Parcs de Paris fermés pour « vents violents ».
Halte aux psychopathes qui nous empêchent de vivre. Épidémie de Dingue & principe de précaution.
par Lionel Labosse
Un beau matin de mars 2023, je partais la fleur au fusil pour une visite du cimetière des Batignolles préparée avec soin en amont pour mes étudiants, avec pas moins de six visites sans problème, dont deux avec des amis pour rôder le parcours. Il faisait un temps magnifique pour mars, et j’étais heureux de faire ce métier, de ce que j’allais apporter à ces étudiants avec cette visite pour laquelle mes amis m’avaient félicité. Patatras, la vidéo ci-dessous vous en dira plus, sauf que l’ayant tournée vite fait sous le coup de la colère, je dois la réenregistrer pour préciser mes propos dans cet article.
Le bordereau d’autorisation délivré par le service des cimetières stipule en effet que, je cite : « dans l’hypothèse où Météo France publierait des bulletins de vents forts, je vous informe qu’aucune visite ne sera autorisée ; de la même façon, aucune visite ne pourra avoir lieu lorsque les cimetières seront fermés pour cas de force majeure ». On peut retrouver ledit bulletin en date du lundi 13 mars 2023 sur le site de Météo France, dont c’était le 27e bulletin depuis le début de l’année. L’épisode en question était valable pour la France entière et brassait très large avec par exemple la phrase suivante : « On peut craindre au voisinage de ces orages des rafales de vent localement violentes, pouvant dépasser 90 à 100 km/h, et des chutes de grêle. Les intensités de pluie peuvent atteindre 20 à 30 mm en peu de temps. » Ok, c’est le job de Météo France, mais est-on vraiment incapables de juger soi-même du temps qu’il fait, et de se réfugier dans un café le temps que ça passe ? Faut-il à chaque bulletin publié, claquemurer la France entière ? La preuve en est que ce mardi-là, j’ai juste vu passer quelque gouttes, mais peanuts question « vents violents » ou « vents forts » !
Lors de mon séjour au Finistère en novembre dernier, j’ai visité la Pointe du Raz par un vent à décorner les bœufs. Ben on a été mouillés quoi. Dame, c’est la Bretagne ! Cela me rappelle une page de Gaston Bachelard : « Et la maison ne connaît plus les drames d’univers. Parfois le vent vient briser une tuile du toit pour tuer un passant dans la rue. Ce crime du toit ne vise que le passant attardé. L’éclair un instant met le feu dans les vitres de la fenêtre. Mais la maison ne tremble pas sous les coups du tonnerre. Elle ne tremble pas avec nous et par nous. Dans nos maisons serrées les unes contre les autres, nous avons moins peur. La tempête sur Paris n’a pas contre le rêveur la même offensivité personnelle que contre une maison de solitaire ». Rendez-nous les orages et la grêle ; rendez-nous à la vie, bande d’escrologistes qui haïssez la nature !
Me retrouvant le bec dans l’eau avant que les étudiants n’arrivent (le lycée est situé à quelques dizaines de mètres), j’appelle la responsable des cimetières du secteur dont le numéro figure sur mon autorisation, qui finit par décrocher, et je lui exprime mon étonnement, puis mon énervement. « – Madame, je suis devant le cimetière, je vous garantis qu’il n’y a aucun vent particulier, le ciel est bleu, les arbres ne bougent pas. – Monsieur, c’est écrit sur le document, en cas de vents violents, la visite est impossible. – Mais il n’y a pas de « vent violent » ! – Monsieur, si Météo France dit qu’il y a des vents violents c’est qu’il y a des vents violents ». Fermez le ban. Comme les portes s’ouvrent, j’espère un miracle, las, ce sont les employés qui passent avec un véhicule de service. J’ai un bref dialogue (avec des gens qui avaient été charmants lors de mes visites de préparation). Je tente de leur expliquer, juste par militantisme de la raison : « Mais Monsieur, je ne vous dis pas que vous n’avez pas des ordres, mais s’il vous plaît, considérez juste la réalité : est-ce que vous voyez avec vos yeux des « vents violents » ? Est-ce que les étudiants ont le moindre risque qu’il leur arrive dans ce cimetière plus de mal qu’en marchant dans la rue ? »
C’est peine perdue, ces gens semblent incapables de conceptualiser que l’autorité puisse être défaillante. Tant qu’on ne mettra pas au programme l’étude de l’expérience de Milgram, il est inutile d’espérer que par génération spontanée le citoyen puisse atteindre à ce niveau de conscience : « Oui, mon propre père peut me violer » ; « Oui, les élus peuvent vouloir le mal ». Il en va de l’épidémie de dingue comme de la dengue : une fois que le virus est sorti du laboratoire, la dingue contamine tous les échelons de la société, de la prétendue élite à l’exécutant, selon le mécanisme de la « banalité du mal ».
