusqu’ici aucune nouvelle…
Le passage devant la vice-procureure Mathilde Campagnie est rapide : elle sait que je conteste les quatre infractions dont je suis accusée, je déclare avoir donné toutes les informations nécessaires lors de mon audition à la gendarmerie la veille, elle m’annonce que je passerai en audience correctionnelle le 17 juin 2025 et qu’en attendant elle veut me placer sous un contrôle judiciaire avec 3 conditions : obligation de soins (voir un médecin chaque mois), interdiction de contacter O. Nizet, E. Meisse et S. Lambing et interdiction pendant 6 mois de publier sur ma chaîne Canal JAC-K et mon compte Tiktok. Je signe le procès-verbal de convocation.
Nous allons ensuite rencontrer la juge des libertés et de la détention (JLD) : c’est une vraie juge (car si les procureur.es sont des magistrat.es, ils et elles ne sont pas des juges au sens de l’article 5§3 de la Convention européenne de sauvegarde des Droits humains…) qui va décider de garder ou non les 3 conditions du contrôle judiciaire proposées par la vice-procureure. Elle m’explique pourquoi elle garde les deux premières conditions et elle rejette la troisième. À ce moment-là, je pense sincèrement qu’il sera plus pertinent pour moi de ne pas faire de vidéo sur la plainte de O. Nizet, E. Meisse et S. Lambing avant le procès du 17 juin 2025 et je dis à la juge. Mais dès le lendemain, je me rendrai compte que je n’ai aucune raison de me bâillonner moi-même, étant présumée innocente jusqu’au jour de ma »condamnation » ! Après avoir signé le procès-verbal, je sors de son bureau avec Me G. et les gendarmes A. et C. un peu avant midi : ma garde à vue et mon déferrement viennent officiellement de prendre fin.
Les gendarmes A. et C. me ramènent à la gendarmerie de Mourmelon-le-Grand et je repars ensuite vers Suippes : je n’avais pas prévu que j’aurais besoin d’une semaine de récupération nerveuse et morale avant de pouvoir faire une vidéo pour faire un bref bilan de cette péripétie…
- Mon interprétation personnelle.
Je suis convaincue que Olivier Nizet et Eric Meisse ne sont pas tranquilles à la perspective du procès qui se tiendra le 9 janvier 2026 devant la 17ème chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris : ils savent bien tous les deux que je pourrai aisément prouver le Déni de justice qu’ils ont commis à mon encontre depuis l’année 2021, lorsqu’ils ont pris connaissance de mes demandes pour prendre des mesures d’instruction et lorsqu’ils les ont délibérément ignorées jusqu’en septembre 2023, au mépris de la jurisprudence du Conseil d’État, le plus haut niveau de la juridiction administrative en France.
Je suis convaincue que Olivier Nizet est très embarrassé par la publication sur ma chaîne Canal JAC-K, le 6 janvier dernier, de l’enregistrement vidéo clandestin de mon interpellation publique du 22 juin 2021 : ce jour-là, devant une vingtaine de personnes dans la salle d’audience du TA de Châlons-en-Champagne, je l’ai explicitement accusé d’avoir bafoué mes droits de justiciable, d’avoir refusé d’accomplir son devoir d’instruction et d’être objectivement devenu le complice des délinquant.es en col blanc du rectorat de Reims qui avaient organisé contre moi, depuis le printemps 2016, une entreprise de harcèlement moral professionnel. Et ce jour-là, pendant les 6 longues minutes où je l’ai interpellé, O. Nizet n’a rien nié, il n’a pas ouvert la bouche, il ne m’a pas interrompue et il a gardé la tête et les yeux baissés. Toute personne connaissant l’expression « Qui ne dit mot consent » pourra en tirer ses conclusions…
Je suis convaincue que mes adversaires tentent de m’intimider, de me bâillonner, de m’effondrer psychologiquement ou de m’asphyxier financièrement : malheureusement pour eux, mon combat pour le Droit, la Justice et la Vérité est celui de David contre Goliath. Le procès du 17 juin 2025 à Reims sera une bonne répétition de l’audience du 9 janvier 2026 à Paris, et en attendant je compte bien publier d’autres articles et vidéos pour faire connaître d’autres facettes de la prévarication des 4 »Dalton de la justice administrative » et de l’illégalité de la procédure disciplinaire engagée contre moi en 2019 par quelques hiérarques délinquant.es du rectorat de Reims.
