La Guerre secrète contre les peuples, de Claire Séverac

Livre culte toujours indispensable

Kontre Kulture, 2015, 416 p., 23,5 €

jeudi 1er février 2024, par Lionel Labosse

La Guerre secrète contre les peuples de Claire Séverac (1948-2016) est un livre culte toujours indispensable. J’en ai maintes fois entendu parler depuis le début de la tyrannie nationale-covidiste, mais je n’avais pas encore pris le temps de le lire, car je suis débordé. C’est un ouvrage majeur sur les thèmes jugés « conspirationnistes » par les médias des conspirateurs. Claire Séverac est morte suite à un cancer fulgurant un an après la parution de son livre dans lequel elle nous apprenait, parmi maintes autres armes « contre les peuples », l’existence d’armes plus ou moins secrètes à énergie dirigée pour rendre subitement malade et tuer une personne en bonne santé. On pense bien entendu à Natacha Rey ou à Michèle Rivasi…
Il faut lire et diffuser ce livre, qui nous permet de bien comprendre cette guerre contre les peuples. Nos amis complotistes sont parfois casse-couilles : au lieu de nous expliquer, ils nous engueulent dès qu’on n’adhère pas immédiatement à l’un des volets de cette guerre (et je ne parle pas des commentateurs, d’autant plus courageux qu’ils sont anonymes, sur les sites, donneurs de leçons infatués). Mais on ne peut pas tout avaler en même temps ! Avec ce livre, on rattrape les leçons qu’on a ratées ! Depuis le début de la « nous sommes en guerre » du teckel de Rothschild, Bernard Arnautl et Henry Kravis nommé macron, j’ai déjà tenté de comprendre le covidisme et de lutter concrètement contre sur le terrain, avec de vraies gens, puis je me suis intéressé aux autres dossiers, les uns après les autres, et comme il se trouve que je suis tombé parmi les premiers en France sur le brigittegate, j’y ai mis toute mon énergie parce que je pensais que c’était là le point d’appui qui nous permettrait avec un bon levier, de dégager le fürhoncle macron. Mais on ne peut pas tout faire, car on doit aussi vivre, figurez-vous, alors j’ai posé de côté les chemtrails et HAARP, l’arnaque climatiste et tutti quanti, en me disant que j’y reviendrais plus tard, dont acte.
On trouve d’abord dans ce livre le nom de complotistes actuels, qui étaient bien armés dès le 1er jour pour savoir de quoi le covidisme était le nom, comme Lucien Cerise, les Delépine ou Michèle Rivasi. En ce qui concerne la personnalité de l’auteure, je vous renvoie au Café littéraire de Kontre Kulture qui lui a été consacré. C’est d’ailleurs le premier livre que je lis de cet éditeur, et j’ai trouvé une grande qualité d’édition. On peut télécharger le PDF ci-dessous, mais il faut soutenir l’éditeur et en commander au moins un exemplaire.

La Guerre secrète contre les peuples, de Claire Séverac en PDF. Achetez au moins un exemplaire à l’éditeur. © Kontre Kulture
Interview de Claire Séverac : « Nos maux proviennent de l’alliance du cartel chimico-pharmaceutique
par agenceinfolibre

J’ai eu beaucoup de mal à trouver cette vidéo d’une entrevue de Claire Séverac ; c’est un ami qui me l’a trouvée, preuve que YT est chargé de l’invisibiliser. Voici également une émission de radio sur Fréquence Évasion reprise en hommage après l’annonce de sa mort. Quant à sa carrière de chanteuse, voici une chanson bilingue de 1985 avec David Soul : « Amoureux sans bagages ».

David Soul & Claire Séverac – Amoureux sans bagages (1985)
par Nostalgies 60′-70′-80′

Après un avant-propos de Pierre Hillard, le livre est composé de 5 chapitres de longueur inégale.

