Le projet « Coast », un projet gouvernemental diabolique qui revêt beaucoup de points communs avec la crise Covid.

C’est un nom qui sent bon les vacances, mais ne nous y trompons pas.

Les faits sont presque impossibles à croire tellement la pensée qui en est à l’origine est diabolique. Mais ce projet a bel et bien existé, attesté par les nombreux rapports et jugements rendus depuis (voir l’abondante sitographie en fin d’article).

Il permet à toute personne dotée d’un minimum d’esprit critique de prendre conscience d’une chose primordiale : un gouvernement n’est pas toujours là pour agir dans l’intérêt de sa population. Si l’on pousse le raisonnement : ce n’est pas toujours l’intérêt général qui pousse nos gouvernants à agir. Et pire encore : un gouvernement peut décider avec l’appui de la science de tuer une partie déterminée de sa population.

Si le Covid a permis de commencer à casser ce mythe chez beaucoup de gens jusqu’alors aveuglés par leur confort et qui n’ont pas compris la logique décisionnelle gouvernementale, revenir sur le projet Coast – projet méconnu – en Afrique du Sud permet de dissiper tout doute.

La seule différence entre le Covid et le projet Coast réside dans le mobil intrinsèquement raciste du second. Pour le reste, nous verrons qu’un faisceau de présomption très fort commence à concorder entre les deux.

Avant tout, de quoi s’agit-il ?

Le Projet Coast était un programme d’armes bactériologiques et chimiques secret-défense du gouvernement d’Afrique du Sud durant l’apartheid, bénéficiant du silence des grandes puissances occidentales. Ce programme, actif de 1981 à 1993, visait à contrôler la démographie de la population noire d’Afrique du Sud en créant des armes biologiques ne s’attaquant qu’aux populations noires.

En 1981, Wouter Basson (surnommé par la suite « Docteur La Mort »), médecin personnel du président Pieter Botha, fut nommé, avec le grade de lieutenant-colonel, chef du « Projet Coast » chargé de développer des armes bactériologiques et chimiques et que l’état-major de l’armée sud-africaine présenta comme un « programme défensif » lancé secrètement par le général Constand Viljoen, alors chef des forces de défense d’Afrique du Sud (South African Defence Force) puis plus tard fondateur du Front de la liberté.

Dans le documentaire Marchands d’anthrax : vers une guerre bactériologique ?, Wouter Basson affirme à Roberto Coen que « la Bombe noire, visant à infecter uniquement la population noire, a été un projet génial, le plus amusant de sa vie. ».

En 1983, une bactérie capable de tuer seulement les noirs aurait été déclarée opérationnelle : le poison ne serait pas basé sur la couleur de peau mais sur la différence de polymorphisme et fonctionnerait donc sur un albinos d’origine africaine mais pas sur un Indien à peau noire. Une arme capable de stériliser seulement les femmes d’origine africaine aurait aussi été créée durant le Projet Coast, fonctionnant aussi sur la différence polymorphique, l’arme fonctionnait comme un vaccin immunisant le corps contre le sperme. Si le projet a développé de nombreux poisons (anthrax dans des cigarettes ou des enveloppes, cyanure de potassium dans des cigares ou chocolats, du botulinum dans le lait, des tournevis et des parapluies empoisonnés ou du paraboxon dans le whisky, de nombreux aliments au thallium) contaminant des produits destinés à être en contact avec les Noirs, l’existence ou l’opérationnabilité de cette bactérie ou de ce vaccin n’est pas attestée.

Le 22 avril 2002, au bout de trente mois de procès, 46 chefs d’accusation, 153 témoins à charge et plus de 40 000 documents relatant diverses méthodes d’empoisonnements et d’assassinats, le cardiologue sud-africain Wouter Basson est acquitté par le juge Hartzenberg qui lui accorde l’amnistie. L’État sud-africain fait appel devant la Cour suprême qui refuse un nouveau procès.

En septembre 2005, la cour constitutionnelle juge que le docteur Basson peut être rejugé pour crimes contre l’humanité. Aucune procédure judiciaire en ce sens n’a cependant été engagée dans ce but. (Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Coast)

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L’analyse de ce projet, qui a été mis en œuvre, et dont beaucoup de nos concitoyens n’ont même pas connaissance, autorise plusieurs réflexions (10) :

1)     C’est un incontestable précédent. Or, tout précédent est amené possiblement à se reproduire (« qui ne connait pas son histoire est amené à la revivre »). Ce précédent est très méconnu par chez nous de surcroît, ou l’abrutissement de masse (arrivée de l’internet dans l’éducation permettant de distraire les jeunes esprits qui tolèrent davantage l’enfermement) s’est accru depuis les 10 dernières années depuis la grippe H1N1. Ce qui permet, pour un gouvernant, d’intégrer facilement et immédiatement une intuition qui y ferait référence comme « complotiste ». Autre précédent : https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_pain_maudit

2)     Cela permet de comprendre pourquoi tout à coup en France, qui fut sans doute l’un des laboratoires de l’expérimentation pandémique mondiale (au regard de sa supposée tendance revendicatrice/révolutionnaire confirmée par son histoire constitutionnelle) avec Israël, tout ce qui touche à la pandémie est passé « secret défense », bloqué pour 75 ans. Cela permet d’expliquer les mouvements militaires de février-mars 2020 et les formations spécifiques dispensées en urgences aux hommes du rang (tir en combi NRBC spécifique Coronavirus) dès février 2020, avant le déclenchement du confinement.

