2020-2022 : bilan et anticipations (deuxième partie).
Introduction.
Nous poursuivons aujourd’hui ce sujet commencé hier, avec la deuxième partie, consacrée au « monde de demain ». Puis nous nous livrerons, modestement, à quelques anticipations d’évènements probables pour les mois et années à venir.
En connaissance de tous ces éléments, il appartient à chacun de vous d’adapter sa stratégie patrimoniale pour franchir, à moindre mal, la période « compliquée » à venir. Privilèges des abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert », ils bénéficient d’informations complémentaires, de modes opératoires et d’assistance pour cela.
Un changement de monde :
Le 24 février 2022 est une date historique. Elle est incontestablement une rupture avec « notre monde d’avant ». C’est ce que j’appelle, un marqueur, annonciateur de très profonds changements politico-économiques et sociétaux.
Cette année 2022, dans son ensemble, a été marquée par une accélération du déni de la réalité, par une partie des populations mondiales et de leurs dirigeants. Fort heureusement, c’est aussi la prise de conscience et le « réveil » d’une autre partie, grandissante, des peuples.
Les plans de l’oligarchie financière mondialiste apatride (OFMA), se déroulaient « comme prévu ». Mais « Vlatipas » que Vladimir, un autre mondialiste, celui-là nationaliste, « renverse la table ». Estimant que les conditions étaient réunies, il bouscule « les règles du jeu » établies en déclenchant, plus tôt que prévu, une « l’opération militaire spéciale » en Ukraine.
Bien évidemment, ce n’est que la partie visible de son plan pour faire basculer le monde actuel, captif de l’hégémon américain, vers un monde multipolaire, dans une démarche westphalienne. Curieusement à mes yeux, le monde politique « occidental » dans son ensemble, ne semble pas avoir compris ce qui arrive.
Les choses deviennent chaque jour un peu plus visibles. Le 24 février 2022, le monde a changé. C’en est fini de « La pax Americana ». Quelqu’un a osé dire STOP, en sachant qu’il avait les moyens politiques, militaires et économiques pour le faire, c’est Vladimir POUTINE.
Cessons de voir le monde avec les lunettes étasuniennes. Elles sont grandement déformantes et portées depuis tellement longtemps, que nos yeux ne voient plus la réalité. Écrire cela n’est pas de « l’anti-américanisme primaire », mais une réalité factuelle.
À la suite de ces évènements, il me parait utile d’en tirer les conséquences et de nous livrer au jeu des anticipations. Voici une liste non exhaustive et dans un ordre aléatoire, quelques faits qui à mon sens, sont susceptibles de se produire au cours de cette année 2023 et vraisemblablement, d’ici 2025 :
Religion :
- J’anticipe que la récente mort du pape Benoit XVI annonce, à brève échéance, de très profondes transformations qui pourraient être fatales à « la sainte Église catholique et romaine». Ayant maintenant « les mains libres », le pape François va pouvoir les réaliser. Retenez que les travaux du synode en cours se terminent en octobre 2024, avec la publication du document final.
L’Europe :
- J’anticipe que sous l’impulsion de l’Allemagne, de l’Italie… puis de la France, nous allons assister à l’éclatement de l’Europe dans sa gouvernance actuelle, de même que la quasi-disparition de l’Euro. Cela, « grâce» à l’émergence d’une nouvelle « lutte des classes ».
D’un côté les forces de production et de l’autre, le pouvoir politique atlantiste et dogmatique de la Commission européenne. À noter que ce véritable coup d’État s’est opéré dans l’indifférence, voire avec la complicité des dirigeants politiques nationaux.
- Les récentes révélations d’Angela MERKEL et de François HOLLANDE, relatives à la signature des accords de MINSK, concernant le conflit Russo-Ukrainien, ont fini de décrédibiliser ces deux pays et l’Europe, sur le plan international. Le rayonnement politique de la France n’est plus qu’un lointain souvenir.
- J’anticipe que le rapprochement franco-russe qui ne manquera pas de se produire, ne pourra être envisageable qu’après le départ des équipes dirigeantes actuelles… qui pourrait bien se produire, d’ici 2025.