Jocelyne Chassard,
Citoyenne de la République française et Justiciable en lutte pour la défense de ses droits.
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Tous les articles de Profession Gendarme sur l’Affaire Chassard depuis août 2023 :
- Entretien en direct avec Stéphanie Reynaud le 18 août 2023 : https://www.profession-gendarme.com/le-direct-avec-jocelyne-chassard-enseignante-harcelement-moral-et-deni-de-justice/
- 1er article le 20 août 2023 : https://www.profession-gendarme.com/le-d-r-h-du-rectorat-de-reims-accuse-de-faux-et-usage-de-faux/
- 2° article le 26 août 2023 : https://www.profession-gendarme.com/plainte-contre-le-d-r-h-du-rectorat-de-reims-pour-denonciation-calomnieuse-et-complicite-de-harcelement-moral/
- 3° article le 5 septembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/olivier-brandouy-ex-recteur-dacademie-de-reims-hors-la-loi/
- 4° article le 6 septembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/aidez-nous-a-reveler-le-harcelement-institutionnel-de-leducation-nationale-contre-des-enseignant-es-trop-integres/
- 5° article le 19 septembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/jocelyne-chassard-professeure-certifiee-en-documentation-depuis-32-ans-sadresse-a-elise-lucet/
- 6° article le 26 septembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/jocelyne-chassard-pour-le-droit-la-justice-et-la-verite/
- 7° article le 2 novembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/le-devoir-dinstruction/
- 8° article le 8 novembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/cyrille-bourgery-d-r-h-delinquant-du-rectorat-de-reims/
- 9° article le 12 novembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/laffaire-chassard-professeur-en-documentation/
- 10° article le 17 novembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-jocelyne-repond-a-vos-commentaires/
- 11° article le 11 décembre 2023 : https://www.profession-gendarme.com/est-ce-pour-proteger-le-juge-e-meisse-que-la-substitute-nora-nhari-ignore-larticle-r155-du-code-de-procedure-penale/
- 12° article le 8 mars 2024 : https://www.profession-gendarme.com/t-a-de-chalons-en-champagne-51-deshonneur-de-la-justice-administrative/
- 13° article le 12 mars 2024 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-jocelyne-chassard-un-juge-administratif-refuse-dutiliser-ses-pouvoirs-dinstruction/
- 14° article le 16 mars 2024 : https://www.profession-gendarme.com/laffaire-chassard-ou-limposture-de-la-justice-administrative/
- 15° article le 2 avril 2024 : https://www.profession-gendarme.com/macron-explosion/
- 16° article le 3 avril 2024 : https://www.profession-gendarme.com/macron-explosion-la-suite/
- 17° article le 23 avril 2024 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-bientot-une-sommation-de-juger-pour-les-juges-administratifs-de-nancy/comment-page-1/#comment-739064
- 18° article le 24 avril 2024 : https://www.profession-gendarme.com/voulez-vous-recevoir-bientot-une-sommation-dinstruire/
- 19°article le 17 juin 2024 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-comment-le-rectorat-de-reims-viole-la-loi-dada-depuis-bientot-6-ans/
- 20° article le 17 septembre 2024 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-1ere-revocation-annulee-par-forfait-du-ministere-de-leducation-nationale/
- 21° article le 29 septembre 2024 : https://www.profession-gendarme.com/le-triomphe-de-la-verite-laffaire-jocelyne-chassard-rebondit/ : commentaire du direct avec Nicolas Bouvier le 25 septembre 2024.
- 22° article le 10 janvier 2025 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-proces-en-vue-au-tj-de-paris/comment-page-1/#comment-827929
- 23° article le 16 janvier 2025 : https://www.profession-gendarme.com/olivier-nizet-juge-administratif-prevaricateur-episode-1/
- 24° article le 23 janvier 2025 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-quest-ce-que-la-prevarication/
- 25° article le 10 février 2025 : https://www.profession-gendarme.com/affaire-chassard-le-lache-procede-dune-procureure-de-la-republique/
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