L’oeuf et la Poule

Une discussion entre deux copains…

– Alors, tu en es où avec ton histoire de l’oeuf et de la poule ? T’as réussi à trouver qui est arrivé en premier ?

– Je constate que tu es toujours moqueur ! Je ne parle pas de la poule, mais uniquement de l’oeuf !

– Mais je sais, mais j’aime bien te faire marcher en reprenant ce thème impossible à résoudre. Bon, maintenant je suis disposé à t’écouter. Raconte moi l’histoire de l’oeuf !

– Super ! Bon, alors voilà l’énoncé du problème, qui existe depuis le début de la chimie analytique : un œuf (de poule) prêt à éclore contient 5 fois plus de calcium qu’un œuf (de la même poule) fraîchement pondu. D’où vient ce calcium supplémentaire ?

– Ben… de la coquille ?

– Loupé ! La coquille est toujours là lorsque le poussin la casse pour sortir. Par contre il possède un squelette et tout son corps s’est formé sans le moindre apport extérieur. Je n’entrerais pas dans le détail de tout ce qui le compose, je m’en tient juste au calcium qui, bien évidemment est le premier constituant de son squelette. D’où peut bien provenir ce calcium ?

– As tu demandé à ceux qui savent ?

– Oui, mais les réponses sont décevantes… du style :

« Les derniers jours avant l’éclosion, le calcaire de la couche interne et de la couche intermédiaire se dissout partiellement pour fournir le calcium nécessaire à la solidification du squelette du jeune poussin. L’œuf devient alors moins solide, tandis que les os du poussin prêt à naître sont renforcés. Le petit gallinacé peut alors facilement percer sa coquille. »

… Il n’est aucunement question d’augmentation de calcium, seulement d’une transformation de la coquille qui permet l ‘élaboration du squelette. Et tu peux chercher sur le net , il a toutes sortes d’études très documentées qui racontent exactement le même style de choses, sans jamais parler de cette augmentation impressionnante de la quantité de calcium.

https://m.elewa.org/JABS/2014/74/5.pdf
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2018/05/les-secrets-de-la-coquille-doeuf
https://www.mcours.net/cours/pdf/yass3/yass3cli1715.pdf

« Le calcium de la coquille est alors solubilisé selon un mécanisme précis(voir section B1.3), puis transféré vers le réseau sanguin pour être transporté jusqu’à l’embryon,sous forme de phosphate de calcium, pour la minéralisation de son squelette. »

Et si on pose cette question à un moteur de recherche : comment se fait-il que le poussin venant d’éclore contienne plus de calcium que l’œuf dont il est issu ?

Les réponses proposées parlent de tout sauf du sujet de la question.

J’y ai passé des heures…

– Mais à quoi ça te sert ?

– Oh, je fais juste un constat : le concept de « Transmutations biologiques » n’est pas toléré par la science officielle.

– C’est quoi, çà, les transmutations biologiques ?

– Tout simplement une somme de constats ‘scientifiques’ qui invalident certaines croyances sur laquelle la science ‘officielle’ se base.

– Mais la science officielle, comme tu dis, c’est sérieux !

– C’est ce qu’ils te font croire ! Mais lorsque Corentin Louis Kervran publie ses travaux sur les transmutations biologiques, il ouvre une porte sur une autre vision des phénomènes de la vie, et cette porte ne convient pas aux ‘officiels’

LES TRAVAUX DU PROFESSEUR C. LOUIS KERVRAN

En 1962, ce chercheur, hélas, dont les travaux sont restés dans l’ombre, redoutable dénicheur, esprit d’une grande curiosité, fin analyste, dont les déductions laissaient pantois plus d’un de ses pairs, publiait les premiers résultats de ses recherches.

Il démontrait ainsi que des transmutations biologiques, simplement dues à l’énergie provenant d’êtres vivants (microbes, plantes, animaux), sont dans la nature aussi nombreuses que variées. Ces transmutations à faible énergie intéressent beaucoup de secteurs, en particulier celui de l’agriculture. Elles apportent une intéressante explication à beaucoup de questions restées sans réponse notamment dans le domaine de la santé.

