Nouvelles failles   

Vous connaissez mon occupation préférée : repérer les failles apparues dans le paradigme médical pasteurien à la faveur de la mascarade et attendre impatiemment qu’il s’écroule comme un iceberg miné par les fissures. Celles-ci deviennent tellement nombreuses que la question n’est plus de savoir si le mythe des microbes pathogènes va s’effondrer, mais quand. Quand va-t-on s’apercevoir que l’empereur Pasteur est nu et que les virus et bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les adeptes de la « théorie du germe » réalisent leur erreur judiciaire et absolvent les agents bactériens ou viraux pour désigner les vrais coupables des pathologies infectieuses, à savoir les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles et les agressions environnementales ? Dans ma série « Comment le corona a tué Pasteur », j’avais pointé pas moins de 16 lézardes dans le récit faisant du sars-cov2 le responsable des syndromes grippaux et pneumopathiques regroupés sous la casquette covid. Cette semaine, je vous propose d’observer trois nouvelles failles mettant à mal la légende virale et la croyance selon laquelle ce type de particule est une menace pour la santé humaine. On démarre en fanfare avec le constat que le vilain coco couronné possède des opinions géopolitiques.

Le coco tueur a attaqué l’OTAN  !

C’est en effet ce que souligne le Général Dominique Delawarde dans son dernier « rapport final » sur le covid https://www.breizh-info.com/2024/01/09/228702/covid-19-le-rapport-final-au-1er-janvier-2024/. Il avait déjà noté ce curieux phénomène l’année dernière et il le confirme ironiquement dans son analyse 2024: le coronavirus doit être l’allié des Russes puisqu’il s’attaque étrangement et très préférentiellement aux pays membres de l’OTAN ! À eux seuls, les 31 pays de l’Alliance Atlantique-Nord représentent 2/3 des morts du covid enregistrés en 2023. Depuis le début de la « pandémie », 2,8 millions de décès sont survenus au sein de l’espace OTAN, ce qui représente 40,3% de la mortalité planétaire alors qu’à peine 12% de la population mondiale habite en terre otanienne. Cherchez l’erreur ! À eux seuls, les USA et la Grande-Bretagne s’octroient 51% des « covidécédés » de l’an dernier alors que ces deux nations ne représentent même pas 10% de l’humanité. Il faut donc se rendre à l’évidence : le virus est tellement rusé qu’il sélectionne ses victimes selon leur appartenance politico-militaire. Muni de sa petite valise remplie de protéines pointues, le méchant coco se présente aux frontières, examine le drapeau et se propage dans les pays atlantistes avec une partialité éhontée. Il épargne complètement l’Afrique, néglige le « sud Global », tourne le dos à l’axe russo-chinois et cible cinq fois plus les Occidentaux. Trop fort, l’agent réputé pourtant si contagieux par voie aérienne ! Je ricane, je ricane, mais c’est pour mieux réclamer un peu de sérieux : il crève les yeux que le fléau prétendument infectieux a sévi dans les pays qui ont le plus paniqué et le plus vacciné. Maintenant que les chiffres ont parlé, la thèse virale ne peut définitivement plus faire illusion.

Aucune mesure anticovid n’a fonctionné

Cette deuxième faille, je l’avais déjà relevée dans ma série d’articles dépasteurisants. Je ne résiste pas à l’envie de la resservir car c’est le Pr Didier Raoult lui-même qui m’en donne l’occasion, Dans un tweet récent, l’infectiologue marseillais mentionne en effet l’étude parue le 13 janvier dernier dans le Journal of Clinical Medicine. Effectué dans les pays d’Europe du Nord, ce travail de recherche montre qu’aucune décision gouvernementale (confinement, masque, vaccination…) n’a eu d’effet sur l’épidémie et que seule la saison a joué un rôle. Certes, cette nouvelle étude ne vient que s’ajouter aux nombreux travaux scientifiques ayant déjà montré que les réponses apportées à la « crise sanitaire » n’ont eu aucun impact sur son évolution, la plupart d’entre elles s’étant même avérées délétères. Ce n’est pas la première fois non plus que des chercheurs mettent en exergue le caractère saisonnier de la maladie ayant soi-disant émergé en 2020. Ce qui est nouveau, c’est que le grand savant à dégaine druidique se résolve à admettre l’inutilité totale des interventions non-pharmaceutiques (NPI). Jusqu’ici, il en a critiqué l’adoption injustifiée et les excès liberticides mais il n’en a jamais, à ma connaissance, contesté le principe. À rebours de tous ses collègues, il a postulé que l’agent infectieux se répandait par contact et non par aérosols, mais il n’a jamais remis en cause la politique consistant à faire barrage au virus et ses variants. Le pasteurisme est une prison mentale dont on ne s’évade pas si facilement. Avec cette étude, va-t-il prendre conscience que ses résultats sont fatals au mythe de la contagion ? Car c’est exactement ce que prouvent les recherches établissant l’inefficacité totale des NPI : il n’y a pas de pathogène dont il y a lieu de se protéger en se masquant, se confinant ou se vaccinant. Si ces stratégies avaient fonctionné, ne fût-ce qu’un peu, ça aurait signifié qu’il y avait peut-être une particule virale qu’il fallait empêcher de circuler. Comme elles n’ont pas du tout fonctionné, ça signifie qu’il n’y en avait pas. CQFD.

