Miracle de Padre Pio : Gemma di Giorgi : une aveugle qui voit sans pupilles

Pourquoi cette publication ce matin ? Je ne saurai répondre à cette question. Néanmoins ce matin très tôt en surfant sur le Net je suis tombé sur cette vidéo par hasard et j’ai eu tout de suite l’envie de la partager avec vous.

Est-ce vraiment un hasard ? je ne saurai le dire néanmoins par cette publication j’espère redonner à chacun d’entre vous ou à celui ou celle qui le veut un peu d’espoir en l’avenir…

Ronald

Editions Saint Maximilien Kolbe

29 oct. 2013 Une personne qui voit sans pupille est un miracle permanent. Vous pouvez la voir ici. Gemma a été guérie par Padre Pio, un saint prêtre stigmatisé qui est mort en 1968… Si vous voulez avoir des preuves que Dieu existe, si vous voulez en savoir davantage sur Padre Pio, visitez notre blog : http://editionssaintmaximilienkolbe.b… Vous pourrez lire des articles intéressants qui commenceront à répondre à vos questions. « L’homme peut connaître Dieu » est un livre qui prouve clairement l’existence de Dieu et qui explique quelle est la vraie religion. Pour les 14-114 ans.

Source : Youtube

https://www.facebook.com/permalink.php/?story_fbid=2238378909729453&id=1659348894299127

Gemma : la miraculée sans pupille de Padre Pio

Un des plus célèbres miracles de Padre Pio est celui de la petite Gemma di Giorgi. Marie Winowska le raconte ainsi : « Née aveugle et sans pupille, la petite Gemma di Giorgi recouvra brusquement la vue, mais non pas les pupilles, après avoir communié de la main de Padre Pio, le 18 juin 1947. Ce fut un défi à la science. Quatre mois après le miracle, le fameux oculiste de Peruggia, le Dr Caramazza, soumit l’enfant à un examen minutieux et constata qu’elle ne pouvait pas voir. Or, la fillette a fait ses études et continue à jouir d’une excellente vue. Elle vient souvent avec sa grand-mère à San Giovanni Rotondo. Padre Pio hoche la tête : « Ne me mêlez pas à cette affaire, braves gens ! Ce n’est pas moi, c’est la Madone. »

– Encore fallait-il, Padre, que ce soit vous qui le demandiez, rétorqua une personne pleine de bon sens. »

Vous souhaitez entendre en direct le témoignage de Gemma, cliquez ici
Quelques mots sur Padre Pio ici

Vous souhaitez en savoir plus sur Padre Pio, sur la notion de miracles et sa différence avec les prodiges, sur les miracles de Lourdes, du Christ, etc., lisez L’homme peut connaître Dieu.

Padre Pio : le prêtre aux stigmates

Padre Pio est un prêtre, religieux franciscain italien qui s’est éteint le 23 septembre 1968 dans le sud de l’Italie. Le Vatican a procédé à plusieurs enquêtes sur lui, de son vivant, enquêtes qui regroupent des centaines d’expertises scientifiques et de documents (plus de 100 volumes). En effet, Padre Pio a attiré des foules énormes car les miracles opérés par lui sont très nombreux.

Le Padre Pio lui-même fut un miracle vivant : à 31 ans, déjà prêtre, il reçut les stigmates. Les stigmates sont des plaies inexplicables qui ressemblent à celles de Jésus crucifié : plaies aux mains, aux pieds, à la poitrine. Pendant 50 ans, sans interruption, Padre Pio va porter ces plaies jusqu’à sa mort en 1968. Il participe ainsi spirituellement et corporellement au sacrifice du Christ sur la Croix pour sauver les hommes. Inutile de préciser que des enquêtes nombreuses ont été faites. Médecins, neurologues, psychologues se sont succédé. Le plus inexplicable est que ces plaies ne s’infectaient jamais, ce qui est impossible sur une aussi longue durée. Pour connaître tous les détails et les miracles inouïs de ce saint, vous pouvez lire le livre, Le vrai visage de Padre Pio, écrit par Maria Winowska.

