30 ans de transcriptions officielles secrètes montrent que les experts du gouvernement britannique dissimulent les dangers des vaccins….
30 ans de transcriptions officielles secrètes montrent que les experts du gouvernement britannique dissimulent les dangers des vaccins….BOUM la vérité commence a sortir enfin . MERCI THE Exposé pour ces précieuses sources et preuves !
par bellinaanne, publié dans classée
Un article publié en 2012 par Child Health Safety a refait surface. L’article détaillait un article publié par un médecin et chercheur médical d’investigation courageux, Lucija Tomljenovic, qui a déterré la saleté de 30 ans de transcriptions officielles secrètes des réunions des comités de vaccination du gouvernement britannique et des « experts » médicaux prétendument indépendants qui y siègent avec leurs connexions avec l’industrie pharmaceutique.
Lucija Tomljenovic, docteur en médecine, est chercheuse scientifique au sein du groupe de recherche sur la dynamique neuronale du département d’ophtalmologie et des sciences visuelles de l’université de Colombie britannique, au Canada. Elle possède une vaste expérience dans l’étude de la sécurité des adjuvants de vaccins.
Comme l’a noté Andrew Baker de Food Freedom News dans un article l’année suivante, les documents officiels secrets montrent que les experts du gouvernement ont :
su que les vaccins ne fonctionnent pas.
Sachant qu’ils provoquent les maladies qu’ils sont censés prévenir.
Savent qu’ils représentent un danger pour les enfants.
Se sont entendus pour mentir au public.
Travaillé pour empêcher les études de sécurité.
« Ce sont les mêmes vaccins qui sont obligatoires pour les enfants aux États-Unis », écrit Baker.
Nous avons republié l’article de Child Health Safety ci-dessous. L’original est archivé ICI. Merci au ministère Lioness of Judah d’avoir attiré l’attention sur ces précieux articles.
30 ans de transcriptions officielles secrètes montrent que les experts du gouvernement britannique couvrent les dangers des vaccins
Posté le 14 mars 2012 par ChildHealthSafety
[ED : Les lecteurs doivent noter qu’un article présenté lors d’une conférence scientifique est une référence citée à des fins de publication. Cela s’applique au document du Dr Lucija Tomljenovic discuté dans cet article].
Un nouvel article extraordinaire publié par un médecin courageux et un chercheur médical d’investigation a fait la lumière sur 30 ans de transcriptions officielles secrètes des réunions des comités de vaccination du gouvernement britannique et des « experts » médicaux soi-disant indépendants qui y siègent avec leurs liens avec l’industrie pharmaceutique.
Si vous voulez avoir une idée de qui est responsable de l’état de votre enfant résultant d’une réaction indésirable à un vaccin, c’est le document à lire. Si les membres de ces comités sont honnêtes et honorables et agissent dans l’intérêt des enfants britanniques, comment se fait-il que cela dure depuis au moins 30 ans ?
C’est ce que tout le monde a toujours su mais n’a jamais pu prouver jusqu’à présent. Transmettez cette information à d’autres personnes afin qu’elles puissent voir ce qui se passe dans les comités de santé du gouvernement derrière des portes fermées.
Nous citons ici le résumé de l’auteur et le document :
Le fait de dissimuler délibérément des informations aux parents dans le seul but de les amener à se conformer à un calendrier de vaccination « officiel » pourrait être considéré comme une forme de violation éthique ou de faute professionnelle. Des documents officiels obtenus auprès du ministère britannique de la santé (DH) et du Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) révèlent que les autorités sanitaires britanniques se livrent à cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de vaccination.