Je suis donc retourné au lycée prendre les étudiants en cours avec une demi-heure de perdue, sans compter le bénéfice de la visite. Une autre visite a eu lieu avec une autre classe le mardi 21 mars, jour du printemps, qui s’est fort bien déroulée. J’avais vérifié la veille sur le site de Météo France et j’y suis passé le matin à 8 heures par sécurité : le cimetière était bien rouvert. J’ai un moment pensé écrire à Annie Dingo pour tenter de lui expliquer l’aspect délirant & inhumain de ce type de principe de précaution appliqué à l’aveugle, mais j’ai vite renoncé : il est inutile de tenter de faire entendre raison à ces dingues. Il faut juste témoigner de leur dinguerie pour tenter de réduire de jour en jour la proportion de la population qui persiste à vivre sous hypnose des médias de la caste qui vous expliquent à longueur de journée qu’Annie Dingo, Valérie Pécheresse, le Chef de l’Étron (celui qui voulait « emmerder les non-vaxinés ») et toute cette clique sont des « républicains » qui les mettent à l’abri des « conspirationnistes », de l’« extrême drouâteuh », et de tous ces « platistes » qui pensent que les vaxins sont foireux, que le covid est une arnaque, que la terre & la poitrine de Chibritte sont plates et autres « théories du complot ».
Le message des dingues qui nous gouvernent est clair : restez chez vous, la nature est tellement plus sûre à travers vos écrans ; les jeunes & les enfants sont plus en sécurité à suivre les cours en « distanciel » à la maison qu’à observer dans un cimetière réel un méchant ciel pas distant tout plein de narbres qui peuvent les bombarder de branches réelles, et ainsi Big Tech peut contrôler tous les sites que vous visitez de façon à vous protéger des méchants qui vont sur des sites pas glop.
La preuve, les mêmes qui ferment les cimetières ont tout fait pour empêcher le danger public pédo-toxico Palmade de détruire une famille. Avec les amis de la caste, le principe de précaution est à géométrie variable. L’obsession de ces gens est de nous empêcher de vivre, et ils usent de tous les moyens pour parvenir à leurs fins perverses. Retournons vivre à la campagne, là où il y a des forêts avec des narbres dedans, avec dans ces narbres des grosses branches qui peuvent vous tomber dessus et vous rompre le cou. La nature c’est dangereux ! Fuyez la nature ! La preuve, c’est que sous la tyrannie covidiste, ces engeances satanistes ont promulgué des lois pour nous interdire de jouir des lacs, des mers, des forêts et de toute la nature.
Cimetières & plandémie
Le parallèle est parfait avec la plandémie et ce que Bill Gates en a fait en corrompant la planète entière, en plus d’être devenu le 1er ou le 2e contributeur de l’OMS : abaisser le seuil de déclenchement d’une « pandémie » en nombre de « cas » par habitants [1]. C’est ainsi qu’on passe subrepticement de « vents forts » à « vents violents », exactement de la même façon qu’on est passé de « nouvelle épidémie de maladie infectieuse émergente » à « nous sommes en guerre ». Une banale infection virale comme il en a toujours existé fait paniquer la terre entière grâce à la mise en place méthodique (cela correspond au terme « complot ») d’un mécanisme implacable & délirant de réaction disproportionné, par une mafia mondialiste qui a pris le pouvoir sur nos vies par la corruption. Il était impossible de réveiller 90 % de nos concitoyens sous hypnose, y compris des enseignants ou des philosophes de plateau-télé, en leur disant : « Mais que vous disent vos sens, que voyez-vous avec vos yeux ? » Implacablement la réponse était : « Si l’OMS, le gouvernement, Le Monde & France-Inter le disent, c’est qu’il y a une terrible épidémie qui mérite qu’on arrête de vivre pour s’empêcher de mourir ». « Si Météo France dit qu’il y a des vents violents, c’est qu’il y a des vents violents ».
L’expression « les cimetières seront fermés pour cas de force majeure » est révélatrice de l’état d’esprit de ces psychopathes atteints de dingue qui nous gouvernent. Jamais dans l’histoire de l’humanité on n’a « fermé les cimetières » symboliquement parlant. Le mythe d’Antigone est là pour nous le rappeler. Mais pour cette plandémie, le psychopathe macron & ses sbires & branquignols, le prétendu « conseil scientifique », les médecins de plateau-télé, les commissaires politiques de la presse torchecul corrompue l’ont fait. Fermer les cimetières ! Imaginez d’ailleurs une famille réunie avec des gens de province à l’occasion de l’anniversaire d’un mort, pour entretenir une tombe dans un cimetière de Paris (comme nous le faisons régulièrement en province pour les tombes de mes grands-parents). On les prive de ce moment d’émotion pour contenter une noria en roue libre de politiciens & décideurs, fonctionnaires & élus qui tous ont été contaminés par la dingue. Idem pour les touristes venus de loin qui avaient inscrit à leur programme la visite du Père-Lachaise ou de se rendre sur la tombe de Sartre & Beauvoir ou autres.