– Comment se fait-il qu’une terre laissée au repos (jachère) reconstitue d’elle-même ses propres réserves épuisées par des récoltes récentes ?

– Pourquoi les pâquerettes sont abondantes sur les terrains sableux, pauvres en calcium(calcaire) alors que l’analyse découvre qu’elles sont riches …en calcium ? Pourquoi le sarrazin ayant une affinité très nette pour les terrains sableux puisse contenir autant de calcium ?

– L’expérience de Prout (1822) montre que le poussin, fraîchement éclos, referme dans son squelette quatre à cinq fois plus de calcium que n’en contenait l’oeuf au moment de la ponte ?

– Comment les poules élevées en région granitique, sans calcium, pondent-elles des oeufs avec une coquille calcaire ?

– Pourquoi des graines qui germent voient-elles le poids de leur potassium diminuer pendant que le poids de calcium augmente ?

– Ah… Effectivement il semblerait qu’on nous cache quelque chose ! Mais ce quelque chose , tu en parlerais comment ?

– Je commencerais par reprendre les termes utilisés par Kervran : les transmutations seraient dues aux microorganismes du vivant. Il n’en dit guère plus, mais un siècle avant lui, un autre scientifique fit aussi une découverte majeure qui concerne la vie cellulaire. Antoine Béchamp mit en évidence que les cellules ne se reproduisent pas, mais sont l’oeuvre des microzymas. Il fit cette découverte en utilisant des microscopes à x750 alors qu’à l’époque la microscopie ne dépassait pas x400.

– J’ai lu que cette théorie des microzymas n’était pas valable…

– Tu as lu, et tu as cru, mais Antoine Béchamp était un chercheur qui refaisait 50 fois la même expérience avec les mêmes paramètres, puis 50 fois en changeant les paramètres avant de conclure quoi que ce soit. Et Pasteur l’adorait et ils échangeaient une correspondance qui témoigne de cette admiration, jusqu’à cette découverte de Béchamp à laquelle Pasteur ne souscrit pas. Il interdisit même à ses collaborateurs d’utiliser des microscopes au-delà de x450.

Pasteur ne publiait que des certitudes et ne partageait pas ses protocoles d’expériences. Il a eu droit à un institut à son nom de son vivant, il inaugura même une plaque portant son nom à sa maison de naissance.

Béchamp vit certaines de ses découvertes attribuées à Pasteur, et l’ensemble de son œuvre scientifique n’est plus disponible . Or , dans son ouvrage sur les microzymas, on apprend que ce sont ces microcellules qui façonnent à la fois les cellules et … les bactéries, en fonction du terrain.

– Qu’entends on par ‘terrain’ ?

– C’est une notion assez floue. Si on utilisait la Bio Electronique, on aurait une idée bien plus précise de ce qui se passe dans un organisme.

– Raconte… !

– Louis Claude Vincent a mis au point cette technique de mesure du vivant. Il vérifie 3 paramètres dans le sang et dans l’urine d’un individu : le pH (acide ou basique) , le rH2 ( oxydo réduction) et la résistivité ( un courant électrique passe plus ou moins).

L’étude de ces trois paramètres permettent de faire un réel état des lieux physiologique d’une personne, et de guider cette personne vers un rééquilibrage, si c’est nécessaire, car la notion de santé correspond à des mesures précises de ces trois paramètres.

– Et ça date de quand, cette bioélectronique ?

– De la fin des années 40, mais curieusement, le corps médical en ignore tout. Prendre la température permet de savoir qu’un individu a de la fièvre ou pas, mais une simple prise de sang et d’urine qui montrerait la nature du déséquilibre lié à cette fièvre ainsi que les pistes pour aider cet individu à se rééquilibrer ne les intéresse pas.

– Effectivement, ça va loin !