Les entreprises en Europe :
- Historiquement, beaucoup d’entreprises étaient détenues par des familles et pratiquaient une stratégie à long terme. Depuis les années 1970-1980, la « financiarisation» des entreprises a modifié leur stratégie qui est devenue la recherche de profits élevés à court terme. Leur objectif principal devenant la « satisfaction » des actionnaires.
Comble de l’ubuesque du système : des employés d’une l’entreprise, sans même le savoir (au travers de placements financiers collectifs, dont l’assurance vie) sont des « actionnaires nomades ». Ils participent au dépeçage de leur propre entreprise !!! Souvent, le « patron propriétaire » est devenu un PDG salarié.
- Avec les sanctions énergétiques que l’Union européenne (UE) s’inflige par dogmatisme, les petits patrons vont, comme leurs salariés, de plus en plus souffrir. J’anticipe une «alliance patron/salariés/artisants» pour sauver leur entreprise. Ce sera le retour du capitalisme familial d’antan. Cela se produira d’autant plus vite que le cout de l’énergie va augmenter. J’anticipe que 2023 verra ces premiers rapprochements, jusqu’alors impensables.
- J’anticipe une modification profonde du rôle social de l’entreprise. Déjà beaucoup de personnes « quittent la boite» à cause du manque de sens de leur travail. Nous allons vers une sectorisation différente des entreprises.
- PME/PMI devenant une association « patrons/salariés »,
- Grand patronat « financier» dont les entreprises seront, dans un premier temps nationalisées, pour plus tard, être privatisées différemment. À ce titre, Valérie BUGAULT, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, travaille sur une véritable réforme de l’entreprise de demain. J’anticipe que cela ne portera ses fruits qu’au-delà de 2025.
- Pour résumer la situation de 2023, le monde de la production (petit patron et salariés ainsi que les artisants) va commencer à se liguer contre le monde financier. C’est une sacrée révolte, non ? Gardons à l’esprit qu’une révolte ne se transforme en révolution que lorsque les élites s’en mêlent et prennent en charge la révolte et les révoltés dans le cadre d’un projet politique Cela ne s’est pas produit dans le cadre du mouvement des gilets jaunes.
J’anticipe que le monde de la finance ne baissera pas les bras facilement, mais que ce mouvement de fond commencera avant 2025.
Guerre en Ukraine :
- Les perspectives de paix en Ukraine sont nulles. Les néocons américains ont décidé que le seul moyen d’inverser le déclin accéléré des États-Unis en cours était la confrontation militaire directe avec la Russie.
- De son côté, la Russie n’accorde plus aucune crédibilité aux négociations avec «l’Occident ». En l’absence d’intermédiaire fiable et digne de confiance, POUTINE n’a qu’une seule option pour résoudre le conflit : une victoire militaire nette.
- Les Russes ont tiré les leçons de leurs erreurs et, fait rarissime, l’ont annoncé publiquement. Ils ont récemment compris comment neutraliser une grande partie des armements Otanesque livrés à l’Ukraine et préparent une grande offensive décisive, probablement avec l’appui du « général hiver».
- J’anticipe la bonne fin de la plupart des missions que s’est fixé la Russie, d’ici la fin de 2023.
La quatrième guerre mondiale :
- La troisième, hybride, qui est en cours en Ukraine, ne pourra pas se terminer par un accord de paix ou un quelconque armistice. Les deux parties sont engagées dans une lutte existentielle, ce qui annonce l’inexorable déclenchement «officiel » de la quatrième guerre mondiale.
- Les belligérants seront, d’un côté, les États-Unis d’Amérique avec ses alliés- vassaux de l’OTAN, ainsi que l’AUKUS (l’Australie et la Grande-Bretagne) rejoint par un Japon qui n’a pas le choix. De l’autre côté… le reste du monde, emmené par la Russie et la chine.
- J’anticipe que cela pourrait avoir lieu en 2023. La victoire du bloc « Russie/Chine/reste du monde» m’apparait comme une évidence.
- Seul un « réveil» des populations occidentales permettrait d’éviter cette quatrième guerre mondiale. Hélas, je ne perçois pas, aujourd’hui, de signes avant-coureurs de cette démarche.
Le monde multipolaire de demain :
Il prend déjà forme sous nos yeux, comme je vous en informe régulièrement. Dans les toutes prochaines années, les États-Unis d’Amérique :
- Vont être expulsés, par la force, d’Eurasie, de Taïwan, du Japon, de Singapour, de la Corée du Sud…
- Pour ce qui est des pays d’Europe, chacun d’eux, plus ou moins ruiné, exsangue, mais débarrassé de ses dirigeants corrompus, après quatre-vingts ans « d’occupation américaine», boutera les Yankees … jusqu’ à la statue de la Liberté (la grande, située sur la « liberty Island », pas sa réplique située sur l’ile aux cygnes, près du pont de Grenelle à Paris).
- Les « écuries d’Augias occidentales» vont être nettoyées par les peuples et cela passera par des guerres civiles que j’anticipe localisées, mais violentes.
- Le départ des États-Unis de l’Europe occidentale signifiera la fin de l’OTAN. Il appartiendra alors à l’Europe ou à ce qu’il en restera, de nouer des relations avec le « Nouveau Monde libre». J’anticipe cette occurrence après 2025.
Conclusion provisoire :
En tant qu’humains, serons-nous capables de ne plus laisser faire toutes les horreurs qui ont été commises en notre nom ? Serons-nous capables de prendre nos responsabilités, au lieu de déléguer la quasi-totalité de notre pouvoir, sans aucun réel contrôle ? Nous contenterons-nous d’attendre une hypothétique « aide extérieure » pour enfin changer le cours et le sens de nos vies ?
Je sais qu’une partie significative de l’humanité le peut et est déjà engagée pour ce faire. Il n’est pas besoin d’être une majorité pour bâtir le merveilleux monde de demain. De petits groupes de personnes déterminées et persévérantes sont suffisants pour entrainer les « indécis ».
Chers lecteurs, mes vœux pour cette année 2023 sont simples : que vous, moi, toutes les personnes de bonne volonté, participions à l’ardente obligation de créer le monde de demain. Celui que nous devons à nos enfants : « Soyons le changement que nous voulons voir dans ce monde ». Il ne doit plus jamais être comme celui-ci.
Je vous aime et vous salue.
P.S. Un de ces moyens est l’information du plus grand nombre de personnes. Vous pouvez agir, en partageant largement mes écrits autour de vous.
Source : Sérénité Patrimoniale
2020-2022 : bilan et anticipations (première partie).
Introduction.
Ce début d’année est propice à un tour d’horizon relatif à ce qu’il s’est passé dans le monde depuis ces trois dernières années. C’est aussi le meilleur moment pour nous projeter vers ce qui nous attend, afin d’aborder avec recul et sérénité, les moments « compliqués » qui sont devant nous.
Je vais avec vous, développer une analyse qui reprend des éléments que j’ai publiés, sur ce blog et surtout dans les « Rendez-vous d’Hubert », tout au long de ces trois années. C’est pourquoi, contrairement à mon l’habitude, je ne mets pas de liens vers mes sources.
Pour conserver un format de lecture « digeste »… en cette période de libations quelque peu excessives, ce travail s’articule en deux grandes parties.
Aujourd’hui, nous revenons sur l’épisode « Corona-bracadabrantesque » de ces trois dernières années. Prenant du recul, nous situons ce « détail de l’histoire » dans le cadre plus général d’une stratégie plus globale de « changement de monde ».
Demain, nous aborderons le « monde de demain » et nous livrerons modestement, à des anticipations d’évènements probables pour les mois et années à venir.
Une pseudocrise sanitaire…
Le temps est toujours le serviteur de la vérité. Nous avons maintenant un recul raisonnable et de nombreuses analyses étayées, pour qualifier ce qui nous est arrivé. Une opération coordonnée au niveau mondial : de dépopulation, de privation de libertés élémentaires et de tentatives de contrôle numérique de l’humain a été planifiée et partiellement exécutée à ce jour.
Pseudocrise sanitaire, car les dirigeants de la quasi-totalité des « grands pays » de la planète ont fait accroire à leurs populations, l’existence d’un très grand péril. Propagé par leur servile « armée médiatique », c’est le scénario d’une pandémie mondiale, due à un virus nouveau, inconnu et souvent mortel.
