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OVID : AstraZeneca retire son vaccin du marché.

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14 mai 2024 #SudRadio #CA_BALANCE Avec Christine Cotton, biostatisticienne, auteure de « Tous vaccinés, tous protégés ? Vaccins Covid-19, chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée » publié aux éditions Guy Trédaniel. Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.

Source : Youtube

12 Réponse(s) à "OVID : AstraZeneca retire son vaccin du marché."

Daniel22 dit :

15 mai 2024 à 17 h 20 min

Après avoir tous fait des milliards de bénéfices ….
Le hic c’est que les assurances vie ( qui sont aussi les banques ) doivent payer
Les nouveaux contrats excluent les personnes » vaccinés »
Tout est histoire de pognon et quelque soit le sujet on y reviens
Si vous voulez savoir le pourquoi des choses , suivez l’argent

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Souriquet dit :

15 mai 2024 à 10 h 44 min

Simple remarque incidente à l’usage des enquêteurs amateurs et qui veulent aller un peu plus loin que les premières apparences.

Les éditions Guy Trédaniel ont constitué, dès leur création, un organe de propagande GNOSTIQUE (« La Gnose, selon le 33° Albert Pike, est l’âme et la moelle de la Franc-maçonnerie »).

Elles le sont resté.

Si, initialement, seuls quelques enragés immédiatement reconnaissables publiaient chez cet éditeur, et, compte-tenu du fait que la gnose est quelque chose de très complexé et équivoque, multiforme et mal connu, la clientèle des très accueillantes Éditions G. T. s’est étendue jusqu’à des auteurs ignorant tout ou presque de la F.-M.

Cependant, ces nouvelles recrues possèdent une caractéristique commune : ils croient en la possibilité d’un paradis terrestre et aux « Droits de l’homme » sans Dieu. Les volontaires partant travailler dans les Kolkhozes en URSS y croyaient aussi.

Mieux vaut être prévenu, d’autant que certains des livres publiés chez G. T. peuvent contenir beaucoup de vérités. N’oublions pas la mise en garde d’Isaac Asimov : » Plus un mensonge est proche de la vérité, plus il est efficace ; et la vérité elle-même, lorsque l’on peut en faire usage, est le meilleur des mensonges ”

A bon entendeur,

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1. Bénédicte G. dit :
  
  15 mai 2024 à 18 h 20 min
  
  Je ne comprends pas cette citation d’Asimov faisant de la vérité le meilleur des mensonges. Merci de m’éclairer sur cette phrase énigmatique.
  
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  1. Souriquet dit :
    
    15 mai 2024 à 22 h 41 min
    
    Avec plaisir.
    
    Lorsque que vous êtes à la pêche, vous enfilez un asticot (=bon, vérité, vrai, bien, pour le poisson) autour de l’hameçon (=arme qui tuera le poisson). C’est l’essence-même de la tromperie. Sans asticot ou autre leurre, le poisson ne mordra jamais dans le fer du hameçon. Plus l’asticot est gros, mieux ça marche.
    Ça peut même aller plus loin dans l’audace.
    La géopolitique prédatrice utilise ce principe en permanence.
    Lisez Pierre Nord (« L’intoxication »), Vladimir Volkoff (ses quelques livres sur la désinformation), Sun Zu (« L’art de la guerre »), etc.
    Hélas, chère Bénédicte, si tout ce qui nous apparait n’est pas faux au sens propre du terme, toutes les belles vérités du JT sont des instruments de tromperie …
    
    L’homme est ainsi fait : capable du mal. Nous n’aurons jamais la paix sur terre …
    
    Bien à vous,
    
    S
    
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    1. Bénédicte G. dit :
      
      16 mai 2024 à 17 h 40 min
      
      Merci pour votre longue réponse, je ne sais pas si nous aurons un jour la paix sur terre, car si l’homme est capable du pire, il est aussi capable du meilleur. Et je parie toujours sur notre capacité d’évolution car sur le temps long, l’homme a quand même gagné en humanité
      
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Raso dit :

15 mai 2024 à 10 h 37 min

Merci à Christine Cotton pour son éclairage et sa pertinence.
Pour Astrazeneca, le fait d’avoir retiré ce produit ne changera rien à la sentence, car à un moment ou à un autre il y en aura une, c’est sûr et certain. Avec les millions de morts ou de blessures causés dans le monde, il devra un jour ou l’autre payer les pots cassés.
Quand à Bercoff, j’aimerais bien qu’il invite un jour un Résistant (comme le général Delawarde par exemple) pour parler du génocide de Gaza. Le fera-t-il ? Non bien sûr.
Et pour cause, c’est un sioniste.