« Le contrôle du climat et de l’air que nous respirons », Le 1er chapitre fait la moitié du livre et aurait pu constituer un volume à part. Depuis que des amis complotistes me baratinaient avec les chemtrails, ils ne m’avaient jamais appris l’existence du mot « contrail », qui désigne les traînées de vapeur normales des avions à réaction, qui disparaissent au bout de quelques secondes. L’existence d’un mot est d’un grand appui pour argumenter. Claire Séverac cite d’innombrables sources pour montrer que ces « chemtrails » sont avérés et que ce sont depuis des dizaines d’années des armes de contrôle de la population et de géo-ingénierie qui ont des effets variés sur la faune et la flore, y compris l’homme. En fait les nanoparticules dont ils ont infecté les humains avec leurs vaxins ne sont qu’un détail par rapport à ce qu’ils nous ont fait avaler avec ces épandages toxiques. Il n’y a pas que les avions militaires, mais aussi certains avions civils, notamment tout ce qui est low cost, ce qui explique le faible coût des billets. Dans un chapitre, Claire Séverac attire notre attention sur la consommation de carburant de ces épandeurs, comme de tous les engins de guerre, qui ridiculise en proportion tous les 4×4 civils du monde ! C ’est un argument de poids pour démasquer l’arnaque climatiste, argument que je n’avais jamais entendu jusque-là. « Un seul transporteur non nucléaire à la vapeur, en appui, brûle 5 600 gallons de combustible en une heure — soit deux millions de gallons de mazout tous les quatorze jours. Tous les quatre jours, chaque transporteur en mer utilise un autre demi-million de gallons de carburant pour alimenter ses jets. Pendant qu’il vole pour une mission chemtrails de deux à cinq heures, un seul ravitailleur KC-10 brûle 2 050 gallons de carburant hautement toxique à l’heure. Le KC-135 Stratotanker, plus grand et plus vieux, transporte 31 275 gallons de produits chimiques d’épandage et brûle 2 650 gallons de carburant par heure » (p. 61).

Le projet HAARP ou l’arme absolue, le chapitre II est consacré à ce mot étrange acronyme de High frequency active auroral research program. Il s’agit de l’énergie dirigée, censée être une théorie du complot, mais dont on découvre qu’elle est couramment utilisée par les militaires, comme l’a révélé fin mai 2024 le financement de l’« Iron Beam » par les USA pour Israël. Mais bien évidemment ce ne sont pas de telles armes qui ont pulvérisé les tours de New York le 11 septembre, comme l’a expliqué Judy Wood. Ce chapitre fait froid dans le dos car ces armes plus ou moins secrètes peuvent viser un homme, déclencher un AVC ou un cancer, ou s’attaquer à un pays, déclencher une catastrophe écologique pour persuader la France ou n’importe quel gouvernement récalcitrant de signer un traité sur le « changement climatique ».
Ce livre m’a permis de nuancer ma position sur l’arnaque du changement climatique anthropique. En fait, si, il y a une origine humaine aux phénomènes climatiques actuels, mais ce n’est pas ce qu’on veut nous faire croire. C’est l’action néfaste délibérée de la géo-ingénierie qui crée artificiellement différents désastres ou cataclysmes pour nous faire croire à ce mensonge. « Ils » sont capables de tout !

Les autres outils du génocide, le chapitre III, traite des micro-ondes, des antennes-relais, des Résonances de Schumann, etc.

Avant que cela ne devienne illégal d’être humain, simplement… », le chapitre IV, nous apprend l’existence d’un excellent article très ancien sur les « Stratégies de manipulation », ainsi que d’un article de 2015 intitulé « La non-conformité et la libre-pensée : considérées comme maladies mentales ». Et en plus ces criminels mondialistes qui se font appeler par une ironie diabolique « élites », nous narguent, comme en témoigne cette réponse de Nick Rockefeller à Aaron Russo qu’il tente de recruter pour le retourner, ou cette déclaration de Brzezinski :
Nick Rockefeller : « — Le but est que tous les gens aient une puce pour pouvoir contrôler toute la société […] Nous croyons que la société doit être contrôlée par les élites […] mais ne t’inquiète pas, toi, tu auras une puce spéciale qui te désignera comme l’un des nôtres. Tu seras intouchable… » (p. 349).
« À ce propos, fin 2012, lors d’une conférence en Pologne destinée à un public d’initiés, Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, déclarait que pour la première fois de l’Histoire, les populations étaient politiquement éveillées et que : « stimulée par les moyens de communication modernes, tels que la télévision et Internet, la montée d’une résistance mondiale à tout contrôle externe, conduite par un activisme populiste, menace de faire dérailler la transition vers un Nouvel Ordre mondial ». Il a conclu en disant que cette résistance était « de plus en plus difficile à supprimer » (p. 358).