– Oui, et j’ajouterais à cela l’ignorance totale de la « Mémoire de l’Eau ». Car chaque molécule d’eau qui participe à la vie cellulaire est porteuse de messages pour les microzymas, à la façon d’un clavier d’ordinateur qui informe le silicium de son intelligence artificielle, les molécules d’eau amènent ( ou pas) de quoi réharmoniser les cellules via les microzymas. Ceux ci contiennent du silicium, (comme par hasard) et ces informations leurs permettent de réorganiser en permanence l’équilibre cellulaire avec une précision que l’on imagine pas. On ne peut que la constater.

– Précise un peu ton idée… !

– Chaque cellule vivante contient 22 milliards de molécules d’eau. Qui entrent et sortent en permanence. La mémoire de l’eau a été démontrée par Jacques Benveniste à la fin des années 80, mais il a été immédiatement considéré comme un charlatan alors que 7 laboratoires à qui il avait communiqué ses protocoles expérimentaux ont abouti aux mêmes conclusions. Il a ensuite utilisé cette propriété de l’eau pour mettre au point ce qu’il a nommé « La médecine du Futur » en utilisant les ondes radio pour envoyer à quiconque les effets bénéfiques de quoi que ce soit, dilué dans de l’eau.

Un de ses successeurs en la matière, Marc Henry, a montré comment 18 grammes d’eau peuvent contenir tout ce que l’humain a écrit depuis le début de l’écriture…

– Incroyable… ! Mais pourquoi personne n’en parle ?

– Oh, toujours une question de croyances. Mais le hasard, ici fait bien les choses, car lorsque la communauté scientifique a fait accepter en 1795 le système international des poids et mesures, l’unité de masse a été définie comme étant le centimètre cube d’eau et on l’a baptisé : « Gramme ». Or, en grec, ce mot signifie : lettre écrite, en tant que mémoire ! Et le verbe « engrammer » signifie bel et bien « mémoire cellulaire ». Mais les maitres de la connaissances prétendent que ça n’a aucun rapport.

Pourtant, lorsque quelqu’un prépare un événement, il intitule « Programme » le document qui résume les détails de cet événement. « Programme » signifie bien « pour mémoire ». Ou bien j’ai mal lu…

– Waouhh !!! mais dis moi, ton œuf et son calcium en recèlent des choses !

– Tu commences à comprendre pourquoi cet exemple tout simple permet d’ouvrir des horizons fort intéressants. Je ne vais pas développer plus avant, tu pourras vérifier en suivant mes liens que tous ces faits sont issus d’études scientifiques dont les protocoles sont publiés et vérifiables par qui que ce soit.

Je concluerais en citant une autre scientifique mal connue, mais dont l’oeuvre ouvre une perspective étonnante sur l’idée qu’on se fait de la vie sur la planète terre.

Lynn Margulis est cette biologiste qui a montré comment les bactéries ont vécu sur la terre pendant 3 milliards 300 millions d’années sur un sol minéral, et après plusieurs mutations en sont venues à répandre l’oxygène de l’eau dans l’atmosphère, créant ainsi un déséquilibre qui allait leur être fatal. Mais non, car une partie de ces bactéries se sont confectionné des filtres à oxygène en créant le règne animal, et une autre partie, sous la surface du sol a organisé le monde végétal . Ces deux règnes ( animal et végétal) vivant en symbiose, puisque les végétaux contibuent à remettre dans l’atmosphère l’oxygène que la pluie amène dans le sol et dont ont besoin les animaux, et les animaux produisent le gaz carbonique nécessaire aux végétaux pour façonner leurs tiges, racines et branches.

Et, coup de théatre… ! La proportion d’oxygène dans l’atmosphère est de 21 % ! Si il n’y avait que 20 %, nous n’aurions jamais pu faire un feu !

Si il avait 22 %, il serait impossible d’éteindre un feu de forêt !

Elle amène la notion de « Symbiogénèse », qu’elle définit ainsi :

« La symbiogenèse se produit dans certaines conditions et n’a rien à voir avec une compétition continuelle entre les individus : elle signifie la synthèse permettant à l’ensemble de la vie de progresser »

– Merci, j’y vois plus clair, mais il va me falloir du temps pour digérer tout çà !

– Tu as toute ta vie !

Source : Santé Lumière

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *