BRIGITTE GATE : L’EMPRISE
Une des caractéristiques de l’individu qui se fait appeler Brigitte Macron est la possibilité et la capacité d’avoir une EMPRISE démesurée sur les autres, avec un pouvoir de séduction et/ou de coercition hors du commun. Les pervers narcissiques, par exemple, sont bien connus pour mettre sous leur coupe progressivement leurs victimes (je ne dis pas que c’est le cas de « Brigitte Macron »).
Lorsqu’il sera démasqué définitivement, on pourra reconstituer ses faits et gestes, les méthodes employées, la ribambelle de personnes impliquées, la raisons pour lesquelles elle se sont tues, ont obéi aux ordres ou aux menaces.
J’ai pu constater à plusieurs reprises que des contacts, à partir du moment où ils sentent qu’il s’agit de « Brigitte », se replient dans leur coquille et se taisent comme Bernard, Franck, Anne Marie.
Rappelons mon HYPOTHÈSE d’investigation, de recherche : Jean Michel Trogneux et sa sœur Brigitte (la vraie) ont eu une relation incestueuse, peut être consentante, mais ce n’est pas certain. Trois enfants naissent de cette relation : Sébastien (né en 75, elle avait 22 ans), Laurence, Tiphaine. Pour PRESSIBUS, il s’agirait d’une autre femme baptisé « Brigitte Proba ».
L’avantage de mon HYPOTHÈSE est que tout s’explique, les pièces du puzzle s’enclenchent parfaitement.
Pour cette famille bourgeoise Trogneux d’Amiens il était vital de cacher cette situation qui durait probablement depuis longtemps, surtout à l’époque.
C’est là que vient à la rescousse Jean Louis Auzière, qui grâce à ses relations invente et fabrique le faux mari André (Louis) Auzière, un classique pour les services secrets, on appelle cela une « légende ». Le faux mariage « précipité » à l’étonnement des amies de Brigitte, en 1974, donne un pouvoir d’emprise incommensurable à Jean Michel Trogneux.
Ensuite, la liste est longue :
EMPRISE sur la famille au sens large, dont un des membres dit : « cette histoire a phagocyté la famille »,
EMPRISE sur sa sœur (ou Brigitte Prob selon Pessibus) absolue, car il lui aurait retiré ses trois enfants en partant en Alsace.
EMPRISE sur Jean Louis Auzière, qui a organisé cette histoire de faux mari.
EMPRISE sur l’ex-épouse de celui-ci, Suzanne Spray et ses deux enfants Pascal et Marc, car elle n’a divorcé qu’en 1996 et doit tout savoir.
Jean Michel Trogneux épouse Véronique Dreux en 1980, et a deux enfants, Jean Jacques (le clone d’Emmanuel Macron) et Valérie. Ils divorcent en 1987 (séparation réelle en 1984 ?). Elle aussi sait forcément.
EMPRISE sur ces trois personnes, vivantes, qui n’ont jamais parlé.
On ignore à parti de quel moment Jean Michel Trogneux, qui aurait fréquenté les milieux LGBT de l’époque (Pasteur Doucet), a décidé de non seulement faire sa transition, mais de surcroît prendre l’identité de sa sœur. Probablement vers 1977, cinq ans avant de sauter le pas et s’exiler en Alsace chez Jean Marc URHWEILLER et y arriver en tant que femme (à Amiens ce n’était pas possible).
Tiphaine étant bébé, il fallait une nourrice. Or « Brigitte Macron » s’est rendue en Alsace en novembre 2018 pour mettre au pas nourrice, maire et « connaissances » de l’époque : EMPRISE !
EMPRISE logique sur Françoise Noguès, la mère de Macron, médecin à la « Sécu » qui s’occupait déjà à l’époque des personnes désirant faire une transition.
Françoise Noguès a dit lors du vernissage de la croûte de Laurence Auzière à l’IMA : «Pour moi, Brigitte n’est pas une belle-fille. C’est une amie comme je n’en ai pas d’autres. On a les mêmes affinités, les mêmes priorités, on se dit tout.». Forcément si les soupçons créés par la ressemblance frappante entre Emmanuel et Jean Jacques Trogneux pourraient laisser entendre que Jean Michel Trogneux soit le père des deux !
EMPRISE sur Françoise Noguès et son mari Jean Michel Macron.