Les experts en bioterrorisme n’y croient pas

Vous connaissez mon occupation préférée : repérer les failles apparues dans le paradigme médical pasteurien à la faveur de la mascarade et attendre impatiemment qu’il s’écroule comme un iceberg miné par les fissures. Celles-ci deviennent tellement nombreuses que la question n’est plus de savoir si le mythe des microbes pathogènes va s’effondrer, mais quand. Quand va-t-on s’apercevoir que l’empereur Pasteur est nu et que les virus et bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les adeptes de la « théorie du germe » réalisent leur erreur judiciaire et absolvent les agents bactériens ou viraux pour désigner les vrais coupables des pathologies infectieuses, à savoir les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles et les agressions environnementales ? Dans ma série « Comment le corona a tué Pasteur » , j’avais pointé pas moins de 16 lézardes dans le récit faisant du sars-cov2 le responsable des syndromes grippaux et pneumopathiques regroupés sous la casquette covid. Cette semaine, je vous propose d’observer trois nouvelles failles mettant à mal la légende virale et la croyance selon laquelle ce type de particule est une menace pour la santé humaine. On démarre en fanfare avec le constat que le vilain coco couronné possède des opinions géopolitiques.

Le coco tueur a attaqué l’OTAN  !

C’est en effet ce que souligne le Général Dominique Delawarde dans son dernier « rapport final » sur le covid. Il avait déjà noté ce curieux phénomène l’année dernière et il le confirme ironiquement dans son analyse 2024: le coronavirus doit être l’allié des Russes puisqu’il s’attaque étrangement et très préférentiellement aux pays membres de l’OTAN ! À eux seuls, les 31 pays de l’Alliance Atlantique-Nord représentent 2/3 des morts du covid enregistrés en 2023. Depuis le début de la « pandémie », 2,8 millions de décès sont survenus au sein de l’espace OTAN, ce qui représente 40,3% de la mortalité planétaire alors qu’à peine 12% de la population mondiale habite en terre otanienne. Cherchez l’erreur ! À eux seuls, les USA et la Grande-Bretagne s’octroient 51% des « covidécédés » de l’an dernier alors que ces deux nations ne représentent même pas 10% de l’humanité. Il faut donc se rendre à l’évidence : le virus est tellement rusé qu’il sélectionne ses victimes selon leur appartenance politico-militaire. Muni de sa petite valise remplie de protéines pointues, le méchant coco se présente aux frontières, examine le drapeau et se propage dans les pays atlantistes avec une partialité éhontée. Il épargne complètement l’Afrique, néglige le « sud Global », tourne le dos à l’axe russo-chinois et cible cinq fois plus les Occidentaux. Trop fort, l’agent réputé pourtant si contagieux par voie aérienne ! Je ricane, je ricane, mais c’est pour mieux réclamer un peu de sérieux : il crève les yeux que le fléau prétendument infectieux a sévi dans les pays qui ont le plus paniqué et le plus vacciné. Maintenant que les chiffres ont parlé, la thèse virale ne peut définitivement plus faire illusion.