Une fois discrédités et écartés des médicaments existants, pourtant réputés efficaces (hydroxychloroquine, ivermectine), une campagne mondiale sans précédent, d’incitation, voire d’obligation, de se soumettre à des « injections salvatrices » est, là encore, parfaitement coordonnée. Le prétexte de « l’urgence sanitaire » permet à quelques grands laboratoires pharmaceutiques « d’inonder » le monde de produits, utilisant une « technologie » totalement nouvelle (ARNm)… qu’ils déclarent sûre et efficace.
Dans tous les pays, des effets secondaires de plus en plus nombreux et graves (jusqu’à entrainer la mort) surviennent… proportionnellement au degré « d’injections » des populations. Ces données sont délibérément cachées et minimisées par les autorités sanitaires et politiques, là encore, de tous les pays.
Curieusement, car s’agissant de produits expérimentaux, aucun suivit des personnes « injectées » n’est organisé. Pire, l’inefficacité de leurs produits étant reconnue par leurs fabricants, il est décidé et aussitôt organisé… de régulières « séances de rattrapage ». Tout cela pour obtenir une immunité, dont il est établi qu’elle est inférieure à notre immunité naturelle
Au plus haut niveau de l’état, il a été affirmé : « On peut discuter de tout, sauf des chiffres »… oui, mais, excepté quand les données brutes ont été « manipulées »!!! Par exemple, la non-utilisation, spécifiquement pour 2020, de la méthode habituelle et classique de comptage du « nombre de décès standardisé par âge » (TMS). Voici quelques chiffres réels, relatifs à l’année 2020 :
L’hécatombe due au Covid :
- C’est la sixième année la moins mortelle de toute l’histoire de France. Il n’y a que quelques endroits en France ou on observe un pic de mortalité.
- En Suède, en Islande, au Danemark et en Irlande, c’est le record historique de sous mortalité.
- En Allemagne, en Finlande et en Norvège, c’est historiquement la 2è année la moins mortelle.
- Pour les pays les plus touchés en termes de mortalité, c’est une année un peu forte pour la décennie, mais l’année la moins mortelle de toute leur histoire.
La saturation hospitalière due au Covid :
- L’activité Covid à l’hôpital a représenté 2% de l’activité hospitalière totale.
Pour comprendre une autre manipulation, il faut observer les méthodes de comptage. Le croirez-vous ? En mars 2020 :
- Pour les médecins de ville (réseau Sentinelles), a lieu un changement de définition des maladies. La grippe disparait au profit des « infections respiratoires aigües »… dans laquelle est classé le Covid.
- Pour les hôpitaux, c’est l’OMS qui fixe la codification des maladies. Là aussi, naissance d’un nouveau code « maladie respiratoire a coronavirus Covid 19 ». Autrement dit, c’est un transfert de codification des maladies. Nous assistons à la disparition de : la grippe, la bronchiolite, la pneumonie, la pleurésie, l’œdème pulmonaire… là encore, « au profit » du covid 19.
Pour illustrer ce qui s’apparente à une véritable machination, élaborée par les dirigeants politiques, les laboratoires pharmaceutiques et une partie du monde médical, le sujet des tests est « un cas d’école » :
- Pour les personnes « injectées », la consigne était « vous êtes maintenant protégés, il est inutile de vous tester ».
- Pour les « résistants », mise en place de mesures discriminatoires d’accès à de multiples lieux, c’est-à-dire une quasi-obligation de faire de nombreux tests, pour jouir d’une vie « normale ».
Le nombre de tests et donc l’occurrence de tests positifs touchant majoritairement des personnes « non injectées », il était alors facile de proclamer , haut et fort : vous voyez bien que les « injections » sont efficaces puisque « les cas positifs » sont majoritairement chez les personnes « non injectées ». C’est malin, non ? C’est tellement simple que, parfaitement relayé par les « merdias de grand chemin » … ça a marché !!!
Tout cela, sans même parler de « l’efficacité des tests » pour détecter le fameux « Corona-manipulus ». Vous avez aussi remarqué que l’on ne parle pas de malades ou bien d’hospitalisations, mais « de cas ». Cas de quoi, exactement ?
Maintenant que la crédibilité du « public cible » commence à significativement diminuer, il faut continuer à entretenir la peur. C’est l’apparition de la « variole du singe »… qui fait un véritable « flop ».