Lors de ma visite de ce cimetière, je cite un témoignage de Blaise Cendrars sur la Première Guerre : « Chacun de nous apportait tout son art et toutes ses fantaisies à embellir les sépultures. Chaque tombe s’ornait de pots de fleurs et de plantes diverses ; certaines avaient un entourage de mosaïques fait de l’assemblage artistique de vieilles bouteilles. Le nom du héros était gravé sur une croix de bois habilement sculptée. Nous nous faisions un devoir sacré de veiller à l’embellissement de la dernière demeure de ceux qui sont tombés glorieusement pour le pays, loin des leurs, et nos lourdes mains de poilus avaient des gestes tendres de mains maternelles ». Il s’agissait d’un cimetière situé près du front, donc un peu plus dangereux que s’il était soumis à des « vents forts ». La France serait-elle encore la France, Annie Dingo, Macresse & Pécron auraient-ils encore l’opportunité de nous faire subir leur dinguerie si les poilus, puis les résistants, puis les héros du Débarquement, s’étaient cloîtrés au moindre petit vent ?
Comme je faisais part de cette mésaventure à une collègue, elle m’a répondu qu’elle-même craignait que le pique-nique qu’elle organise chaque année pour une association d’aide aux migrants dans un square soit aussi rendu impossible pour la même raison. Alors voilà des migrants qui ont traversé la Méditerranée avec une chance sur dix de finir noyé, et Annie Dingo les empêche de pique-niquer parce qu’ils ont une chance infinitésimale d’avoir bobo la tête par chute d’une brindille ! Annie Dingo qui a d’ailleurs été à nouveau condamnée parce qu’elle accordait une subvention à une ONG qui alimente l’immigration clandestine en Méditerranée. Cette dingue dilapide notre fric pour faire risquer la mort à des femmes & des enfants en les mettant aux mains de la mafia de l’immigration clandestine, et elle leur & nous interdit de profiter de la nature à Paris parce qu’il y a des « vents forts » !
Nous simples citoyens ne pouvons rien à cette épidémie, que dis-je à cette pandémie de dingue, sauf d’une part à en prendre conscience, d’autre part à ne pas nous taire – c’est l’objet de cet article – et à aider nos concitoyens à en prendre conscience également – ce que vous pourriez faire en diffusant cet article.
Vous pourriez vous dire : « Qu’est-ce qu’il nous embête avec ses parcs de Paris fermés ? N’y a-t-il pas plus important ? » Certes, mais j’ai consacré la majeure partie de mon temps libre et de ce site depuis 3 ans à alerter sur le national-covidisme, ce qui a laissé indifférents beaucoup de nos concitoyens. Peut-être qu’en les alertant sur les cent sujets sur lesquels les tyrans mondialistes attaquent, rabotent, élaguent, sabrent, émasculent nos libertés à longueur de journée depuis des décennies & nous enserrent millimètre par millimètre dans une toile d’araignée constrictive de normes, bornes & restrictions, on peut en toucher quelques-uns ? Entre les compteurs Linky, tous les mensonges & ruses de l’escrologie, la voiture électrique, les limitations de vitesse, vignettes Crit’air & j’en passe, les normes prescriptives sur tout & rien qui font envoler les prix des bons produits et des services, les interdictions de fumer ici ou là, de chasser, de pratiquer le cirque avec animaux, de manger de la viande, toute cette fureur d’interdire tout & n’importe quoi, il y a bien un thème qui va les éveiller & les faire entrer dans notre secte complotiste…
Eh oui, nous pouvons bien l’avouer maintenant, que nous constituons une secte, ce qui place notre tête dans le nœud coulant des « règles de la communauté » des « réseaux » qui n’ont de « sociaux » que le nom ! Pendant que les grenouilles laissent progressivement monter la température dans la casserole démocrate, nous sommes les vilains crapauds « d’extrême drouâteuh » qui ont sauté en dehors de la casserole dès que la température a monté d’un degré !
Quand donc serons-nous libérés de cette horde de dingues ? Qu’ils dégagent tous, de Macron à Annie Dingo, de Ciotti à Borne, de Philippe à Marleix, de Sandrine Rousseau à Éric Zemmour (partisan de la retraite à 64 ans). Dehors les dingues, au sanatorium ; ôtez-vous tous de notre soleil !
Laissons le dernier mot à Georges Brassens :
« Les jean-foutre et les gens probes
Médis’nt du vent furibond
Qui rebrouss’ les bois, détrouss’ les toits, retrouss’ les robes…
Des jean-foutre et des gens probes
Le vent, je vous en réponds
S’en soucie, et c’est justic’, comm’ de colin-tampon »
Source : Altersexualité
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