Aucune mesure anticovid n’a fonctionné

Cette deuxième faille, je l’avais déjà relevée dans ma série d’articles dépasteurisants. Je ne résiste pas à l’envie de la resservir car c’est le Pr Didier Raoult lui-même qui m’en donne l’occasion, Dans un tweet récent, l’infectiologue marseillais mentionne en effet l’étude parue le 13 janvier dernier dans le Journal of Clinical Medicine. Effectué dans les pays d’Europe du Nord, ce travail de recherche montre qu’aucune décision gouvernementale (confinement, masque, vaccination…) n’a eu d’effet sur l’épidémie et que seule la saison a joué un rôle. Certes, cette nouvelle étude ne vient que s’ajouter aux nombreux travaux scientifiques ayant déjà montré que les réponses apportées à la « crise sanitaire » n’ont eu aucun impact sur son évolution, la plupart d’entre elles s’étant même avérées délétères. Ce n’est pas la première fois non plus que des chercheurs mettent en exergue le caractère saisonnier de la maladie ayant soi-disant émergé en 2020. Ce qui est nouveau, c’est que le grand savant à dégaine druidique se résolve à admettre l’inutilité totale des interventions non-pharmaceutiques (NPI). Jusqu’ici, il en a critiqué l’adoption injustifiée et les excès liberticides mais il n’en a jamais, à ma connaissance, contesté le principe. À rebours de tous ses collègues, il a postulé que l’agent infectieux se répandait par contact et non par aérosols, mais il n’a jamais remis en cause la politique consistant à faire barrage au virus et ses variants. Le pasteurisme est une prison mentale dont on ne s’évade pas si facilement. Avec cette étude, va-t-il prendre conscience que ses résultats sont fatals au mythe de la contagion ? Car c’est exactement ce que prouvent les recherches établissant l’inefficacité totale des NPI : il n’y a pas de pathogène dont il y a lieu de se protéger en se masquant, se confinant ou se vaccinant. Si ces stratégies avaient fonctionné, ne fût-ce qu’un peu, ça aurait signifié qu’il y avait peut-être une particule virale qu’il fallait empêcher de circuler. Comme elles n’ont pas du tout fonctionné, ça signifie qu’il n’y en avait pas. CQFD.

Les experts en bioterrorisme n’y croient pas

À défaut de virer sa cuti pasteurienne, Didier Raoult est persuadé d’une chose : le coco ne s’est pas échappé d’un labo où l’on serait parvenu à doper sa virulence. C’est ce qu’il déclare dans la vidéo que je mettais en lien il y a quinze jours. Il dit « ne pas croire » à cette hypothèse car il n’a jamais vu qu’un virus manipulé en laboratoire voyait son potentiel de nuisance augmenté. Or faut-il rappeler que le brillant professeur est également considéré comme un expert en bioterrorisme ? Faut-il rappeler qu’il a même été mandaté en 2001 par les Américains pour enquêter sur ce qu’on a appelé les « attaques à l’anthrax » ? Visiblement, son expertise l’amène à se méfier du narratif relatif au « gain de fonction » et à la militarisation des virus. Il n’est pas le seul puisque le Dr Martin Zizi partage ce point de vue. Pour ceux qui ne le connaitraient pas encore, ce médecin, biophysicien et épidémiologiste belge n’est pas seulement un opposant de premier plan et de la première heure à la doxa covidiste. Il est aussi un expert mondialement reconnu des armes biologiques, qui a notamment été envoyé en Irak par le Conseil de Sécurité de l’ONU pour inspecter l’arsenal bactériologique supposément constitué par Saddam Hussein. S’il y a bien quelqu’un apte à juger de la faisabilité du bioterrorisme, c’est le Dr Zizi ! Or que dit le scientifique dans l’interview qu’il a accordée fin décembre à Senta Depuydt ? Qu’il n’y a aucune raison d’incriminer un virus trafiqué, thèse qu’il qualifie de « baliverne ». D’abord parce que le virus naturel circulait déjà sur plusieurs continents au printemps 2019, ce qui a été révélé par des tests sérologiques. Ensuite parce qu’il n’y a pas eu de morts durant ce laps de temps pendant lequel on a soigné les gens. Et enfin parce que les lois de la vie sont ainsi faites qu’un virus ne peut pas être à la fois très contagieux et très dangereux, ce qui en fait une « mauvaise arme ». Voilà donc un éminent « bioweapon examiner » qui n’a jamais rencontré d’agent bactérien ou viral transformé en instrument de destruction massive. Comme je l’ai écrit maintes fois, ce cauchemar pasteurien ne repose sur rien et Martin Zizi apporte de l’eau à mon moulin, au moulin de tous ceux qui savent que les microbes sont inoffensifs sur terrain sain. Pour le professeur, le vrai danger se situe dans la manipulation génétique des plantes nourricières et dans le développement des vaccins géniques, pas dans la perspective très improbable de mettre au point une arme biologique. Croire que le vivant puisse semer la mort, c’est le fantasme morbide des adeptes de Pasteur. Leur religion est en train de se fracasser contre le réel et l’on ne peut que s’en réjouir. Entendez-vous l’iceberg craquer ?

Yves Rasir

Source : Néo Santé

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