Du coup, il faut absolument trouver un autre sujet pour « injecter , injecter, injecter ». Et c’est la miraculeuse réapparition de la rougeole… et du papillomavirus humain. Il faut absolument « injecter » tous les enfants qui ont « échappés » aux campagnes précédentes !!! Mais « injecter » quoi exactement ?
Là encore, de nombreuses études montrent de bien curieux composants, qui, pour certains, ont des effets électromagnétiques inédits pour ce type de « médicament ». Effets qui, encore plus curieux, permettent « un dialogue » avec des équipements électroniques distants de la personne « injectée ». Vous avez dit bizarre, comme c’est étrange !!!
Tout cela relèverait de la « Commedia dell’ Arte », si tant de personnes ne souffraient ou ne mouraient pas. Ne pensez-vous pas qu’il est temps de dire STOP à tout ce cirque et de reprendre fermement nos vies en main ? Les récentes révélations de la collusion entre les gouvernements, les laboratoires pharmaceutiques et les réseaux dits sociaux vont grandement nous aider. Le « grand ménage » fait par Elon MUSK, nouveau propriétaire du réseau Tweeter, n’est qu’un début.
Dans une stratégie plus globale.
Il nous faudrait remonter le temps jusqu’en l’an de grâce 1214 et plus précisément, à la bataille de Bouvines, pour être plus complet sur ce sujet. Comme ce n’est pas le but du présent document, je commencerais donc « l’histoire » en 1945. Bien joué, « l’ami Hubert », tu viens de gagner plus de 700 années d’explications .
Le « Covid 19 » n’est qu’une forme de la guerre que mène l’oligarchie financière mondialiste apatride (OFMA) depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, contre les peuples, en désorganisant l’économie réelle. C’est un fait historique, la prédation est son modèle économique.
Les accords de Bretton Woods en 1944 établissent un nouveau système monétaire mondial en plaçant le Dollar au rang de « monnaie du monde ». Lui seul est convertible en or, les autres monnaies n’étant convertibles qu’en dollar.
En 1947, le « Plan Marshall », s’il a contribué à la reconstruction d’une partie de l’Europe… permet aussi de créer un « pouvoir d’achat captif » en Europe, pour écouler la surproduction de « firmes » américaines telles que Coca-Cola, Ford, IBM, etc.
Quand l’Europe a eu un potentiel de production plus important, elle est devenue une rivale pour les États-Unis d’Amérique. Il était à leurs yeux, « vital » de la contrôler, l’affaiblir, voire de la détruire. Il leur fallait éviter que le potentiel économique européen aille vers la Russie et la Chine.
En 1970, la fin de la séparation des activités bancaires (dépôts et investissements) marque le contrôle de la finance sur l’appareil d’état. D’abord aux USA, puis plus tard, en France. La création de l’Europe par des agents de la CIA, puis de l’euro, bâti autour du mark, permet l’expansion de l’économie allemande au détriment de la France et de l’Italie. Les deux tiers des exportations de l’Allemagne se font en Europe… grâce à l’énergie peu chère, venant de « l’ennemi Russe ». L’Allemagne devenant « dangereuse » aux yeux de l’oligarchie financière américaine, la destruction des « tuyaux Nord Stream 1 et 2 » est planifiée puis exécutée… très vraisemblablement, par la Grande-Bretagne (alliée de circonstance).
Le monde, et c’est notre chance, est en proie à une lutte à mort entre plusieurs oligarchies mondialistes. Pour simplifier : la nationaliste, incarnée entre autres, par Vladimir poutine, Donald TRUMP, Xi Jinping… et l’apatride, incarnée entre autres, par la City et Wall Street. À ce jour, aux USA, c’est l’oligarchie apatride US qui « a gagné » une bataille, avec le complot qui a privé « le canard » de sa réélection.
Après la Seconde Guerre mondiale, le Japon a « rattrapé » les USA et est devenu un rival. Ils ont obligé le Japon à réévaluer sa monnaie, afin de gêner ses exportations.
Le mode opératoire étasunien est la piraterie et la conquête du Far West, autrement dit, étendre en permanence son influence économique et politique, avec l’utilisation, notamment des lois extraterritoriales permettant les « sanctions » à l’égard des « gêneurs ».
Demain nous verrons la suite de cette passionnante histoire de notre monde. D’ici là, chers lecteurs, prenez grand soin de vous. Je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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