Le document de 45 pages contenant des preuves détaillées peut être téléchargé ici : La politique de vaccination et le code de pratique du Comité conjoint sur la vaccination et l’immunisation (JCVI) : sont-ils en désaccord ? Lucija Tomljenovic, Groupe de recherche sur la dynamique neuronale, Département d’ophtalmologie et des sciences visuelles, Université de Colombie-Britannique, Vancouver, Canada. Il a été présenté lors de la conférence scientifique 2011 du BSEM et fait partie des actes de cette conférence, qui sont maintenant publiés en ligne ici : The Health Hazards of Disease Prevention Conférence scientifique BSEM, mars 2011*.
[ED : BSEM ONT REORGANISÉ LEUR SITE WEB ET CETTE PAGE N’Y EXISTE PLUS – Note ajoutée le 8 mai 2014].
Il y a d’autres documents également trouvés à ce lien que vous trouverez une excellente lecture.
L’auteur, le Dr Lucija Tomljenovic, écrit :
Je présente ici la documentation qui semble montrer que le JCVI a fait des efforts continus pour dissimuler les données critiques sur les effets indésirables graves et les contre-indications aux vaccinations, à la fois aux parents et aux praticiens de la santé, afin d’atteindre des taux de vaccination globaux qu’ils jugeaient nécessaires pour « l’immunité de groupe », un concept qui, en ce qui concerne la vaccination, et contrairement aux croyances répandues, ne repose pas sur des preuves scientifiques solides, comme cela sera expliqué. En conséquence de cette politique de vaccination promue par le JCVI et le DH, de nombreux enfants ont été vaccinés sans que leurs parents ne soient informés des informations essentielles concernant les risques avérés de réactions indésirables graves, ce dont le JCVI semble avoir été pleinement conscient. Il semblerait également qu’en retenant cette information, le JCVI/DH ait négligé le droit des personnes à donner un consentement éclairé concernant la vaccination. Ce faisant, le JCVI/DH pourrait avoir violé non seulement les directives internationales en matière d’éthique médicale (c.-à-d. la Déclaration d’Helsinki et le Code international d’éthique médicale) [2], mais aussi son propre code de pratique.
[ED : LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ DU ROYAUME-UNI PARAÎT AVOIR CHANGÉ TOUS LES LIENS À SES DOCUMENTS EN LES ARCHIVANT AVEC L’ARCHIVE NATIONAL DU ROYAUME-UNI – SI LES LECTEURS VOULAIENT TENTER DE TROUVER LES LIENS CORRECTS SUR L’ARCHIVE NATIONAL DU ROYAUME-UNI ET LES POSTER DANS UN COMMENTAIRE ICI, CE SERA BIENVENU – Note ajoutée le 9 mai 2014].
Le Dr Lucija Tomljenovic poursuit :
Les transcriptions des réunions du JCVI montrent également que certains des membres du comité avaient des liens étendus avec des sociétés pharmaceutiques et que le JCVI a fréquemment coopéré avec les fabricants de vaccins sur des stratégies visant à stimuler l’adoption des vaccins. Certaines des réunions au cours desquelles ces sujets controversés ont été abordés n’étaient pas destinées à être accessibles au public, les transcriptions n’ayant été publiées que plus tard, par le biais de la loi sur la liberté d’information (FOI). Ces réunions particulières sont indiquées dans les transcriptions comme étant » commerciales et confidentielles » et révèlent un manque de transparence évident et inquiétant, car certaines informations ont été supprimées du texte (par exemple, les noms des participants) avant la publication des transcriptions dans la section FOI du site Web du JCVI (par exemple, JCVI CSM/DH (Committee on the Safety of Medicines/Department of Health) Joint Committee on Adverse Reactions Minutes 1986-1992).