EMPRISE sur Emmanuel Macron, alors que celui-ci avait 14 ans, on était légalement dans le registre subordination de mineur voire pire (il y aurait prescription).
Du fait de l’accession progressive au pouvoir d’Emmanuel Macron, l’ambitieuse « Brigitte Macron » devait impérativement contrôler la presse, la « people » en particulier, grâce aux services de «Mimi Marchand » entre autres. L’EMPRISE sur les journalistes de la presse mainstream est gigantesque.
Pour ce faire, il faut également de nombreux collaborateurs et c’est le cas dans « l’aile Madame ».
EMPRISE sur ces personnes, car elles sont au courant (dont l’ex sbire Benalla).
Le problème principal à ce moment était d’obtenir des personnes et institutions ayant connu la vraie Brigitte Trogneux qu’elles se taisent. Réussite de l’EMPRISE, car dans son numéro 531 de Faits et Documents, Xavier Poussard a fait part de ses énormes difficultés à obtenir des photos de classe des établissements Catholiques fréquentés par Brigitte Trogneux, et à faire parler ses camarades d’école. Ce sont des centaines d’heures de recherche de Bénédictin. Un des seuls résultats tangibles est la photo de profil parue dans le n°532 de la vraie Brigitte au mariage en 1976 de Anne Marie Bouchez. Ce cliché est précieux , car il n’y a pas de contradiction avec le profil de la « Dame au Chapeau ».
Toujours dans le même numéro 531, Xavier Poussard liste la bibliographie des livres consacrés à « Brigitte Macron », on est dans le style pisse-copie aux ordres, sous… EMPRISE. Un bémol toutefois pour Emmanuelle Anizon dans « L’Affaire Madame » qui n’est pas vraiment catégorique.
Il est évident que la vidéo de Natacha Rey sur la chaîne d’Amandine Roy a été un coup d’éclair dans un ciel bleu. Il fallait donc les discréditer par une campagne de presse (complotisme, extrême droite, fake news transphobes, maintenant cyber-harcèlement etc.), les menacer (gardes à vue), puis les faire taire par des procès plus ou moins truqués (ceux de Lisieux et de la 17ième chambre).
Il est de notoriété publique que le ministre de la justice Dupont-Moretti a été choisi par « Brigitte Macron ». Comme le souligne Maître Danglehant il s’avère que les juges et procureurs ont de facto été nommés par Emmanuel Macron et Dupont-Moretti.
L’EMPRISE sur la Justice est clairement établie. D’où l’EMPRISE sur le procureur et les juges de Lisieux, puis ceux de la cour d’Appel de Caen. Les juges de la Cour de Cassation sont eux même nommé par le couple d’enfer Macron. Idem pour la 17° chambre.
Lors du procès à la 17° chambre, Maître Ennocchi a brandi une carte électorale, en indiquant que Jean Michel Trogneux a voté à Amiens au bureau n°3 aux Européennes . J’ai démontré qu’il était possible de la falsifier en achetant un tampon à date dans le commerce. Pas de chance, la dissolution a eu pour conséquence l’organisation de deux tours de scrutin, et cette fois j’étais dans les clous du délai légal de 10 jours pour demander au préfet de la Somme la production des pièces électorales. Pas de réponse, c’est un aveu de plus. De surcroît la célébrité de Jean Michel Trogneux fait qu’il ne peut passer inaperçu des membres du bureau électoral et des journalistes.
Il y donc EMPRISE sur le préfet de la Somme, le maire d’Amiens, les présidents et assesseurs du bureau de vote, sur le personnel municipal et auparavant sur celui du service d’état civil.
Autres personnes sous EMPRISE concernées, les directeurs de la Sécurité Sociale et des caisses de retraite. En effet, Jean Michel Trogneux a pour « numéro de sécu » 1.45.02.80.021.xxx et Brigitte Trogneux 2.53.04.80.021.xxx (xxx numéro d’ordre du registre d’état civil). Ces numéros permettent d’accéder à toutes les données des deux individus, et en particulier leurs carrières professionnelles. Certes, le secret professionnel s’applique, mais vu l’ampleur du scandale, des fuites seraient bienvenues.
Sauf si elle a vécu d’amour et d’eau fraîche la vraie Brigitte Trogneux touche une retraite et a donc un compte en banque (vraisemblablement sous son nom de femme Auzière). Gare aux fuites aussi !
