« Education à la sexualité » ou massacre des innocents ?

« Il est grand temps de rallumer les étoiles… » 

             Guillaume Apollinaire 

Risques de dégâts traumatiques pour les enfants

Des psychologues et des pédopsychiatres constatent d’ores et déjà des traumatismes chez des enfants de l’école primaire (Maternelle 3-6 ans et élémentaire 6-10 ans) qu’ils reçoivent en consultation. Ils alertent sur les risques traumatiques encourus par les enfants après seulement 1 séance d’éducation à la sexualité. On peut dès lors imaginer que cela ne pourra qu’empirer à long terme.

Les enfants subissent une effraction psychique dont les effets se traduisent sous des formes différentes, tels que des états de mutisme, des phobies scolaires, des somatisations (maux de ventre, troubles du sommeil, énurésie), des comportements régressifs (reprise du “Doudou” pour retourner à un stade antérieur sécurisant, refuge dans l’imaginaire). Les experts alertent également sur des troubles cognitifs qui compromettent leurs apprentissages. C’est globalement dû à l’énergie que les enfants doivent déployer pour intégrer l’information reçue et pour parvenir à digérer le choc subi. Cela diminue chez eux le traitement de l’information, ce qui ralentit leur capacité d’apprentissage (perte d’une partie de leur capacité à mémoriser et se concentrer). Ils éprouvent une fatigue psychique et physique parce qu’ils ont dû encaisser des moments anxiogènes pour eux. Ils subissent une altération de leur potentiel et une désensibilisation, d’autant plus qu’on les a coupé de leur bon sens. Ces séances d’éducation à la sexualité ont donc un impact sur leur santé mentale aussi bien que sur leur potentiel d’apprentissage.

De plus, ils se sentent trahis par la maîtresse (le maître ou leurs parents), qui représente une figure d’autorité censée les protéger, un modèle, et ils ne comprennent absolument pas pourquoi on leur parle de ce genre de choses.

D’autre part, le caractère pornographique des images, livres ou livrets, des sites officiels de référence (la chaîne Lumni avec la série “Sexotuto”, le site onsexprime.fr), amène certains enfants à développer des troubles tels que la masturbation compulsive, l’addiction à la pornographie, les passages à l’acte sexuel entre camarades. En effet, des cas d’agressions sexuelles entre enfants (soit du même âge, soit de plus âgés sur des plus jeunes), ont été constatés dans plusieurs écoles, suite à une séance d’éducation à la sexualité…

Enfin, l’introduction de la notion de genre et de transgenre, qui présente le changement de genre et de sexe comme un droit, provoque chez beaucoup d’enfants de la confusion et cela les influence à tout le moins, au même titre que le ferait toute idéologie.

Tous ces experts de l’enfance prédisent qu’un tel enseignement de la sexualité à l’école, selon les standards de l’O.M.S (de la maternelle au lycée), aura des conséquences très lourdes sur la vie affective, amoureuse et sexuelle future de tous ces jeunes, au point de la compromettre… « 

  • Autre point qu’il est intéressant de connaître (peut-être l’avez-vous mentionné dans votre ouvrage que je commence tout juste à lire…)

– “EdSens” un organisme, relié à l’université de Paris 8, qui propose des modules de formation (en 3 journées) pour toute personne, sans casier judiciaire, qui souhaite assurer l’éducation à la sexualité à l’école dès la maternelle : l’équivalent français de “l’EVRAS” belge, mais qui n’est jamais mentionné nulle part…

Le guide est accessible contre paiement (38€ à vérifier)

https://edsens.fr/

“Exister en Liberté – chaîne YouTube de Corinne Auroy qui alerte et dénonce le danger de l’éducation à la vie affective et à la sexualité, dès l’école maternelle. Elle transmet le fruit de ses recherches dans cette vidéo et dans d’autres. Elle a écrit un livre témoignant de sa propre expérience, ayant elle-même vécu un abus sexuel à 9 ans – “Et J’ai choisi de vivre”.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *