Le Moderna m’a tuée
Ma mort : comment c’est arrivé
Publié le 14 Novembre 2022
Bonjour, je suis Karin, 46 ans, morte sans raison apparente après un examen radiologique effectué 18 jours après ma 3ème injection de Moderna que j’ai dû faire pour garder mon emploi.
Chronologie des faits :
4 janvier 2022
Je prends la route depuis chez moi, à Grenade sur l’Adour (40270), pour passer un Echo-Doppler Hépatique dans le service d’Imagerie de l’Hôpital Haut-Lévêque à Pessac (33) … dans le cadre d’un suivi par une nutritionniste, en vue de me faire opérer d’un bypass.
J’ai 1h40mn de route, je suis en voiture, tout va bien et j’ai RDV à 8h30 dans le service de Radiologie.
J’arrive sans encombre, un peu avant l’heure de mon RDV et me stationne sur le parking central du Groupe Hospitalier Sud (Haut-Lévêque) desservant les différents endroits où je dois me rendre.
Plus précisément à cet endroit :
Je me dirige alors vers le service de Radiologie à quelques dizaines de mètres de là (indiqué par un scanner manuel noir encadré d’un rectangle rouge).
A 8h40 je me trouve en salle d’attente et je reçois un SMS du chauffeur de Taxi qui s’occupe de conduire mon second fils et 2 autres enfants de la commune vers l’école où ils sont inscrits.
Après les formalités administratives, je passe cet examen à 8h44 et quelques minutes de plus ( heure des radios du dossier – voir ci-dessous ).
Le compte rendu n’étant pas délivré sur place mais par courrier … Vers 9h00, je n’attends pas les résultats et quitte, sans attendre, ce service car je dois aller maintenant dans une autre aile de l’hôpital, dans le service Diététique.
Le compte rendu de cet examen se trouve ci-dessous :
Avant d’aller au service diététique je dois repasser par ma voiture qui se trouve sur le parking central du CHU pour prendre le dossier pour la nutritionniste du service Diététique.
Vers 9 heures je sors du service imageries de l’hôpital et me dirige vers ma voiture.
A 9h14, une très grande amie du travail (Barbara), essaye, en vain, de me joindre. Elle n’obtiendra jamais de réponse parce que je suis déjà dans le coma.
Nous sommes très souvent au téléphone, quasiment tous les jours et pendant toute cette fatidique journée, Barbara va essayer, sans résultat, de me joindre.
Entre 9H00 et 9H14, une personne sur le parking appelle le SAMU pour signaler que j’ai eu un problème.
Cette personne communique sans doute avec l’opérateur qui, sans doute, comme c’est l’habitude, demande à me parler.
J’ai juste le temps de dire au téléphone : « je ne me sens pas bien » … et c’est tout. Après je suis dans le Coma.
Des brancardiers, présents sur les lieux dès le début, en attendant le SAMU, ont commencé à pratiquer surmoi un massage cardiaque partant sur l’idée possible d’un infarctus.
Le SAMU arrivé entre temps prend le relais et ils réussissent à faire repartir mon cœur mais je suis toujours dans le Coma et, on le sait maintenant, je ne me réveillerai plus jamais.
Je suis transférée dans le service de Cardiologie de l’Hôpital à l’issue de la réanimation partielle de mon cœur.
A 10H51, le Dr BAUDINET Thomas de la Cardiologie a appelé ma soeur Sylvia (qui est mon contact privilégié), à Paris, pour dire que j’ai fait un infarctus.
Il insiste sur le fait que mon état est critique et qu’il faudrait venir très rapidement.
A 10h57, Sylvia appelle nos parents, pour les aviser de ce qui se passe : « Karin a fait un infarctus et le médecin va l’opérer ».
Sylvia prend le train immédiatement et arrive le même jour, en fin d’après midi, à l’hôpital. Elle est accompagnée d’une amie de Gironde, (Carole), qui l’a récupérée à la gare pour la conduire à l’hôpital. Cette amie assiste également à tout ce qui a été dit par l’équipe médicale … à savoir :
« » »Après avoir effectué sur moi un massage cardiaque et autres manipulations durant 10 à 15mn, ils réussissent à faire repartir mon cœur. » » »
« » »Le service de cardiologie me prend en compte et me met sous respirateur … » » »
« » »Ils me font une coronographie et là ils voient que ce n’est pas un arrêt cardiaque le problème. Par contre, ils constatent que mon cœur est paralysé à 50% … sûrement dû à un choc, à un stress ou à un AVC. Ils me maintiennent dans le coma. » » »
« » »Ils constatent que les extrémités de mes pieds sont cyanosées (blancs) . Ils font une IRM de tout mon corps en fin d’après midi et c’est là qu’ ils ont vu tous les caillots de sang (foie, reins, rate …) et les AVC massifs (présence d’œdèmes cérébraux). » » »
« » »Ne trouvant pas d’explication à ce cas, ils supposent que je dois avoir une maladie génétique rare. Ils font un prélèvement sanguin pour envoyer en vérification de ce diagnostique. » » »
« » »Des neurologues spécialistes sont contactés. Au vu de l’IRM du cerveau, ils donnent le diagnostique de multiples AVC non réparables . Ils précisent au Dr de la Cardiologie que, si il coagule le sang pour arrêter les caillots, je serais en hémorragie cérébrale et c’est définitivement fini, et s’il traite les œdèmes cérébraux, les caillots de sang vont détruire un à un tous mes organes et je mourrai aussi. Pas de possibilité de me sauver. » » »
« » »Ils précisent qu’ils devaient faire un scanner et qu’ils l’ont annulé au vu des résultats de l’IRM qui étaient suffisamment clairs. » » »
« » »L’équipe médicale a insisté auprès de Sylvia pour qu’elle avertisse mes enfants et sa famille de mon état critique, laissant entendre que l’issue serait forcément tragique. » » »
5 janvier 2022 :
Sylvia revient à l’hôpital avec notre frère David qui habite à Mont de Marsan (40), mes 2 enfants et Frédéric, leur père qui n’habite plus le foyer conjugal.
Le médecin leur annonce que la veille au soir (le 4/01/2022), j’avais une thrombose de la jambe droite et que mon foie et ma rate étaient détruits. Il précise que comme mon cerveau est, lui aussi, maintenant considéré comme détruit par les AVC, c’est avec les appareils qu’ils maintiennent artificiellement mon cœur en service. Mais je suis en coma dépassé depuis la veille.
Pour information : Je précise ici qu’un coma dépassé implique que la personne est morte. C’est fini, elle ne se réveillera plus jamais.
8 janvier 2022 :
A 10h30, mes parents étant arrivés dans les
Landes la veille, ils ont rendez-vous avec le Dr Baudinet Thomas de la cardiologie, pour qu’ils puissent me voir une dernière fois avant de faire débrancher les appareils maintenant mon cœur en fonctionnement.
Ce médecin débranche les appareils à 11h00 ce 8 janvier 2022 et c’est d’ailleurs cette date qui sera retenue comme date de mon décès officiel (ce qui est totalement faux).
En ce qui concerne mes parents, c’est la date du 4 janvier 2022 aux alentours de 9h00 qu’ils retiendront comme date de mon départ pour un autre monde.
Mon avis de décès mentionne quand même « mort naturelle » alors qu’ils ne savent pas de quoi je suis morte. Mes parents conçoivent qu’ils n’aient pas eu le courage de reconnaitre d’emblée que c’était à cause des 3 injections de Moderna mais quand même … mort inconnue ou indéterminée aurait été un meilleur « diagnostique ».
C’est sans doute à ce moment que mes parents ont pris le parti de faire le nécessaire pour que la vérité sur ma mort « naturelle » soit clairement établie et de déterminer quels en étaient les coupables …
Mon passage obligé dans cet hôpital a fait l’objet d’un compte rendu minutieux de la part du Docteur BAUDINET.
Il en ressort surtout que mon corps était remplie des pieds à la tête, de caillots de sang, que mes organes principaux étaient complètement ou partiellement détruits et que j’avais des AVC multiples dans le cerveau.
En fin de ce compte rendu il précise qu’il a demandé à ce que soit effectué des tests sur mes échantillons sanguins en vue de vérifier s’il y a eu mutations des facteurs II et V, ce qui déterminerait que j’avais un problème génétique … et qui exclurait d’office la possibilité d’une cause de ma mort en rapport avec les injections de Moderna.
2 à 3 mois plus tard, le Docteur Baudinet recontacte mes parents et leur dit que les résultats des mutations des facteurs II & V sont revenus plus vite que prévu et … qu’ils sont négatifs. Oufff !
De ce fait, ma famille est au moins sûre que ce n’est pas une tare génétique qui m’a tuée et l’idée d’implication des injections de Moderna reste complètement d’actualité.
Ma mort : l’enquête de mon père
Il est nécessaire maintenant de voir si un autre problème aurait pu être détecté lors de mon dernier examen de sang. Cet examen sanguin a été effectué le 10 Décembre 2021… 1 semaine avant ma 3ème injection de Moderna.
De retour chez eux, le médecin de famille personnel de mes parents, à qui ils ont montré ce résultat d’analyse sanguine en date du 20 Décembre 2021, leur a bien certifié qu’il n’y avait rien de particulier dans ce compte rendu ni dans les autres documents médicaux fournis.
Lui non plus ne comprend pas ce que j’ai eu et confirme à demi-mot que c’est sans doute le Moderna qui a été le problème.
A partir de là, la conviction de mes parents a été que je n’avais pas pu mourir si brutalement alors qu’ 1/4 d’heure avant, pour mon examen radiologique, tout allait très bien et qu’au vu des résultats rien d’anormal n’avait été constaté. En plus, mes parents m’ont toujours certifié que je bénéficiais génétiquement d’un cœur « en béton », le même que celui de mon père et ceux de mes ancêtres Normands de sa branche maternelle.
Ils se sont mis en quête d’informations sur Internet et ont trouvé une association de défense des victimes des injections (VerityFrance). Ils s’y sont inscrits et ont fourni pas mal de documents. Néanmoins, l’action collective qu’ils ont lancée et à laquelle ils se sont rattachés mettra un temps infini avant d’éventuellement aboutir à du concret. Ils sont, pour le coup, un peu pessimistes sur ce sujet.
Concernant mon décès inexpliqué, vu que personne, dans les personnels médicaux rencontrés (Cardiologues, Médecin de famille, Pharmacien …), ne leur a dit de faire une déclaration de Pharmacovigilance, VerityFrance nous ont conseillé de la faire eux-même. Ce que mes parents ont fait.
Il est temps de s’intéresser aux 3 injections de Moderna qui ont, sans aucun doute, contribué à me faire mourir.
Ces injections ont eu lieu les 1er Mai 2021, 5 Juin 2021 et 17 Décembre 2021.
Plus précisément, les lots des injections que j’ai eues ont, potentiellement, des effets secondaires reconnus allant jusqu’à la mort :
———————————- LOT 1 —————————————
———————————- LOT 2 —————————————-
———————————- LOT 3 —————————————-
Ce 3ème lot est inconnu de la base de données de référence « How bad is my batch ».
Sur un site ou mon père a fait part de cette difficulté à identifier ce 3ème lot, on lui a signalé que, contrairement aux 2 premiers lots qui sont exclusivement numériques ce 3ème lot est alphanumérique et qu’il est, apparemment, prévu pour faire les injections de Moderna en … Suède …
Mon père se posait bien des questions sur ce fait et s’en est inquiété auprès de mon médecin de famille et du pharmacien ayant effectué l’injection.
Tous deux n’avaient pas de réponse à lui donner mais ont promis de faire des recherches et de l’en informer.
Ce fut chose faite quelques jours après avec ce bordereau de traçabilité indiquant la provenance régionale (Bordeaux) du lot litigieux.
Bien que ça ne résolve pas vraiment ses interrogations, il décidait de clôturer ses recherches sur ce lot car ça ne devait pas être une piste très pertinente.
Ma Mort : l’aide d’un ami de mon père
Le 5 Février 2022
Mes parents envoient par mail un faire-part de décès à tous leurs contacts (famille & amis).
Le jour même, 5 Février 2022, un ami et ancien collègue de mon père, Maxime, le contacte en réponse à son faire-part de mon décès et dit à mon père ce qui suit :
« » »
Tu vas où tu as témoigné auprès de l’association Verity France, afin de faire surgir la vérité, je souhaite te faire partager mes déductions, car je fais parti de groupes Telegram où nous sommes plusieurs à rechercher la vérité.
Donc, je me permets de t’exposer ce que je sais.
Le vaccin Moderna est reconnu pour contenir du graphène et donc comporter tous les risques liés à ce produit qui réagit aux ondes magnétiques ou électro magnétiques comme ceux de la téléphonie 3,4 et 5 G, mais également aux ondes des appareils de communications, l’avocat Carlo Alberto Brusa a fait prouver devant huissier que certains vaccins permettent d’être identifiés grâce à la Bluetooth et donc probablement aux ondes des appareils de mesures ou de radiologie (il faudrait se renseigner sur les fréquences utilisées par les radiologues qui ont examiné ta fille) » » »
Il lui conseille des plateformes internet qui diffusent des données sur les effets secondaires et ce par quoi ils sont causés.
Entre autres, Telegram, Odysee, Rumble, Crowbunker, Reinfocovid …
Dans Telegram, il conseille mes parents de suivre les « Brigades Anti-graphène » qui nous informent quasi journellement de tout ce qui touche au Graphène.
Mon père y apprend que : « l’oxyde de graphène est utilisé comme adjuvant. Il a remplacé l’aluminium mais il est hautement toxique. Il déclenche tous les symptômes de la covid mais en plus il va dans le cerveau et rend les personnes électromagnétiques. Des chercheurs espagnols ont découvert que les nanoparticules d’oxyde de graphène sont en fait compatibles avec les neurones et autres cellules du cerveau. Elles recherchent les synapses et s’y fixent. Elles entrent en résonance avec des fréquences de la 5G de 41,6 Ghz et altèrent gravement le processus cérébral ».
Mon père réussi à entrer en contact avec le responsable des Brigades anti-graphène et obtient la confirmation qu’il attendait.
Avec cette dernière réponse mes parents sont confortés dans l’idée que je suis morte par 2 causes successives …
L’injection de Moderna qui installe le poison dans mon corps et l’examen Echo-Doppler qui active l’Oxyde de Graphène.
Résultat : 1/4 d’heure plus tard … c’est fini … je suis morte.
Ma mort : conclusion
Le 12 Août 2022, mon père a vu sur un des sites d’information habituels qu’il fréquente, un article intéressant et un encadré non moins intéressant validant enfin le fait que je n’ai vraiment jamais eu de chance dans la vie et que malheureusement cette poisse m’aura conduite jusqu’à mon dernier soupir.
Rappelez vous, plus haut, ma 3ème injection de Moderna …
Lot : 0008G21A
Source : Karin Moderna
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