Autre cas d’EMPRISE, La Poste, qui connaît forcément son adresse (nom Auzière ou Trogneux, dans le « triangle de la Côte Fleurie », Honfleur – Touques – Trouville).
Avant dernière EMPRISE en date, l’absence totale d’articles sur le séjour de la Toussaint 2024 à Honfleur des tourtereaux Macron, la presse est encore totalement sous contrôle, mais pour combien de temps avec la chute de la Macronie en cours ?
Au moment où sont rédigées ces lignes (13/12/2024) une énorme opération a eu lieu suite à une plainte en août 2024 de « Brigitte Macron » (seule cette fois, sans son frère Jean Michel) pour cyber-harcèlement à caractère transphobe et sexiste, défense de rire. L’opération a été pilotée par le parquet au niveau national, et a mobilisé des dizaines de policiers (une soixantaine?) et magistrats dans toute la France pour identifier, puis surveiller des dizaines de personnes, puis les interpeller aux aurores. La rafle a concerné 30 personnes, avec gardes à vue, et dans la foulée, ce qui dénote une préparation démesurée, quatre individus sont déjà convoqués pour un procès en 2025 dont Aurélien Poirson alias Zoé Sagan.
L’EMPRISE sur la justice et la police peut être qualifiée de gigantesque.
Il est certain que les cas d’EMPRISE cités ne sont pas les seuls. Cela n’a pu être possible que grâce à une volonté implacable d’un individu très organisé et méthodique, disposant d’un cabinet avec des collaborateurs zélés, qui sont aussi finalement et logiquement membres du cabinet Présidentiel. Ce qui fait que de facto, c’est toute la machinerie Élyséenne et d’État qui est utilisée. Il est évident que sans ce support financé par le contribuable, le système va s’effondrer, et les langues se délier. D’ailleurs, vu la chute du gouvernement Barnier (et des suivants), et les déclaration de Macron qui indique vouloir aller au bout de son mandat sans dissoudre, le dernier moyen de se débarrasser de ce couple d’enfer est de faire tomber « Brigitte Macron ».
En fait, c’est tout le peuple Français qui est sous emprise, on n’en est pas au stade des lettres de cachets, mais ça ne saurait tarder vu l’ambiance fin de règne où le président de la République ne maîtrise plus rien. Le but est bien de terroriser des témoins.
Seulement voilà, il y a forcément quelques individus sur lesquels « Brigitte Macron » n’a aucune prise. La Résistance c’était un Français sur mille, encore maintenant d’ailleurs. Les Brigittologues sont tous sous surveillance, certains ayant été obligés de quitter la France. Un certain Donald Trump et son dossier « Président de la France » saisi par le FBI peut il nous aider ?
N’oublions pas que Candace Owens a pu avoir, ou pourra avoir accès à ces informations.
Vu l’ampleur de cette affaire et des mensonges qu’elle implique, il y a forcément des erreurs, des inexactitudes, des ambiguïtés, et surtout de beaux lapsus (Algérie, homme sur la lune, je protège les enfants, ils ont refait ma généalogie etc.).
Une personne a commis une énorme bourde, Catherine Audoy, l’épouse de Jean Louis Auzière (en secondes noces) : avoir créé une page facebook qui s’est avérée être une mine de renseignements sans lesquels je n’aurais jamais pu deviner que les tableaux signés Auzière ont été peints par deux personnes différentes, dont a priori Brigitte Trogneux, la vraie.
Le dossier « BIMBO et les étranges tableaux signés Auzière » détaille par le menu les éléments qui ont conduit à cette conclusion.
Voir le pdf sur le site https://www.action-patriote.fr/brigittegate.htm
Pour suivre les développements en cours : www.guerredefrance.fr
Autre élément à prendre en considération : vu que le nombre de condamnations indignes va concerner de plus en plus de personnes, quelqu’un va peut être se décider à parler par humanité, estime de soi, et là le château de carte va s’effondrer d’un coup.
Retrouver la vraie Brigitte Trogneux n’est plus qu’une question de temps pour ceux qui s’intéressent à cette affaire d’état niveau mondial (!). Un policier ou gendarme un peu futé mettrait la journée pour ce faire compte tenu de la masse d’information dont nous disposons.
J’ai pour ma part, une excellente candidate, la « Dame au Chapeau ».
Colonel Napoléon de Guerlasse (pseudo)
09.12.2024
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