L’incroyable insignifiance du personnel politique Français
Par WD
La représentativité nationale donne un personnel politique à parité égale. Ceci semble normal et logique. Nous savons aussi que la psychologie masculine est différente de celle féminine. L’émotivité et l’instinct aussi. Nous espérions que l’apport féminin équilibrerai le jeu de la gouvernance et qu’il harmoniserait les choses. Il n’en est rien. Les deux camps se tirent la bourre pour atteindre le sommet aux promesses mirifiques de la gloriole personnelle. La prospérité de la nation dans son ensemble n’est pas leur préoccupation principale. Nous doutons même que les secondaires soient de hauteur étatique de portée « Richelieunesque ».
La valeur du contingent politique masculin est connue, pratiquée depuis 50 ans (à notre échelle existentielle). Nous ne pouvons rien en tirer sinon des constats affligeants. Si nous étions encore sous la 3ème république, nous pourrions dire qu’il est sous la férule de Stavisky. Il en est fini des bastons à l’hémicycle ou des duels politiques. Le dernier a croiser le fer fut Gaston Defferre. Depuis nous avons des chochottes, des sans convictions, des adeptes de la palinodie. Il n’y a rien de consistant, rien d’élevé. C’est le néant.
Les femmes furent vendues à qui voulait acheter un beau rêve pas cher comme des êtres de paix et de tolérance, des êtres épris d’humanité et de bienveillance par la propagande de naguère. La promesse d’un bel espoir d’équité n’a pas vu le jour. A observer Margaret Thatcher, nous avions compris à l’époque que la touche féminine aux mains fines et délicates n’était qu’un leurre pour les lecteurs de la presse people. Aujourd’hui, à force de nous les imposer pour moitié à la gouvernance des pays occidentaux, nous voyons les résultats. Elles ne sont pas plus probes que leurs homologues masculins. Leurs discours et postures n’élèvent pas le débat. Au contraire, elles infantilisent et dévirilisent notre société. Leurs diatribes ne font appel qu’à l’émotion, rarement à une pensée rationnelle ou un développement logique. Face aux enjeux mondiaux actuels, leurs préoccupations sociétales sont hors cadre et très suggestives pour ne pas dire extrêmement clivantes. Elles noient le poisson au nom de leurs ambitions personnelles comme les hommes. Elles jouent encore trop souvent de leur prétendu inégalité des sexes pour se poser en victimes pour griller leurs concurrents masculins.
Les grands noms de cette gent féminine sont d’un bellicisme absolu. Une qui est prête à appuyer sur le bouton nucléaire, l’autre à abolir la liberté d’expression. La chef suprême de la commission européenne veut la guerre, et les autres, en France comme en Italie, courbent l’échine du poids de la soumission. Nous faisons abstraction des positionnements des femmes aux USA tant le délire va-t-en-guerre est à son comble. Pour des pacifistes, les femmes se posent là, sur le trône de la malveillance.
Leurs soucis ne sont pas le bien-être des populations. Ces femmes n’ont que les préoccupations de leur caste aux liens familiaux interconnectés. Leur position dominante, quel que soit le segment, assure leurs prises de bénéfice (Karine Lacombe et Agnès Buzyn nous ont fait la magistrale démonstration). Elles n’apportent aucune touche féminine de douceur et de générosité qu’on leur prête. Comme leurs comparses politiques masculins, elles n’ont aucune hauteur. Elles ne sont pas habitées par leurs rôles politiques respectifs qui appellent à la profondeur d’analyse et la pertinence conjoncturelle. Tout ce petit personnel politique (femmes et hommes) est empêtré dans le dogme étriqué de leurs mouvements politiques.
Au bord de la 3ème guerre mondiale, qui peut s’achever par la vitrification nucléaire, il n’est pas d’élévation de la tache. Ce petit personnel politique pense petit parce qu’il est petit, sans envergure, sans plan d’avenir autre que son petit plan d’épargne personnel souvent constitué par la corruption et les prises d’intérêt frauduleux. Cerise sur le gâteau, il nous pond des lois toujours contraires à nos intérêts de peuple. La loi c’est la loi, mais quand elle est votée par des mafieux, a-t-elle une valeur ? Devons-nous la respecter ? Devant son mépris affiché du peuple, devons-nous estimer cette équipage politique ? Même du temps de l’ancien régime, le tiers-état était entendu par le roi et il tenait compte de ses doléances. Nul édit royal n’était non conforme aux us & coutumes & privilèges des territoires qu’il gouvernait. L’irrespect du peuple et du bien commun ne vient que de l’émergence de la République, fleuron de la guilde des marchands.
Que demandons-nous à cette clique politique ? Qu’elle travaille au mieux de nos intérêts. Qu’elle défende et prépare notre avenir. Qu’elle travaille en commun accord pour le devenir de la nation, pas celui de ses intérêts idéologiques ni ceux de l’oligarchie. Il est vrai qu’elle en fait partie, donc elle n’a cure de nous. C’est bien là le problème.
WD
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