Padre Pio a adopté de nombreux fils spirituels qu’il dirigeait pour les mener vers la sainteté. Le Père Derobert, décédé en 2013, en fit partie. Vous trouverez ci-dessous une lettre intéressante écrite par le Père Jean Derobert à Rome en vue de la canonisation du Padre Pio. Cette lettre fait partie des minutes du procès en canonisation.

Cher Père,

Vous m’avez demandé un résumé écrit au sujet de l’évidente protection dont j’ai été l’objet en Août 1958, pendant la guerre d’Algérie.

J’étais, à ce moment-là, au service de santé des armées. J’avais remarqué qu’à chaque moment important de ma vie, Padre Pio qui m’avait pris en 1955 comme fils spirituel, me faisait parvenir une carte m’assurant de sa prière et de son soutien. Tel fut le cas avant mon examen de l’Université Grégorienne de Rome, tel fut le cas au moment de mon départ à l’Armée, tel fut le cas au moment où je dus rejoindre les combattants d’Algérie.

Un soir, un commando F.L.N. (Front de Libération Nationale Algérienne) attaqua notre village et je fus bientôt maîtrisé et mis devant une porte avec cinq autres militaires et là, nous fûmes fusillés. Je me souviens que je n’ai pensé ni à mon père, ni à ma mère dont j’étais pourtant le fils unique mais j’éprouvais seulement une grande joie car « j’allais voir ce qu’il y a de l’autre côté ». J’avais reçu, le matin même, une carte de la part de Padre Pio avec deux lignes manuscrites : « La vie est une lutte mais elle conduit à la lumière » (souligné deux et trois fois).

Immédiatement, je fis l’expérience de la dé-corporation. Je vis mon corps à côté de moi-même, couché et sanglant au milieu de mes camarades tués, eux aussi. Et je commençai une ascension curieuse dans une sorte de tunnel. De la nuée qui m’entourait, émergeait des visages connus et inconnus. Au début, ces visages étaient sombres ; il s’agissait de gens peu recommandables, pécheurs, peu vertueux. À mesure que je montais, les visages rencontrés devenaient plus lumineux.

Je m’étonnais de ce que je pouvais marcher… et je me dis que, pour moi, j’étais hors du temps, donc déjà ressuscité… Je m’étonnais de voir tout autour de ma tête sans me retourner… Je m’étonnais de n’avoir rien ressenti des blessures occasionnées par les balles de fusils… et je compris qu’elles étaient entrées dans mon corps tellement vite que j’avais pu ne rien sentir.

Subitement, ma pensée s’envola vers mes parents. Immédiatement, je me suis trouvé chez moi, à Annecy, dans la chambre de mes parents que je vis dormir. J’essayais de leur parler, sans succès. J’ai visité l’appartement notant le changement de place d’un meuble. Plusieurs jours après, écrivant à ma mère, je lui ai demandé pourquoi elle avait déplacé ce meuble. Elle m’écrivit en réponse : « Comment le sais-tu ? ».

J’ai pensé au Pape Pie XII que je connaissais bien (j’étais étudiant à Rome) et, de suite, je me suis trouvé dans sa chambre. Il venait de se mettre au lit. Nous avons parlé par échange de pensées, car c’était un grand spirituel.

J’ai continué mon ascension jusqu’au moment où je me suis trouvé dans un paysage merveilleux, enveloppé d’une lumière bleutée et douce… Il n’y avait pourtant pas de soleil « car le Seigneur est leur lumière… » comme dit l’Apocalypse. J’ai vu là des milliers de personnes, toutes à l’âge de trente ans à peu près, mais j’en rencontrais quelques unes que je connaissais de leur vivant… Telle était morte à 80 ans… et elle semblait en avoir 30…telle autre était morte à 2 ans…et elles avaient le même âge…

J’ai quitté ce « paradis » plein de fleurs extraordinaires et inconnues ici-bas. Et je suis monté encore plus haut…Là, j’ai perdu ma nature d’homme et je suis devenu une « goutte de lumière »

Je vis beaucoup d’autres « gouttes de lumière » et je savais que telle était Saint Pierre, telle autre Paul ou Jean ou un apôtre, ou tel saint…

Puis je vis Marie, merveilleusement belle dans son manteau de lumière, qui m’accueillait avec un sourire indicible… Derrière elle, il y avait Jésus, merveilleusement beau, et derrière, une zone de lumière dont je savais qu’elle était le Père, dans laquelle je me suis plongé…

J’ai ressenti là l’assouvissement total de tout ce que je pouvais désirer…J’ai connu le bonheur parfait…et brusquement, je me suis retrouvé sur terre, le visage dans la poussière, au milieu des corps sanglants de mes camarades.

