Kévin Cohen, militant sioniste de l’UEJF, démissionne du conseil municipal de Romainville : « Me tapez pas ! »

Kévin Cohen a démissionné après une performance mémorable où il a hurlé « Me tapez pas ! » lors d’une conférence sur la Palestine. Une nouvelle ère de militantisme burlesque ?

Kévin Cohen, le conseiller municipal de Romainville, tire sa révérence après une vidéo mémorable !

Le théâtre de la politique est décidément un lieu où les surprises ne manquent jamais ! Kévin Cohen, le conseiller municipal de Romainville, a pris la décision inattendue de démissionner. Mais attention, ce n’est pas pour une raison ordinaire. Non, notre protagoniste, militant de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), s’est récemment fait remarquer pour sa performance épique lors d’une conférence sur la Palestine, où il a réussi à se transformer en acteur principal d’une scène des plus cocasses.

Une vidéo qui fait le buzz : « Ne me tapez pas ! »

Le 6 octobre dernier, dans une salle de Pantin, Kévin a été filmé en train de se rouler par terre tel un acteur en plein drame, hurlant : « Me tapez pas ! » Le seul problème ? Personne ne le touchait. En effet, la caméra a capturé ce moment surréaliste alors qu’il était entouré de militants qui, pour la plupart, se contentaient de le regarder avec un mélange d’incompréhension et de curiosité. Une situation qui a rapidement été détournée sur les réseaux sociaux pour devenir un mème hilarant illustrant la « douleur » feinte. Peut-être une nouvelle manière de revendiquer des droits : le cri du cœur sans les coups ?

L’UEJF, ou l’art de la victimisation

Malgré la gravité des sujets abordés lors de la conférence, le militantisme sioniste semble s’être mué en une farce rocambolesque. L’UEJF, après avoir tenté de provoquer un incident, s’est vu contrainte de passer à la phase suivante : le one-man-show. Il semble que la stratégie de diabolisation ait pris un tournant inattendu, transformant des aspirations politiques en une comédie tragique où le public s’est rapidement retrouvé à applaudir un drame qui ne faisait rire que les protagonistes.

Le maire de Romainville, François Dechy, n’a pas tardé à réagir face à la tempête médiatique provoquée par cette vidéo. Dans un communiqué fort inspiré, il a évoqué l’« incompréhension » et l’« indignation » suscitées au sein de la commune. En somme, un choix réfléchi pour dire au revoir à Kévin Cohen, dont le talent pour le burlesque ne correspondait pas tout à fait aux responsabilités d’un élu municipal.

Démission et excuses : le retour au réel

Kévin Cohen a donc présenté ses « excuses » et exprimé des « regrets » à la suite de cette mise en scène un peu trop théâtrale. Comme un bon acteur qui se retire des planches après un flop retentissant, il a décidé que son temps au conseil municipal était écoulé. Fatigué par la « violence » des réactions à sa performance, il a probablement compris que, dans le théâtre politique, il vaut mieux parfois rester en coulisses.

Kévin Cohen, conseiller municipal de Romainville, a démissionné.

La militante ayant immortalisé cette scène de comédie humaine a souligné l’ironie de la situation. En effet, elle a noté qu’en l’absence de sa vidéo, Kévin n’aurait peut-être jamais eu à gérer les retombées d’un incident aussi burlesque. Peut-être un simple retour à la case départ pour l’UEJF, qui peut désormais poursuivre ses activités comme si de rien n’était, pendant que leur comédien star tire sa révérence.

Une leçon à retenir

Ce qu’on retiendra de ce colloque à Pantin, c’est l’émergence d’un nouveau genre de militantisme, à mi-chemin entre le drame et la comédie. L’UEJF Comedy Club a clairement fait son apparition, troquant le débat politique pour une scène digne des plus grands vaudevilles. Il semble que la victimisation à outrance n’ait pas payé, laissant le public perplexe mais hilare devant cette tentative de censurer un discours, déguisée en agression.

Alors, cher lecteur, la prochaine fois que vous assistez à un débat, gardez à l’esprit que le véritable spectacle pourrait bien se dérouler juste en dehors des projecteurs, là où les acteurs cherchent désespérément à capturer l’attention. Entre rire et larmes, l’art de la comédie politique n’a jamais été aussi savoureux ! Salut, l’artiste !

par Le Média en 4-4-2

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