Qui c’est « ils » ?, le chapitre V, puis la Conclusion traitent la délicate question du « Qui », qui fait de celui qui l’aborde un dangereux kiki ! Nous n’en dirons donc pas un mot et vous conseillons de ne surtout pas lire ce livre ! On apprend en conclusion des détails sur les activités criminelles de Bill Gates, de l’OMS et de l’UNICEF avec leurs campagnes de stérilisation des femmes déguisées en campagnes de vaccination (p. 390). Quand j’ai commencé (en février 2021 si mes souvenirs sont bons) à utiliser le terme « coronazis » pour désigner la mafia à l’œuvre dans la plandémie covidiste, j’ai parfois été rabroué. Or quand je lis dans ce chapitre V ce paragraphe, je pense avoir trouvé le bon terme :
« Plus de 1 500 scientifiques allemands ayant travaillé avec les nazis ont été graciés et récupérés par les États-Unis. On leur a donné de nouveaux papiers d’identité, des salaires plus que confortables, des budgets et des laboratoires pour continuer leurs recherches pour le compte du gouvernement américain. Il y avait des spécialistes dans tous les domaines sensibles : aéronautique, nucléaire, missiles, bombes, et ceux de sinistre réputation ayant travaillé sur les armes chimiques, biologiques et les expériences sur les humains dans les camps. C’était l’opération Paperclip  : le point de départ de tous nos cauchemars… du contrôle mental, des virus, des drogues… tout ce que l’on est en droit de craindre actuellement » (p. 369).
On retient aussi le nom d’un institut qui fait à nouveau parler de lui actuellement : « Le centre du contrôle mental mondial est l’Institut Tavistock des relations humaines (notez l’humour), fondé par le général John Rawlings Rees et dépendant du département militaire britannique de la guerre psychologique. Il allait devenir la plus grande institution de « lavage de cerveau » de la planète, en coordination avec Stanford aux États-Unis, et l’on commence à savoir pas mal de choses sur le sujet, grâce au Dr John Coleman, aux enquêtes de Lyndon LaRouche alias Lyn Marcus, de Daniel Estulin, au livre The Biggest Secret de David Icke et, dernièrement, celui de Maurice Gendre et Thibault Philippe. C’est d’abord une clinique financée par Rothschild et la famille royale anglaise, qui devient un institut en 1947 après l’apport des fonds de Rockefeller et le laboratoire le plus sophistiqué de la « guerre psychologique » et des méthodes de manipulation des masses. Capable d’amener des tranches entières de populations à croire à une fausse réalité, de créer un rassemblement national en jouant sur l’émotionnel (« Je suis Charlie » !), d’organiser des campagnes pour influencer les gens en leur laissant croire que ce sont eux qui décident : Mai 68, l’entrée des Américains dans la Seconde Guerre mondiale, la guerre d’Irak avec les fausses armes chimiques de Saddam Hussein, la Révolution sexuelle et la vulgarisation du rapport Kinsey – lui aussi financé par la fondation Rockefeller – qui, en affirmant que les bébés ont des orgasmes comme les adultes, devrait légitimer les pratiques les plus dépravées de ces élites, la vulgarisation de la drogue joyeuse par les Beatles, un groupe de musiciens adulé de la jeunesse… » (p. 370).
C’est marrant, même quand la presse des milliardaires aborde le scandale actuel de cette clinique Tavistock spécialisée dans la mutilation sexuelle des enfants (ils appellent cela « transition de genre »), elle omet de préciser le nom des criminels… Le site mondialiste Wikipédia confirme que Institut Tavistock et Tavistock Clinic sont les deux couilles de la même bite. Bien entendu, les deux financeurs de cette chose ne sont pas nommés, mais le mot « conspirationniste », lui, est bien présent dans l’article ! Eh oui mes petits poulets, les conspirationnistes sont là pour dénoncer les conspirations des conspirateurs, dans la lignée d’Émile Zola !

Lionel Labosse


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Source : Altersexualité

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