Je me suis rendu compte que la porte devant laquelle je me trouvais, était criblée par les balles qui m’avaient traversé le corps, que mon vêtement était percé et plein de sang, que ma poitrine et mon dos étaient maculés de sang à moitié séché, un peu visqueux …mais que j’étais intact. Je suis allé voir le commandant dans cette tenue. Il vint à moi et cria au miracle. C’était le commandant Cazelle, aujourd’hui décédé.

Cette expérience m’a beaucoup marqué, on s’en doute. Mais lorsque, libéré de l’Armée, je me rendis auprès de Padre Pio, celui-ci m’aperçut de loin dans le salon Saint-François. Il me fit signe de m’approcher et me donna, comme d’habitude, un petit signe d’affection. Puis il me dit ces simples mots : « Oh ! que tu as pu me faire courir, toi ! Mais ce que tu as vu, c’était très beau ! ». Et il borna là son explication.

On comprend maintenant pourquoi je n’ai plus peur de la mort… puisque je sais ce qu’il y a de l’autre côté.

                                                       Père Jean Derobert


Pour en savoir plus sur les expériences de mort imminente, consulter l’article ici.

Vous pouvez commander le livre L’homme peut connaître Dieu qui évoque Padre Pio et surtout qui donne des clés pour comprendre les stigmates : quel sens donner à la souffrance ? Pourquoi le Christ a choisi la mort sur la croix pour sauver les hommes ? etc.

Que penser des expériences de mort imminente (NDE) ?

Que penser des expériences de mort imminente ?

Les expériences de mort imminente, appelées « NDE » (abréviation de Near Death Expériences),sont parfois vécues par les gens hospitalisés, dans le coma, en état de mort clinique. Ces personnes arrivent à survivre grâce aux techniques modernes de réanimation. Leurs récits présentent souvent des similitudes : elles sont sorties de leur corps, leur âme voyait la salle de réanimation, les médecins qui s’affairaient sur leur corps. Leur vie a défilé comme un film, elles ont vu un tunnel, une lumière blanche irradiante, etc. Ces récits de mourants sont-ils des affabulations ? D’une part, les témoignages sont de plus en plus nombreux avec les progrès de la médecine. D’autre part, les personnes, une fois revenues à la vie, racontent des faits, donnent des détails sur les choses ou les personnes qu’elles voyaient pendant leur réanimation alors qu’elles étaient inconscientes, ce qui tend à prouver la véracité de ces récits.

Pour autant, ces témoignages ne donnent pas avec clarté un exposé de ce qui nous attend après la mort. Ces personnes ne sont pas mortes, elles ne sont pas revenues de l’au-delà : elles ont simplement été sur le seuil de l’au-delà. Il est alors difficile de se faire une idée du paradis comme il est difficile de se faire une idée d’une maison depuis le seuil de la porte d’entrée. Aussi réconfortantes qu’elles soient, les expériences de mort imminente ne remplacent pas la certitude de la Foi qui repose sur la Révélation divine transmise par l’Église.

Avec les progrès de la médecine, il y a 60 millions de personnes qui sont revenus de la mort ; environ 20 % font une NDE selon l’étude prospective publiée en 2001 par le docteur Pim van Lommel dans la très sérieuse revue médicale The Lancet. Autant dire que les témoignages se comptent par milliers.

Des témoignages

Écouter les témoignages est encore plus saisissant que les livres. Pour vous familiariser avec le sujet, voir quelques cas classiques :

une mère qui revoit sa fille décédée

le témoignage de Nicolas

Source : Editions Saint Maximilien Kolbe

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