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Bénédicte G. dit :

15 mai 2024 à 10 h 12 min

Merci à Christine Cotton qui, grâce à son expérience professionnelle, met en lumière de façon incontestable en se basant sur la documentation officielle issue des essais cliniques l’énorme supercherie que fut la « vaccination » de masse. Tout était prévisible, tout était écrit dans la doc officielle et dans les avis de la HAS et pourtant ministres, médecins et journalistes prétendant se baser sur la science et ses données ont quasiment forcé les gens à faire cette injection inutile et nocive, vu ses effets secondaires.
La conséquence, c’est une santé publique détruite, des maladies et des souffrances, des gens qui sont morts seuls parce que privés des médicaments qui soignent, un énorme transfert de fonds publics dans des poches privées ( 72 milliards donnés par l’UE et Ursula Van der Leyen pour ces injections par contrats opaques) et une économie européenne si ralentie par ces confinements qu’elle a fragilisé un certain nombre de PME, les conduisant à terme à la faillite.
Et pour couronner le tout, Reiner Fuellmich, l’avocat allemand qui a réuni les preuves de cette opération mondialisée menée par l’OMS et alerté très tôt sur les graves effets secondaires de ces injections, se retrouve aujourd’hui en prison après avoir été arrêté par ruse.
Voilà le visage de nos démocraties: mensonges et corruptions.
Ce serait à désespérer s’il ne restait des gens intègres, courageux et déterminés à faire éclater la vérité. Ce qui ne manquera pas de se produire car on sent le tsunami arriver

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Chercheur de vérité dit :

15 mai 2024 à 6 h 04 min

Pourquoi qualifier de vaccin ce qui n’en est pas? J’opterai plutôt pour injections expérimentales.

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1. Le Précurseur dit :
  
  15 mai 2024 à 7 h 31 min
  
  Vous n’échapperez pas aux habitudes sémantiques hélas. Une fois que les habitudes sont prises, c’est quasi impossible de faire revenir les gens là-dessus.
  Par exemple : les gens parlent souvent d’Islamophobie ou d’homophobie pour attaquer les gens.
  Or pour homophobie, il faut savoir que homo en latin signifie l’homme et la phobie, chacun sait que c’est de la peur pas de la haine. Donc si je suis homophobe, ça veut juste dire que j’ai peur de l’homme, rien d’autre. Pareil pour l’islamophobie.
  Hé bien vous avez beau expliquer ça aux gens, rien à faire, les gens s’accrochent désespérément à ça car, du coup, ils n’ont plus rien pour pointer ça du doigt…😐
  
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  1. JLG dit :
    
    15 mai 2024 à 10 h 20 min
    
    Le Précurseur,
    
    vous avez parfaitement raison sur les habitudes sémantiques.
    
    Aux exemples que vous donnez on pourrait ajouter le mot « virus » que même ceux qui contestent leur existence même l’emploient parfois et sont aussitôt rembarrés comme ceux qui disent vaccins au lieu d’injection expérimentale qui n’est pas plus appropriée car elle pourrait s’appliquer à d’autres traitements.
    
    C’est pour cela que j’emploie systématiquement le néologisme « toxin » pour bien montrer qu’il s’agit d’empoisonnement et non de soins.
    
    Cordialement.
    
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2. André ROBERT dit :
  
  15 mai 2024 à 8 h 40 min
  
  Christine Cotton a toujours pris soin de rester dans son rôle. Elle ne fait pas partie du corps médical et ne s’est donc pas préoccupée de savoir si ce vaccin en était bien un ou pas.
  Elle était face à un produit délivré par un labo. Elle a donc fait ce qu’elle sait faire : Une analyse minutieuse des essais cliniques. Elle n’y était pas obligée, elle l’a pourtant fait, et magistralement.
  Ici, sur Sud Radio, elle s’est montrée plus percutante que jamais.
  Après, je suis évidemment d’accord avec vous : ce produit a été appelé vaccin pour berner son monde .
  
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  1. JLG dit :
    
    15 mai 2024 à 10 h 25 min
    
    André Robert,
    
    « ….ce produit a été appelé vaccin pour berner son monde. »
    
    Cela a même été dit par un haut responsable de Bayer. Une vidéo a été diffusée à l’époque de sa conférence.
    
    Il a dit quelque chose comme « si on avait parlé d’injection expérimentale ARN personne ne se serait fait injecter ».
    
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