Futurs parents, informez-vous sur ce produit injecté à votre bébé dès la naissance, non testé sur les nouveau-nés !

La lettre de la LNPLV 26 déc. 2023

Clémence Houdiakova, journaliste de l’émission Tocsin Média, interviewe Hélène Banoun, pharmacienne biologiste, sans conflit d’intérêts, sur ce nouveau “vaccin” contre la bronchiolite développé par les laboratoires Sanofi Pasteur et AstraZeneca, (Beyfortus®), mais ne peut diffuser cet enregistrement que sur Twitter pour passer entre les mailles de la censure.

En effet, le sujet est brûlant, il s’agit du nouveau produit nommé encore une fois “vaccin” or non, ce produit n’est pas un vaccin, c’est un “anticorps monoclonal”, approuvé en urgence par l’EMA (Agence Européenne du Médicament), sans attendre des résultats d’études cliniques approfondies… cela rappelle fortement la rapidité pour l’injection contre le covid….

Le prix de vente de ce produit n’est pas diffusé, et la pression est mise sur les nouvelles mères, leur faisant croire qu’elles sont “chanceuses” que leur bébé puisse en bénéficier.

Or, sur la période entre septembre et octobre 2023, les décès de bébés âgés entre 2 et 6 jours ont augmenté de 50 % après les injections.

Futurs parents, informez-vous et sachez que ce vaccin n’est pas obligatoire !

Emission Tocsin du 20/12/2023 à écouter en cliquant ici (et à diffuser).

Hélène Banoun étant censurée a créé cette chaîne sur laquelle elle peut informer librement, en cliquant ici

Tweeter de Hélène Banoun


“Le train du Beyfortus® a déjà déraillé”

Christine Mackoi (*), biostatisticienne lanceuse d’alerte, démontre par ses calculs d’une hausse très significative du nombre de décès des bébés entre 2 et 6 jours de vie, sur ces deux mois d’affilés de septembre et octobre 2023, depuis l’injection de cette « thérapie monoclonale préventive contre la bronchiolite » (Beyfortus®), probablement jamais testée chez les nouveau-nés, comme involontairement déclaré par la HAS (Haute Autorité de Santé).

Un taux de décès significatif est exceptionnel, mais peut néanmoins se produire de temps en temps, par contre, il est anormal que cela se produise deux mois de suite.

“La concomitance des injections de “Beyfortus” et des excès de décès de nourrissons est plus que troublante, et ne fait que confirmer les mises en garde d’Hélène Banoun.”

Article complet de l’AIMSIB du 10/12/2023 en cliquant ici

(*) Christine Mackoi est le pseudonyme de cette biostatisticienne, (qui préfère rester incognito, moyen vital pour conserver son emploi en France), titulaire d’un DEA de biomathématiques obtenu après une maîtrise de biologie moléculaire et génétique, spécialisée dans les statistiques appliquées à la recherche médicale (étude d’intervention, épidémiologie, annotation génomique).


Alerte sur le Beyfortus®

Une trop curieuse coïncidence…
Il semble que les maternités aient été les premières servies. Depuis le 15 septembre 2023 donc, on injecte le Beyfortus® à des nourrissons âgés de trois ou quatre jours, avant même leur sortie. Prématurés ou pas, à peine nés, déjà piqués !

Article complet de Pryska Ducœurjoly pour Néosanté du 06/12/2023 en cliquant ici


Source : LNPLV

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