« On a su assez vite que c’était pas vrai mais on nous a interdit de le dire ».

Cette phrase est un aveu que vous, les journalistes, n’avaient pas fait votre travail. Pire, connaissant la vérité, vous l’avez non seulement occulté mais aussi participé à la propagande pro vaccinale. Vous êtes, par votre silence et votre proactivité à la propagande d’État, coresponsables des crimes contre l’humanité perpétrés contre le peuple français par les injections ARNm.

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