En résumé, les transcriptions des réunions du JCVI/DH de la période allant de 1983 à 2010 semblent montrer que :
Au lieu de réagir de manière appropriée en réexaminant les politiques de vaccination existantes lorsque des problèmes de sécurité concernant des vaccins spécifiques ont été identifiés par leurs propres enquêtes, le JCVI a) n’a pris aucune mesure, b) a biaisé ou supprimé de manière sélective les données de sécurité défavorables des rapports publics et c) a déployé des efforts intensifs pour rassurer à la fois le public et les autorités sur la sécurité des vaccins respectifs ;
A considérablement restreint les critères de contre-indication à la vaccination afin d’augmenter les taux de vaccination malgré des problèmes de sécurité non résolus ;
a demandé à de multiples reprises aux fabricants de vaccins d’apporter des modifications spécifiques à leurs fiches techniques, alors que celles-ci étaient en contradiction avec les conseils officiels du JCVI sur les vaccinations ;
S’est constamment appuyé sur des études méthodologiquement douteuses, tout en rejetant les recherches indépendantes, pour promouvoir les politiques de vaccination ;
a constamment et catégoriquement minimisé les problèmes de sécurité tout en exagérant les avantages des vaccins ;
Promu et élaboré un plan d’introduction de nouveaux vaccins à l’efficacité et à la sécurité douteuses dans le calendrier pédiatrique de routine, en partant du principe que les licences seraient finalement accordées ;
Découragé activement la recherche sur les questions de sécurité des vaccins ;
a délibérément profité de la confiance des parents et de leur manque de connaissances pertinentes sur les vaccinations pour promouvoir un programme d’immunisation scientifiquement non fondé, qui pourrait exposer certains enfants à des risques de graves dommages neurologiques à long terme.
Notamment, toutes ces actions semblent violer le propre code de pratique du JCVI.
Lisez le document ici pour obtenir les preuves complètes qui étayent ces conclusions dans ses 45 pages. Un excellent travail d’investigation : La politique de vaccination et le code de pratique du Comité mixte des vaccinations et des immunisations (CMVI) : sont-ils en désaccord ?
Et n’oubliez pas de lire les actes de la conférence scientifique 2011 du BSEM, désormais publiés en ligne ici : Les risques sanitaires de la prévention des maladies – Conférence scientifique BSEM, mars 2011.
Conférence scientifique du BSEM, mars 2011. [ED : BSEM ONT REORGANISÉ LEUR SITE WEB ET CETTE PAGE N’EXISTE PLUS – Note ajoutée le 8 mai 2014]
*Note de L’Exposé sur la conférence scientifique de la British society for Ecological Medicine (« BSEM ») en mars 2011.
Le texte ci-dessous est extrait des archives de BSEM qui se trouvent ICI.
La conférence scientifique de la BSEM de mars 2011 portant ce titre a été organisée par le Dr David Freed. Nous avons décidé de publier les actes en ligne, et David a travaillé avec les intervenants pour mettre les articles dans un format convenu et acceptable, et a écrit une introduction personnelle. Le lendemain, il est décédé subitement. Ce qui suit sont les derniers mots qu’il a écrits. Il parle avec son cœur de la science, de la corruption en haut lieu, de l’éthique des soins aux patients et, surtout, de la vérité.
« Il me semble que le contexte éthique de la vaccination – administrer des médicaments potentiellement dangereux à des personnes en bonne santé dans l’espoir de les maintenir dans cet état – n’a jamais été clairement abordé… Qui nous a donné le droit (a) d’envahir le corps de personnes en bonne santé qui ne nous l’ont jamais demandé, et (b) de le faire non seulement sans explication des risques possibles, mais même, dans certains pays, en appliquant des pressions coercitives, en niant l’existence des risques et en supprimant les informations pertinentes ? » – Dr David Freed
La question de la vaccination et de ses risques suscite de fortes émotions, notamment la peur – la peur d’être attaqué publiquement pour s’être exprimé, par exemple. Ce sont les présentations de la conférence que nous sommes autorisés à publier. Plusieurs orateurs inscrits se sont retirés, pour diverses raisons, et ne sont donc pas publiés. Certains orateurs n’ont pas pu assister à la conférence, mais ont tenu à ce que leurs communications soient incluses dans les actes ; elles sont affichées ici. »
Source : Anna Bella.com
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