3)     Cela fait sens avec l’idée au départ intuitée par des complotistes, puis qui s’est avérée vraie, que le virus du Covid-19 est issu d’une fuite d’un laboratoire et qu’il est issu d’une manipulation humaine. (La seule différence officiellement entre le complotisme et la réalité ne tient plus que dans l’élément intentionnel qui est de moins en moins solide). Démonstration ayant été faite par le Major Murphy, que le Covid serait issu de recherches en gains de fonctions financées par les américains et à travers une collaboration entre les armées américaines et chinoise (cette dernière étant très intéressée par la maitrise d’un programme de guerre biologique et l’armée américaine investit massivement dans ces techniques de guerre, en étant même la meilleure armée mondiale dans ce secteur). Il suffit de citer la question écrite n° E-000179/2022 posée le 14 janvier 2022 à la Commission européenne par la député Virginie Joron :

« Le 11 janvier 2021 a été publié le rapport du Major Murphy sur l’origine de la COVID-19, qui aurait été rédigé pour l’agence américaine DARPA de recherche militaire (https://thedcpatriot.com/project-veritas-releases-military-documents-about-gain-of-function-research-contradicting-faucis-testimony-under-oath/?s=09). L’officier affirme que la COVID-19 est issue d’un projet de recherche (Defuse) sur les chauves-souris, mené en Chine et aux États-Unis par l’ONG Ecohealth alliance et financé par le NIAID. La DARPA aurait reçu d’Ecohealth cette proposition en 2018, mais aurait refusé de financer les 14 millions de dollars demandés, dont environ 1 million pour le laboratoire de Wuhan, car jugeait le projet trop dangereux. Un montant de 86 378,25 dollars était prévu pour disperser un test d’aérosol immunogène dans une grotte de chauves-souris en Chine. »

4)     Le « protocole de Genève » de 1925 concernant la prohibition d’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (et qui est très faible juridiquement, ne prévoyant aucun contrôle), a été interprété comme n’interdisant pas une application « NRBC » (i.e : nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique) d’un Etat à sa propre population (assez étonnant au regard du précédent récent invoqué par les américains pour faire la guerre en Syrie selon lequel Assad aurait « gazé son peuple » – ce qui reste à démontrer – ou du précédent de la guerre en Irak pour cause d’armes bactériologiques « de destruction massive », dont le mensonge a été depuis révélé par tous les médias dominants).

5)     Ces armes biologiques ont été conçues pour stériliser massivement et faire mourir lentement une catégorie précise de population ciblée et déterminée. Et ce, dans le seul but qu’elle en « gêne » une autre.

6)     L’un des armes utilisées a été le « vaccin ». cf : Libération, 27 mai 2012 :

« Deux cents chercheurs et biologistes ont travaillé pour Project Coast. Beaucoup d’entre eux ignoraient – ou préféraient ignorer – qu’ils étaient les petites mains d’un programme effroyable. Des médecins ont aussi avoué avoir participé à l’élaboration d’un vaccin destiné à stériliser les femmes à leur insu. Vingt-quatre sortes de poisons ont été testées et développées durant ces années-là : des cigarettes bourrées d’anthrax, des venins recueillis sur des serpents, des bactéries de salmonelle saupoudrées dans des sucrières. Des tournevis, des parapluies, des sous-vêtements ont également été contaminés avec des substances asphyxiantes. ».

Où est la dignité humaine de populations que leur gouvernement a considéré comme des souris ou des pigeons ?

7)     Tous les médecins impliqués ont suivi, obéi, adhéré. Aucun n’a contesté, révélé ou dénoncé. Personne ne s’est questionné. Toute ressemblance avec une situation existante (et même ayant existé) ne serait que purement fortuite ?

8)     Le contexte de « guerre civile » propice à ce genre d’idées, qui rejoint le projet néolibéral de gestion d’une pandémie par la coercition, le contrôle social et le développement de la techno-police : selon le chef d’état-major des armées sud-africain de l’époque : « le projet devait développer des moyens scientifiques pour maîtriser une foule sans avoir à user d’armes létales ». Comme disaient Rabelais et Canguilhem : « Science sans conscience ». La foi irraisonnée en la « science » excipée alors en réflexe par tous les vaccinolâtres de plateaux devient inquiétante au regard de tels précédents et ferait mieux de les faire réfléchir : la science peut (aussi) servir à tuer (et cela peut venir des gouvernants ou avec leur aval – et cela, nous le savons depuis les atrocités de la deuxième Guerre Mondiale et la pensée sur la biopolitique et ses rapports avec le totalitarisme).

9)     Personne n’a été condamné. Malgré la réalité avérée du projet, son concepteur a été acquitté lors d’un procès, amnistié, et – pire encore – est encore médecin, il vit aujourd’hui une vie normale et coule des jours heureux. Un peu comme Fabius qui a continué une superbe carrière jusqu’à la présidence du Conseil constitutionnel… Bref, l’hyperclasse mondiale semble persuadée de s’en sortir au vu de ce précédent.

10)     ET SURTOUT : LA DISQUALIFICATION POUR « COMPLOTISME » N’EST QU’UNE FACILITE POUR LES GOUVERNEMENTS MODERNES LEUR PERMETTANT D’UTILISER LE NIVEAU D’INCULTURE ET DE SOUS INFORMATION DES POPULATIONS ET DES OPINIONS PUBLIQUES CONTRE ELLES MEMES AFIN DE FAIRE TAIRE, DE CACHER OU DE FAIRE REFOULER CERTAINES INTUITIONS SAINES.

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Sitographie de sources médiatiques mainstream, plurielles et officielles pour comprendre la véracité et la réalité de ces faits abjectes, qui peuvent être difficile à croire :

Lien connexes pour approfondir :

Voir aussi le Projet 112 : test de vaporisation d’un bacille dans les ampoules du métro de New York entre le 7 et le 10 juin 1966, déclenchant une épidémie : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Projet_112.

Jean-Robert Grégoire, consultant

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